"Votre invité est notre invité!". C'est ce que proposent près d'une centaine de restaurants parisiens avec l'opération Tous au restaurant du 19 au 25 septembre. Proposition ô combien alléchante pour tous les gourmands. Les réservations se font à partir du 7 septembre, alors, n'attendez pas ! |
mardi 6 septembre 2011
Tous au restaurant : offrez-vous la table d'un chef
Tous au restaurant : offrez-vous la table d'un chef:
Dans les coulisses de la gigantesque scène d'Excalibur
Dans les coulisses de la gigantesque scène d'Excalibur: 
Voir la vidéo
Il est annoncé comme l'un des grands spectacles-événements de l'année 2011. Les affiches annonçant "Excalibur, la légende du roi Arthur et des chevaliers de la table ronde" au Stade de France ont déjà envahi les murs de la capitale et les pages des magazines. Difficile d'y échapper.
Pour plonger dans l'univers fascinant du Moyen-Age, Christian Vallat (à qui l'on doit déjà Ben Hur en 2006) n'a pas fait les choses à moitié. Il s'est notamment entouré de Mario Luraschi, spécialiste de la mise en scène de cascades équestres, pour la partie cavalerie et cascades. En 10 tableaux, comédiens, cascadeurs et chevaux promettent donc d'enflammer les 8000 mètres carrés de scène du Stade de France.
Camelot, Lancelot, Guenièvre, Merlin l'Enchanteur, les druides, la fée Morgane et bien sûr Arthur et son épée, Excalibur, personne ne manque à l'appel de cette reconstitution des légendes bretonnes. Des légendes où il est question d'histoires de chevalier, d'amour, de trahison et de magie.
- > A voir aussi sur Culturebox :
- Le musée vivant du cheval fête noël avec les légendes du roi Arthur
- Spamalot, le Sacré Graal des Monty Python en comédie musicale
Voir la vidéo
Il est annoncé comme l'un des grands spectacles-événements de l'année 2011. Les affiches annonçant "Excalibur, la légende du roi Arthur et des chevaliers de la table ronde" au Stade de France ont déjà envahi les murs de la capitale et les pages des magazines. Difficile d'y échapper.
Pour plonger dans l'univers fascinant du Moyen-Age, Christian Vallat (à qui l'on doit déjà Ben Hur en 2006) n'a pas fait les choses à moitié. Il s'est notamment entouré de Mario Luraschi, spécialiste de la mise en scène de cascades équestres, pour la partie cavalerie et cascades. En 10 tableaux, comédiens, cascadeurs et chevaux promettent donc d'enflammer les 8000 mètres carrés de scène du Stade de France.
Camelot, Lancelot, Guenièvre, Merlin l'Enchanteur, les druides, la fée Morgane et bien sûr Arthur et son épée, Excalibur, personne ne manque à l'appel de cette reconstitution des légendes bretonnes. Des légendes où il est question d'histoires de chevalier, d'amour, de trahison et de magie.
- > A voir aussi sur Culturebox :
- Le musée vivant du cheval fête noël avec les légendes du roi Arthur
- Spamalot, le Sacré Graal des Monty Python en comédie musicale
Yuri Kozyrev obtient le Visa d'or 2011 au festival "Visa pour l'image" de Perpignan
Yuri Kozyrev obtient le Visa d'or 2011 au festival "Visa pour l'image" de Perpignan: 
Voir la vidéo
Yuri Kozyrev, photographe de l'agence Noor, est connu pour ses reportages sur les conflits dans le monde... Ces derniers mois, il a notamment suivi les mouvements de contestation en Egypte, au Bahrein et en Lybie.
Son visa d'or "news" 2011 récompense son reportage "Les chemins de la révolution" consacré au printemps arabe et réalisé pour le magazine "Time".
Egalement au palmarès de cette édition 2011 : dans la catégorie "Magazine", le Visa d'or a été attribué au Français Olivier Jobard (agence Sipa Press) pour son reportage "Zarzis-Lampedusa, l'odyssée de l'espoir" qui suit l'exode de Tunisiens vers l'Italie.
Le Visa d'or catégorie "presse quotidienne" a été décerné au Japonais Shiho Fukada pour sa couverture des conséquences du séisme et du tsunami dans la région de Fukushima.
Pour la première fois, cette année, le festival décernait un "Visa d'or humanitaire" du Comité International de la Croix-Rouge... Un prix décroché par la Franco-Espagnole Catalina Martin Chico pour son reportage sur la révolution yéménite.
