
Mauro Colagreco, le Chef argentin du restaurant Mirazur à Menton aura le privilège de coordonner l’événement et d’élaborer, en collaboration avec les chefs des établissements partenaires, les menus qui mettront en valeur les produits qui font
Site ouvert directement ,par google,par blogger,par twitter/henrirouen,site ouvert à tous et à toutes aimant rouen,la créativié,0680504877@orange.fr Twitter/henrirouen et henrirousseaurouen sont complémentaires.Pardon si ce dernier est long à venir ayant beaucoup d'archives...
Airborne 44. Quand il rencontre Joanne, Gavin a le coup de foudre. Mais il doit trop vite retourner aux Etats-Unis. Il reviendra 6 ans après.
Lors du Débarquement allié sur les côtes normandes... Philippe Jarbinet fait revivre en BD l'horreur des combats sur fond d'histoire d'amour et replace le lecteur dans le contexte de l'époque avec beaucoup d'habileté. L'album est réhaussé par les couleurs, réalisées par l'auteur. Philippe Jarbinet rencontre son public à la Fnac vendredi 23 septembre à 17h.
Il s’appelle Girolamo Franscesco Maria Mazzola, mais il est plus connu sous le nom de Le Parmesan… Son talent s’expose au musée des Beaux-Arts de Rouen jusqu’au 18 décembre.
Quel talent ? Pour tout peintre, le dessin est un exercice d’analyse et de mise en forme pour préparer la peinture. Le Parmesan était un virtuose du crayon, un fin dessinateur soucieux du détail. La cinquantaine de dessins et d’estampes exposée au Musée des Beaux-Arts ne sont déjà plus des esquisses mes des œuvres achevées à part entière.
Comment découvrir cette exposition ? Il y aura plusieurs façons d’approcher le travail de Le Parmesan. Et ce, quel que soit l’âge du public. Au programme des visites commentées principalement organisées le dimanche. Pour les sourds et les malentendants, une visite traduite en langue des signes est proposée. Pour le jeune public, un atelier sera ouvert au 6-12 ans, le 24 octobre. Enfin trois conférences (17 et 24 novembre, 1er décembre) et une séance de cinéma (9 novembre) seront également programmées.
Exposition Le Parmesan
Musée des Beaux-Arts de Rouen
Du 23 septembre au 18 décembre
Accès compris dans le tarif de l’entrée.
(Photo : DR)
Vous êtes rock ? chanson ? électro ? hip-hop ? Vous êtes jongleur de mots, bidouilleur de sons, tambourinaire, rhombiste ? Ou encore racleur de guiro, souffleur de cervelas, virtuose sur la guiterne, le cocolélé ou le vistemboir coudé…? Quels qu'ils soient, laissez éclater vos talents au Printemps de Bourges.
Pour représenter votre région au festival, inscrivez-vous jusqu'au 3 octobre inclus via Internet et déposez directement votre candidature sur le site du Printemps de Bourges.
Peut-être ferez-vous partie de la trentaine de jeunes artistes ou groupes à découvrir sur la scène du festival du 24 au 29 avril 2012 !
Renseignements détaillés sur www.printemps-bourges.com (rubrique Réseau Printemps)
Le samedi 1er octobre pour la 25e édition du Téléthon, un pari est lancé aux habitants, réaliser un logo humain géant du Téléthon.
Organisé avec l'Iscom et la Feder, l'événement se déroulera de 14h à 16h sur le parvis de l'hôtel de ville.
Plus d'information : http://coordination76e.telethon.fr
Le célèbre compositeur britannique Michael Nyman, à qui l’on doit quelques-unes des plus belles musiques de films de Peter Greenaway, sera l’invité d’honneur du prochain Festival "Automne en Normandie" qui se déroulera du 19 octobre au 21 novembre 2011.
De nombreux rendez-vous sont programmés à l’Omnia autour de l’artiste dont une conférence (14 oct.), un ciné piano dans la grande salle de l’Omnia le 17 novembre.
Renseignements auprès du Festival : www.automne-en-normandie.com
La thématique "Les Années 68" va se décliner en 3 expositions qui mettront chacune en valeur un aspect de cette période foisonnante tant au niveau social que culturel. La première a ainsi mis en lumière l'engagement des artistes notamment au travers des photos d'actualité mais aussi des affiches tirées par L'Atelier populaire des Beaux-Arts de Paris. C'est aussi l'occasion de retrouver les oeuvres de Bernard Rancillac, de Bernard Fromanger, de Ben. Dès le 27 septembre, une nouvelle exposition s'intéressera entre autre à l'art psychédélique avant de laisser la place en janvier 2012 à celle sur l'esthétique pop.
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Un opéra en 4 actes de 1914, d'après la tragédie de Gabriele d'Annunzio. Un des grands chefs-d'oeuvre du début du XXème siècle, injustement méconnu en France. Aux côtés de la superbe soprano Svetla Vassillieva, Roberto Alagna fait son retour à l'Opéra de Paris dans une mise en scène de Giancarlo Del Monaco.
