Ainsi, la production n'est plus de 701 romans, mais de 741 titres, explique l'institut, dont 25 % sont issus des catalogues des grosses cylindrées, qu'il est inutile d'énumérer. Il suffit de penser aux maisons qui viennent le plus rapidement à l'esprit. Comparant les chiffres de 2005 et 2010, GjF note que l'on a 64 titres de plus de l'une à l'autre année et 65 éditeurs de mieux, rapporte RelaxNews.
Parce qu'il faut tout de même appeler un chat un chat, c'est à nouveau Gallimard qui remporte la palme de l'éditeur le plus présent - avec une moyenne de 35 titres proposés par rentrée depuis 2005. Viennent ensuite Actes Sud, ex aequo avec Fayard et Seuil, qui proposent 23 titres et enfin Albin Michel, avec 20 ouvrages.Pour autant, et bien que cette période soit particulièrement médiatisée, elle ne représente que 2 % du chiffre d'affaires annuel de l'édition. Soit à peine plus que les chiffres de vente de livres numériques en France. Si, si.
Mais celle de 2010 étant tirée (presque intégralement), il faut la boire, et bien la boire. Ainsi, le CA serait en hausse en regard de 2009, soit 25,9 millions € contre 22,9 millions €. De même, le volume de vente a légèrement augmenté. Cependant, il reste encore à attendre que les prix littéraires soient rendus, nous vous le raconterons encore mieux demain. Il paraît qu'un Goncourt fait vendre un peu moins de 400.000 exemplaires...
Le Renaudot est moins prisé, avec 220.000 ventes et le Médicis, qui est le dernier de la liste des prix les plus vendeurs, avec 42.000 ventes globalement. Mais comme on vous l'a dit, nous en recauserons demain.
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