Quant au prix du Jeune reporter de la Ville de Perpignan, il revient à Ed Ou, pour son travail sur les enfants soldats de Somalie.
A voir aussi sur Culturebox :
- Printemps-et-cinema-du-Maghreb-à-Orleans
- Les tambours de Yamato résonnent pour le Japon
- Promenades-photographiques-à-Vendôme
Voir la vidéo
Yuri Kozyrev, photographe de l'agence Noor, est connu pour ses reportages sur les conflits dans le monde... Ces derniers mois, il a notamment suivi les mouvements de contestation en Egypte, au Bahrein et en Lybie.
Son visa d'or "news" 2011 récompense son reportage "Les chemins de la révolution" consacré au printemps arabe et réalisé pour le magazine "Time".
Egalement au palmarès de cette édition 2011 : dans la catégorie "Magazine", le Visa d'or a été attribué au Français Olivier Jobard (agence Sipa Press) pour son reportage "Zarzis-Lampedusa, l'odyssée de l'espoir" qui suit l'exode de Tunisiens vers l'Italie.
Le Visa d'or catégorie "presse quotidienne" a été décerné au Japonais Shiho Fukada pour sa couverture des conséquences du séisme et du tsunami dans la région de Fukushima.
Pour la première fois, cette année, le festival décernait un "Visa d'or humanitaire" du Comité International de la Croix-Rouge... Un prix décroché par la Franco-Espagnole Catalina Martin Chico pour son reportage sur la révolution yéménite.
Quant au prix du Jeune reporter de la Ville de Perpignan, il revient à Ed Ou, pour son travail sur les enfants soldats de Somalie.
A voir aussi sur Culturebox :
- Printemps-et-cinema-du-Maghreb-à-Orleans
- Les tambours de Yamato résonnent pour le Japon
- Promenades-photographiques-à-Vendôme
Exposition sur Georges Brassens à l'Alcazar, à Marseille
Exposition sur Georges Brassens à l'Alcazar, à Marseille: 
Voir la vidéo
George Brassens nous a quittés il y a 30 ans, à l'âge de 60 ans.
Sa passion pour la poésie et la chanson populaire remonte à l'adolescence... Son idole se nomme alors Charles Trénet. Son goût pour les "400 coups" lui vaut une mauvaise réputation qu'il traînera pendant bien longtemps !
Pendant la guerre, dans les années 40, il part tenter sa chance à Paris mais le STO de l'Allemagne nazie le rattrape : il part à Basdorf, dans un camp de travailleurs, près de Berlin. Lors d'une permission en 1944, il décide de rester à Paris et de se cacher.
Après la guerre, il se lie d'amitié avec des militants de la Fédération anarchiste et écrit quelques chroniques virulentes dans leur journal, "Le libertaire".
Il doit attendre les années 50 pour percer dans la chanson, grâce à Patachou, qui le prend sous son aile. Peu à peu, les théâtres où il se produit font salle comble : il y interprète "Le gorille", "La mauvaise réputation" et d'autres titres devenus des grands classiques de la chanson française... Des chansons à la fois poétiques et grivoises, à l'image de leur auteur.
Avec Jacques Brel et Léo Ferré, aux côtés desquels il sera immortalisé lors d'un débat radiophonique en 1969, il est considéré comme l'un des plus grands auteurs-compositeurs-interprètes français du 20ème siècle.
L'exposition "Brassens ou la liberté" revient sur tous ces aspects du personnage, au travers d'un parcours ludique et décalé.
A voir aussi sur Culturebox :
Guy-Béart-et-la-réouverture-des-3-baudets Oswald-d'Andrea-revisite-Brassens-pour-les-3emes-brassensiades
Voir la vidéo
George Brassens nous a quittés il y a 30 ans, à l'âge de 60 ans.
Sa passion pour la poésie et la chanson populaire remonte à l'adolescence... Son idole se nomme alors Charles Trénet. Son goût pour les "400 coups" lui vaut une mauvaise réputation qu'il traînera pendant bien longtemps !
Pendant la guerre, dans les années 40, il part tenter sa chance à Paris mais le STO de l'Allemagne nazie le rattrape : il part à Basdorf, dans un camp de travailleurs, près de Berlin. Lors d'une permission en 1944, il décide de rester à Paris et de se cacher.
Après la guerre, il se lie d'amitié avec des militants de la Fédération anarchiste et écrit quelques chroniques virulentes dans leur journal, "Le libertaire".