Cet opéra raconte les amours tragiques d'une jeune femme noble (Francesca) avec le frère (Paolo Il Bello) de l'époux qu'on lui a imposé. En extrait, le magnifique duo d'amour du 4ème acte entre Francesca et Paolo.
Direction musicale : Daniel OREN
Mise en scène : Giancarlo DEL MONACO
Décors : Carlo CENTOLAVIGNA
Costumes : Maria FILIPPI
Lumières : Heinz Rudolf KUNZ
Chef du Choeur : Patrick Marie AUBERT
Francesca : Svetla VASSILIEVA
Samaritana : Louise CALLINAN
Ostasio : Wojtek SMILEK
Giovanni Lo Sciancato : George GAGNIDZE
Paolo Il Bello : Roberto ALAGNA
Malatestino dall'occhio : William JOYNER
Biancofiore : Maria Virginia SAVASTANO
Garsenda : Manuela BISCEGLIE
Altichiara : Andrea HILL
Adonella : Carol GARCIA
La Schiava : Cornelia ONCIOIU
Ser Toldo Berardengo : Alexandre KRAVETS
Il Giullare : Yuri KISSIN
Il Torrigiano : Alexandre DUHAMEL
Orchestre et Choeur de l'Opéra national de Paris
"Il y a un an, je pensais que je ne serais qu'un écrivain du dimanche" confie Alexis Jenni. Deux manuscrits ont en effet précédé "L'art français de la guerre". L'un est resté dans l'ordinateur, l'autre a été refusé par les maisons d'édition. Cela n'a pas découragé notre homme qui a mis cinq ans pour écrire ce (gros) livre (632 pages quand même !), un roman d'aventures où l'on suit la vie de Salagnon, un ancien parachutiste dessinateur, "qui a tout vécu, de la seconde guerre mondiale à la guerre d'Algérie". Deux guerres qui résonnaient en lui, de façon différente. La première en partie peut-être à cause des origines suisse-allemande de sa famille. La seconde parce qu'Alexis Jenni est né en 1963, un an après la fin de la guerre d'Algérie : "J'ai grandi à une époque où la France semblait être un peu sortie de l"histoire, où on s'occupait essentiellement de son enrichissement. Pour moi, un roman d'aventures était en quelque sorte une compensation à ce monde heureux et terne dans lequel j'ai vécu". C'est peut-être aussi pour échapper à ce monde que le jeune Alexis Jenni a d'abord été un lecteur de science-fiction. C'est elle qui l'a amené à la lecture. De quoi rassurer tous leurs parents d'élèves, désespérés par le manque de curiosité littéraire de leurs enfants. Qui sait ? de petits Jenni sommeillent peut-être en eux...
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La Scottish Rugby Union (SRU) est la fédération en charge du rugby à XV en Ecosse. Elle organise les compétitions nationales, gère les équipes nationales d'Ecosse, forme les arbitres et les entraîneurs. Elle est également propriétaire du stade de Murrayfield à Edimbourg qui accueille la majorité des matchs joués à domicile par l'équipe nationale de rugby écossaise. Inventé dans les écoles anglaises, le rugby est arrivé dans les écoles écossaises au milieu du XIXème siècle, importé par des élèves anglais. Deux jeunes frères, Francis et Alexander Crombie, arrivés en 1854 à Edimbourg de l'école de Durham, sont d'ailleurs considérés comme étant les « importateurs » du rugby en Ecosse. Le premier match de rugby connu en Ecosse date de 1858 et opposait deux écoles d'Edimbourg, Merchiston et la Royal High School. Ces deux écoles font d'ailleurs partie des 8 équipes écossaises qui fondent en 1873 la fédération écossaise de rugby à Glasgow. La fédération est baptisée Scottish Football Union (le rugby n'étant alors qu'une variante du football) et est la deuxième plus ancienne dans le monde, devancée par la Royal Football Union, la fédération anglaise, fondée en 1871. La Scottish Football Union ne prendra son nom actuel de Scottish Rugby Union qu'en 1924. La fédération écossaise sera partie prenante de toutes les actions de développement du rugby : premier match international contre l'Angleterre en 1871, création du Tournoi (futur Tournoi des Cinq puis Six Nations) en 1882, création de l'International Rugby Football Board (organisation qui gère encore le rugby à XV au niveau mondial) en 1886, participation à la première Coupe du Monde de Rugby en 1987, etc ... Voilà pourquoi, bien que le rugby écossais traverse depuis des années une vraie crise de résultats, l'Ecosse fait partie des nations qui comptent dans le monde du rugby !
