« La Seine de Clovis à Rollon (VIe-Xe siècles), histoire et archéologie d’un espace fluvial ».

« La Seine de Clovis à Rollon (VIe-Xe siècles), histoire et archéologie d’un espace fluvial ».: "

Au cours des premiers siècles du Moyen Âge, la Seine fut, comme elle l’était déjà dans l’Antiquité, une grande voie d’échanges, assurant le lien entre les routes maritimes et le cœur du royaume. Des Andelys à la mer, la zone fluviale offrait de multiples visages, avec ses innombrables ports et passages d’eau, ses chasses royales, ses monastères, ses ermitages et ses premiers châteaux, sans oublier la cité de Rouen, siège des pouvoirs laïques et religieux, et ses faubourgs marchands. À partir du milieu du IXe siècle, la Seine fut une des voies utilisées par les flottes vikings pour pénétrer jusqu’au cœur de la France. Ces attaques provoquèrent l’exode des communautés religieuses et le repli des habitants des bourgs portuaires dans la cité de Rouen et dans quelques places de sûreté. Elles furent suivies vers 900 par l’installation des premiers groupes nordiques dans la basse vallée de la Seine, prélude à l’accord historique conclu à Saint-Clair-sur-Epte entre les « Normands de la Seine », représentés par leur chef Rollon, et le roi de France Charles le Chauve.

Entrée libre.

CONFERENCE DE JACQUES LE MAHO, CHERCHEUR AU CNRS :

« La Seine de Clovis à Rollon (VI^e-X^e siècles), histoire et archéologie d’un espace fluvial ».

Hôtel des Sociétés savantes, 190 rue Beauvoisine, samedi 19 mars, 15 heures.

Dans le cadre des manifestations commémorant le XIe centenaire de la création de la Normandie, le Centre de Recherches Archéologiques de Haute-Normandie – Société Normande d’Études Préhistoriques et Historiques, le conférencier évoquera les premières implantations vikings en Basse Seine. P/Ptit Pat Rouennais

: http://www.lemarite.com

La Seine-Ô-ma-Reine!

Le Port de Rouen redore son blason, finance sa 1ère campagne d’affichage.

Posté dans 5 août, 2009

Voilà une nouvelle qu'elle est belle, enfin me permettrais-je d'écrire.. Aux regards de la gabegie financière en matière de communication de la Ville de Rouen, dépenses inutiles et bien souvent sans grands intérêts cette nouvelle apprise ce jour via le Journal Local me fait vraiment plaisir, et c'est peu dire. Comme l'écrivait le si grand et bel auteur André Maurois, écrivain normand que j'affectionne particulièrement, “Comprendre Rouen Monsieur? On ne comprend pas Rouen, Monsieur, On y vit!”Cette phrase encrée dans ma mémoire prend tous son sens lorsque l'on parle du Port de Rouen. Demain le Grand port sera ou ne sera pas, d'ailleurs peut-être qu'il ne sera jamais si les décideurs n'en font plus qu'une belle poubelle Seino-Parisienne.. Contrairement à maintes et maintes idées reçues ou répandues ici où là.. nous sommes nombreux à apprécier Rouen, pour son Port, bien avant toutes autres considérations. Personnellement fan des grands ports Européens, je signe ici car c'est mon cas. D'ailleurs ce blog participe à la sauvegarde et promotion du patrimoine en général, maritime en particulier, rouennais en particulier, envers et contre tous, confère notre combat pour la sauvegarde de not' Marité d' ch'teu nous, lâchement abandonné…

(lire la suite…)

Campagne publicitaire, de la saturation visuelle oh grand jamais. D'ailleurs suis-je encore en colère lorsque par un beau matin, le département de seine-maritime, pourfendait la liberté d'expression , un possible choix démocratique, et par le fait accomplit nous rebaptisaient ”seinomarins”. En deux mots, il ne saurait y avoir de seinomarins en seine-maritime car la seule à mon goût qui puisse se prévaloir d'une telle appellation, non pas contrôlée mais désirée ne peut être que la Seine! La Seine, la Seine-Ô-ma-Reine!! dixit moi-même ou bien mieux, Strabon auteur grec témoignant dans “géographie” de la plus plus belle voie de commerce formée par la nature il ya plus de 2000 ans, et déjà la Bretagne, sans parler des découvreurs qui passant un jour par Rouen y on laissé leurs noms. .

«On peut remonter le Rhône fort loin et transporter ainsi les marchandises en différents endroits, car la Saône et le Doubs, qui sont des rivières navigables et propres à porter de grosses charges, se jettent dans le Rhône. Depuis la Saône jusqu’à la Seine, on voiture les marchandises par terre. C’est en descendant cette rivière qu’on les transporte dans le pays des Lexoviens et des Calètes, et de là, par l’Océan, en moins d’un jour, dans la Bretagne» .

"