Il doit attendre les années 50 pour percer dans la chanson, grâce à Patachou, qui le prend sous son aile. Peu à peu, les théâtres où il se produit font salle comble : il y interprète "Le gorille", "La mauvaise réputation" et d'autres titres devenus des grands classiques de la chanson française... Des chansons à la fois poétiques et grivoises, à l'image de leur auteur.
Avec Jacques Brel et Léo Ferré, aux côtés desquels il sera immortalisé lors d'un débat radiophonique en 1969, il est considéré comme l'un des plus grands auteurs-compositeurs-interprètes français du 20ème siècle.
L'exposition "Brassens ou la liberté" revient sur tous ces aspects du personnage, au travers d'un parcours ludique et décalé.
A voir aussi sur Culturebox :
Guy-Béart-et-la-réouverture-des-3-baudets Oswald-d'Andrea-revisite-Brassens-pour-les-3emes-brassensiades
Nouvelle exposition au musée Tomi Ungerer, à Strasbourg
Nouvelle exposition au musée Tomi Ungerer, à Strasbourg: 
Voir la vidéo
Situé à la villa Greiner, le musée Tomi Ungerer a ouvert ses portes en 2007 à Strasbourg. Sa collection résulte de plusieurs donations effectuées par l'artiste à sa ville natale depuis 1975. Elle comporte 8000 dessins originaux, sculptures, esquisses et affiches, un fonds documentaire important, ainsi que 6000 jouets provenant de la collection personnelle de Tomi Ungerer.
Un nombre d'oeuvres impressionnant que le musée ne peut exposer en même temps... Régulièrement, donc, de nouvelles expositions sont organisées pour présenter les richesses de la collection Ungerer, au rythme de 3 accrochages par an.
Illustrations de livres d'enfants, dessins satiriques, esquisses érotiques et affiches publicitaires... Tous les axes de la production de l'artiste sont représentés.
Le 11ème accrochage du musée, intitulé "Tomi Ungerer, l'artiste aux multiples facettes", rend hommage à la diversité créatrice de l'illustrateur, à l'occasion de ses 80 ans.
- > A voir aussi sur Culturebox :
Politrics-exposition-de-dessins-politiques-de-Tomi-Ungerer
l'affichiste-du-festival-de-Saint-Riquier-Michel-Bouvet-expose
150-affiches-underground-américaines-au-mois-du-graphisme
Voir la vidéo
Situé à la villa Greiner, le musée Tomi Ungerer a ouvert ses portes en 2007 à Strasbourg. Sa collection résulte de plusieurs donations effectuées par l'artiste à sa ville natale depuis 1975. Elle comporte 8000 dessins originaux, sculptures, esquisses et affiches, un fonds documentaire important, ainsi que 6000 jouets provenant de la collection personnelle de Tomi Ungerer.
Un nombre d'oeuvres impressionnant que le musée ne peut exposer en même temps... Régulièrement, donc, de nouvelles expositions sont organisées pour présenter les richesses de la collection Ungerer, au rythme de 3 accrochages par an.
Illustrations de livres d'enfants, dessins satiriques, esquisses érotiques et affiches publicitaires... Tous les axes de la production de l'artiste sont représentés.
Le 11ème accrochage du musée, intitulé "Tomi Ungerer, l'artiste aux multiples facettes", rend hommage à la diversité créatrice de l'illustrateur, à l'occasion de ses 80 ans.
- > A voir aussi sur Culturebox :
Politrics-exposition-de-dessins-politiques-de-Tomi-Ungerer
l'affichiste-du-festival-de-Saint-Riquier-Michel-Bouvet-expose
150-affiches-underground-américaines-au-mois-du-graphisme
Rentrée littéraire 2011 : Amélie Nothomb présente son nouveau roman, "Tuer le père"
Rentrée littéraire 2011 : Amélie Nothomb présente son nouveau roman, "Tuer le père": 
Voir la vidéo
Voir la vidéo
Née en 1967 à Kobé, au Japon, Amélie Nothomb est issue d'une famille de l'aristocratie belge. Fille de Patrick Nothomb, ambassadeur de Belgique, elle a vécu au Japon, en Chine, aux Etats-Unis et en Asie du Sud-Est, avant de partager sa vie aujourd'hui entre Paris et Bruxelles.
Depuis 1992, date de son premier roman, "Hygiène de l'assassin", elle publie un ouvrage par an aux éditions Albin Michel... des livres très attendus, à chaque rentrée littéraire.