Traditionnellement les clubs écossais étaient formés d'élèves ou d'anciens élèves d'universités et d'écoles écossaises. Cette origine est encore visible aujourd'hui dans la particule « FP » (Former Pupils) qu'on retrouve dans le nom de beaucoup de clubs. Pendant longtemps ces clubs s'affrontaient de manière non organisée. Il faudra attendre le début des années 70 pour voir la Scottish Rugby Union mettre en place le premier championnat écossais, la Scottish Premiership, dont la première édition a lieu lors de la saison 1973-1974. Il s'agit de la première compétition de type championnat organisée dans le monde du rugby des îles britanniques. Le championnat est alors organisé en six divisions avec un système de promotion / relégation. Conséquence de cette nouvelle organisation des compétitions : les clubs formés d'élèves ou d'anciens élèves doivent s'ouvrir aux recrutements extérieurs sous peine de décliner. Mais pour le rugby écossais le bilan est positif car ces compétitions de clubs fournissent un vrai vivier de joueurs pour l'équipe nationale. Ce championnat existe toujours mais ne compte plus que trois divisions. Le palmarès de la compétition ne laisse planer aucun doute sur l'identité de la région écossaise où le rugby est le plus populaire puisque les clubs les plus titrés sont situés pour la majorité dans la région des Borders (Hawick, Melrose, Kelso, Galashiels, ...).
Reste que le championnat domestique écossais a perdu de sa superbe depuis milieu des années 90 et l'avènement du professionnalisme dans le rugby écossais. Pour pouvoir tenir son rang dans les compétitions européennes, à la fois sur les plans sportif et économique, la SRU crée en 1996 quatre franchises régionales regroupant les meilleurs joueurs de rugby écossais : Borders Reivers (région des Borders au sud de l'Ecosse), Edimbourg Rugby, Glasgow Rugby et Caledonia Reds (nord et centre de l'Ecosse). Pour des raisons économiques la SRU a réduit en 1998 le nombre de franchises à 2 : Glasgow Warriors et Edimbourg Rugby (même si l'équipe des Borders a été recréée entre 2002 et 2007). Mais ces équipes écossaises ne brillent pas par leurs résultats ... En Celtic League (compétition qui oppose les meilleures équipes du Pays de Galles, d'Irlande, de l'Ecosse et de l'Italie), la meilleure performance est une place de vice-champion pour Edimbourg en 2009. En Coupe d'Europe (Heineken Cup) c'est là aussi Edimbourg qui a réalisé la meilleure performance avec un quart de finale en 2004.
Le Quinze du Chardon, comme on surnomme l'équipe nationale écossaise de rugby, est l'une des plus anciennes sélections nationales au monde. C'est d'ailleurs un match de l'Ecosse contre l'Angleterre qui constitue la première rencontre internationale de rugby : le 27 mars 1871 dans le stade de cricket de Raeburn Place à Edimbourg, le Quinze du Chardon bat le Quinze de la Rose. Ces rencontres entre l'Angleterre et l'Ecosse sont d'ailleurs à partir de 1878 l'enjeu d'une compétition opposant les deux nations : la Calcultta Cup. En 118 oppositions (chiffre en septembre 2011), les écossais ont emporté 39 fois le trophée, la dernière fois en 2008 lors du Tournoi des Six Nations. Une autre compétition honorifique oppose l'Ecosse à l'Angleterre, l'Irlande et le Pays de Galles : il s'agit de la Triple Couronne, que l'Ecosse a remportée 10 fois depuis 1883 (la dernière fois en 1990).
Cette Triple Couronne se déroule pendant le Tournoi des Six Nations qui est la principale compétition jouée par l'équipe nationale d'Ecosse. En 115 participations, les écossais ont remporté 22 tournois dont 3 Grands Chelems (1925, 1984 et 1990). Reste que les grandes heures du rugby écossais semblent bien lointaines aujourd'hui. Pendant la décennie 1886-1895 (5 victoires), les années 1900 (4 victoires) et les années 1920 (5 victoires dont un Grand Chelem en 1925) les écossais dominent le rugby européen, en concurrence selon les périodes avec le Pays de Galles ou l'Angleterre. Mais la période d'après-guerre est moins brillante pour les écossais : en dehors des années 80 (3 victoires dont 2 Grands Chelems en 1984 et 1990) le parcours écossais ressemble à une longue traversée du désert, juste interrompue par quelques rares éclaircies (la dernière remontant à 1999, dernière victoire dans le Tournoi des Six Nations). Le bilan est à peine plus positif en Coupe du Monde. Si l'Ecosse est parvenue au moins en quarts de finale de toutes les éditions depuis 1987, elle n'a pas fait mieux qu'une demi-finale en 1991, perdue contre l'Angleterre.
L'Ecosse a également affronté à de nombreuses reprises les grandes nations de l'hémisphère sud. Là encore peu de réussite ... Si le bilan contre l'Afrique du Sud (4 victoires pour 14 défaites) ou l'Australie (8 victoires pour 18 défaites) est honorable, le bilan contre les All Blacks néo-zélandais est par contre famélique : en 28 oppositions, les écossais n'ont obtenu que 2 petits matchs nuls et ne se sont jamais imposés !