"Métaphysique des tubes", "Stupeur et tremblements" (Grand Prix de l'Académie française 1999), "Biographie de la faim", "Ni d'Eve ni d'Adam" (Prix de flore 2007)... Tous ses romans sont d'énormes succès publics : plus de 15,5 millions d'exemplaires vendus à ce jour en France.
Son oeuvre est traduite dans plus de 30 langues et 2 de ses romans ("Stupeur et tremblements" et "Hygiène de l'assassin") ont été adaptés au cinéma.
Son 20ème et nouvel opus, "Tuer le père", est sorti le 18 août 2011. En quatrième de couverture, on trouve une seule phrase en guise de résumé : "Allez savoir ce qui se passe dans la tête d'un joueur".
A Voir aussi sur Culturebox :
Toutes les vidéos les cinq dernières minutes
Gilles Régnier, photographe de mer, expose ses clichés près de Dieppe
Gilles Régnier, photographe de mer, expose ses clichés près de Dieppe: 
Voir la vidéo
Autodidacte, Gilles Régnier a attrapé le virus de la photo lors de ses voyages en Méditerranée, dans la Marine Nationale. Originaire de Normandie, il décide de devenir professionnel en 2001 et promène son objectif sur les grands événements nautiques et les compétitions de voile.
Son thème de prédilection : la mer, un monde qui le fascine.
En 2005, il commence un travail sur les grandes marées, de Dunkerque à Cancale, et surtout dans sa région natale, la Normandie... Avec une infinie patience, il immortalise le paysage maritime qui change au fil des heures, au gré des marées.
- A voir aussi sur Culturebox :
- Fernand-Bignon-photographe-impressionniste
- Les-photos-du-voyage-inaugural-du-paquebot-normandie-exposées-au-Havre
- clichés-normands-à-la-mediatheque-et-au-musée-du-château
Voir la vidéo
Autodidacte, Gilles Régnier a attrapé le virus de la photo lors de ses voyages en Méditerranée, dans la Marine Nationale. Originaire de Normandie, il décide de devenir professionnel en 2001 et promène son objectif sur les grands événements nautiques et les compétitions de voile.
Son thème de prédilection : la mer, un monde qui le fascine.
En 2005, il commence un travail sur les grandes marées, de Dunkerque à Cancale, et surtout dans sa région natale, la Normandie... Avec une infinie patience, il immortalise le paysage maritime qui change au fil des heures, au gré des marées.
- A voir aussi sur Culturebox :
- Fernand-Bignon-photographe-impressionniste
- Les-photos-du-voyage-inaugural-du-paquebot-normandie-exposées-au-Havre
- clichés-normands-à-la-mediatheque-et-au-musée-du-château
L'homme qui fredonnait du Bashung à l'oreille des chevaux
L'homme qui fredonnait du Bashung à l'oreille des chevaux: 
Voir la vidéo
Une musique, un canapé sombre et un cheval au galop, on se croirait presque plongé dans un clip de Jean-Baptiste Mondino. "Osez Joséphine" en 1991 marque le retour sur le devant de la scène médiatique et artistique du chanteur français Alain Bashung. Ce dernier a confié avant sa disparition comment le clip de Jean-Baptiste Mondino et l'intervention du cheval avaient donné sa véritable énergie à cette chanson pour laquelle Alain Bashung peinait à trouver un rythme. L'idée de ce cheval tournant sur une piste de cirque autour d'un couple de musiciens est plus que graphique, c'est le claquement des sabots qui donne sa véritable cadence à la chanson, et Bashung va donc profiter de l'idée de son compère pour s'appuyer sur cette rythmique animale en ajoutant au dernier moment le son du galop ainsi que les riffs de guitare. Comme l'expliquait Bertrand Dicale, dans l'une de ses chroniques musicales sur l'antenne de France-Info, Alain Bashung a révolutionné la chanson française avec ce morceau "Osez Joséphine". En effet, pour la première fois, cette chanson ne dispose d'aucune mélodie clairement identifiable, la voix du chanteur est un instrument comme les autres et la mélodie du chant de Bashung n'est pas la mélodie de la chanson. Si l'on regarde après coup le vidéo-clip de Jean-Baptiste Mondino, on s'aperçoit qu'il est assez éloigné du décor recréé par Thomas Chaussebourg pour son spectacle "Ma bête noire", mais il a tellement marqué notre imaginaire que la voix de Bashung associée à la présence d'un équidé suffit à faire hennir les chevaux du plaisir.
- A voir aussi sur Culturebox :
- Bartabas-et-Carolyn-Carlson-unissent-leurs-univers-dans-we-were-horses
- Symphonie-équestre-à-cheval-sur-la-musique-au-Zenith
- Le-sort-du-dedans-spectacle-de-cirque-equestre
Voir la vidéo
Une musique, un canapé sombre et un cheval au galop, on se croirait presque plongé dans un clip de Jean-Baptiste Mondino. "Osez Joséphine" en 1991 marque le retour sur le devant de la scène médiatique et artistique du chanteur français Alain Bashung. Ce dernier a confié avant sa disparition comment le clip de Jean-Baptiste Mondino et l'intervention du cheval avaient donné sa véritable énergie à cette chanson pour laquelle Alain Bashung peinait à trouver un rythme. L'idée de ce cheval tournant sur une piste de cirque autour d'un couple de musiciens est plus que graphique, c'est le claquement des sabots qui donne sa véritable cadence à la chanson, et Bashung va donc profiter de l'idée de son compère pour s'appuyer sur cette rythmique animale en ajoutant au dernier moment le son du galop ainsi que les riffs de guitare. Comme l'expliquait Bertrand Dicale, dans l'une de ses chroniques musicales sur l'antenne de France-Info, Alain Bashung a révolutionné la chanson française avec ce morceau "Osez Joséphine". En effet, pour la première fois, cette chanson ne dispose d'aucune mélodie clairement identifiable, la voix du chanteur est un instrument comme les autres et la mélodie du chant de Bashung n'est pas la mélodie de la chanson. Si l'on regarde après coup le vidéo-clip de Jean-Baptiste Mondino, on s'aperçoit qu'il est assez éloigné du décor recréé par Thomas Chaussebourg pour son spectacle "Ma bête noire", mais il a tellement marqué notre imaginaire que la voix de Bashung associée à la présence d'un équidé suffit à faire hennir les chevaux du plaisir.
- A voir aussi sur Culturebox :
- Bartabas-et-Carolyn-Carlson-unissent-leurs-univers-dans-we-were-horses
- Symphonie-équestre-à-cheval-sur-la-musique-au-Zenith
- Le-sort-du-dedans-spectacle-de-cirque-equestre
Festival de Deauville 2011 : leçons de cinéma par des maîtres du genre
Festival de Deauville 2011 : leçons de cinéma par des maîtres du genre: 
Voir la vidéo
Voir la vidéo
Discuter cinéma avec Francis Ford Coppola, le réalisateur mythique d'"Apocalypse now" et du "Parrain", ou avec Shirley Mac Laine, l'inoubliable interprète de la "Garçonnière" : c'est aussi ça, le festival de Deauville... un lieu d'échange avec des monstres sacrés du cinéma américain.
Depuis 2010, le festival ouvre également ses salles aux séries télé américaines et propose des masterclass avec des "show runners", autrement dit des scénaristes et producteurs de séries cultes comme les "Sopranos" ou "Dexter"... Cette année, les "cours d'écriture" sont assurés par Tom Fontana, créateur d'"Homicide", "Oz" et "Borgia", et Shawn Ryan, scénariste de "The Shield" et "The Unit".
Et pour stimuler l'imagination des scénaristes des deux côtés de l'Atlantique, des rencontres entre créateurs français et américains sont proposées autour de l'écriture sérielle.
Roger Avary, lui, dispense une "leçon de scénario" : le réalisateur et scénariste canadien est principalement connu pour ses collaborations avec Quentin Tarantino au début des années 90. ("Reservoir dogs","Pulp fiction")
A quelques kilomètres de là se tient un autre festival de cinéma, beaucoup plus confidentiel : celui de Trouville, baptisé "Off courts". Evénement franco-québécois dédié aux courts-métrages, sa grande originalité reste le "kinolab" : des réalisateurs ont 48 heures pour tourner et monter leurs films courts qui sont ensuite diffusés lors d'une soirée spéciale du festival.
A voir aussi sur Culturebox :
- Les vidéos Cinéma Américain
Un couple de photographes sétois expose à la Biennale d'art contemporain 2011 de Venise
Un couple de photographes sétois expose à la Biennale d'art contemporain 2011 de Venise: 
Voir la vidéo
Considérée comme l'une des plus prestigieuses manifestations artistiques en Europe, voire dans le monde, la Biennale de Venise met en avant l'art contemporain sous toutes ses formes, essentiellement les mouvements d'avant-garde. C'est aussi l'une des plus anciennes puisque sa création remonte à 1893 (pour commémorer les 25 ans de mariage du roi Humbert 1er et de Marguerite de Savoie, le conseil municipal de Venise avait alors décidé d'organiser une exposition biennale d'art).
La 54ème édition (2011), présidée par l'historienne et critique d'art suisse Bice Curiger, présente notamment l'exposition "ILLUMInazioni-ILLUMInations", dans le pavillon central des Giardini et à l'Arsenal.
A l'honneur: 83 artistes internationaux, dont 32 jeunes talents.
Par ailleurs, dans le cadre des "expositions nationales", 89 pavillons nationaux présentent un ou plusieurs artistes... Cette année, c'est le plasticien Christian Boltanski, l'un des principaux artistes contemporains français, qui représente l'Hexagone.
A noter aussi : 37 événements collatéraux, parmi lesquels l'"Ascension" d'Anish Kapoor à découvrir sur l'île de San Giorgione et Julian Schnabel au musée Correr.
-> A voir aussi sur Culturebox
- Christian-Boltanski-expose-à-la-biennale-de-Venise
- Eloge-du-doute-la-nouvelle-exposition-de-la-fondation-Pinault-à-Venise
- Une-exposition-pour-des-victimes-oubliees-de-la-seconde-guerre-mondiale--les-tsiganes
- Hommage-du-memorial-de-la-Shoah-à-l'écrivain-Irene-Nemirovsky
Voir la vidéo
Considérée comme l'une des plus prestigieuses manifestations artistiques en Europe, voire dans le monde, la Biennale de Venise met en avant l'art contemporain sous toutes ses formes, essentiellement les mouvements d'avant-garde. C'est aussi l'une des plus anciennes puisque sa création remonte à 1893 (pour commémorer les 25 ans de mariage du roi Humbert 1er et de Marguerite de Savoie, le conseil municipal de Venise avait alors décidé d'organiser une exposition biennale d'art).
La 54ème édition (2011), présidée par l'historienne et critique d'art suisse Bice Curiger, présente notamment l'exposition "ILLUMInazioni-ILLUMInations", dans le pavillon central des Giardini et à l'Arsenal.
A l'honneur: 83 artistes internationaux, dont 32 jeunes talents.
Par ailleurs, dans le cadre des "expositions nationales", 89 pavillons nationaux présentent un ou plusieurs artistes... Cette année, c'est le plasticien Christian Boltanski, l'un des principaux artistes contemporains français, qui représente l'Hexagone.
A noter aussi : 37 événements collatéraux, parmi lesquels l'"Ascension" d'Anish Kapoor à découvrir sur l'île de San Giorgione et Julian Schnabel au musée Correr.
-> A voir aussi sur Culturebox
- Christian-Boltanski-expose-à-la-biennale-de-Venise
- Eloge-du-doute-la-nouvelle-exposition-de-la-fondation-Pinault-à-Venise
- Une-exposition-pour-des-victimes-oubliees-de-la-seconde-guerre-mondiale--les-tsiganes
- Hommage-du-memorial-de-la-Shoah-à-l'écrivain-Irene-Nemirovsky
Art O Rama, l'art contemporain fait salon à Marseille
Art O Rama, l'art contemporain fait salon à Marseille: 
Voir la vidéo
Voir la vidéo
Chaque année, Art O Rama invite un jeune artiste de la région de Marseille, choisi par les participants de l'année précédente, à imaginer une oeuvre spécifique pour le salon. L'édition 2011 met ainsi l'accent sur le travail de Sandro Della Noce qui propose une vision très personnelle de l'architecture et des représentations de la ville dans le monde.
A delà de cette vocation de promotion de jeunes talents, le salon Art O Rama est aussi une occasion rare de rencontres entre public, galeristes, journalistes et artistes. L'événement propose aussi des tables rondes, des concerts, et divers performances pour découvrir dans un espace réduit, toutes les facettes de l'art d'aujourd'hui.
- A voir aussi sur Culturebox :
- Le-Mamco-de-Genève-donne-un-futur-à-l'art-punk
- Dennis-Oppenheim-au-musée-d'art-moderne-de-Saint-Etienne
- Espace-et-dimension-intérieure-thème-de-l'exposition-d'été-du-centre-d'art-contemporain
Inscription à :
Articles (Atom)