mardi 15 février 2011
32 "Histoires harmoniques" / 32
32 "Histoires harmoniques" / 32: "
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 | Le 05/03/2011 Tarif : NC | Billeterie : NC Théâtre de l'Almendra - ROUEN (76000) |
Soldes d'hiver : le e-commerce en hausse
Soldes d'hiver : le e-commerce en hausse: "
Si les soldes d'hiver ont un bilan morose, le e-commerce tire son épingle du jeu. De plus en plus de consommateurs font leurs achats en ligne, mais sans pour autant dépenser plus.
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Tags: montant eco hiver ligne budget vente e-commerce economie internet soldes achat argent depenses
Posted: 15 February 2011
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Recherches actives d'une joggeuse disparue
Recherches actives d'une joggeuse disparue: "
Les gendarmes, qui recherchent activement une joggeuse de 49 ans disparue depuis lundi en rase campagne au nord de Toulouse, ont retrouvé des traces suspectes, sans pouvoir encore en déterminer la nature.
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Tags: toulouse disparition bouloc disparue joggeuse campagne hélicoptère haute-garonne mère famille femme
Posted: 15 February 2011
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Lassin Valentin vu par Les Improvisateurs
Lassin Valentin vu par Les Improvisateurs: "
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Les Improvisateurs est une troupe de théâtre fondée par Régis Boughazra. Elle propose des activités destinées tant au grand public qu'aux professionnels. Tous les mois à Strasbourg, ils proposent des spectacles dans lesquels ce sont les spectateurs qui suggèrent les thèmes. Charge ensuite aux comédiens d'improviser.
- > A voir aussi sur Culturebox :
->> Une-journée-avec-Diane-Dugard-artiste-de-cirque-et-dresseuse-de-poules
->> Improvisation-et-bd-avec-Margerin-au-festival-de-la-bande-dessinée ->> Des-comédiens-improvisent-à-la-quebecoise-à-Tours
->> Mathilde-Monnier-au-festival-de-Toulouse--une-impro-très-pro"
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Les Improvisateurs est une troupe de théâtre fondée par Régis Boughazra. Elle propose des activités destinées tant au grand public qu'aux professionnels. Tous les mois à Strasbourg, ils proposent des spectacles dans lesquels ce sont les spectateurs qui suggèrent les thèmes. Charge ensuite aux comédiens d'improviser.
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"Hetero L'Une", lectures amoureuses signées Denis Lachaud au CDN
"Hetero L'Une", lectures amoureuses signées Denis Lachaud au CDN: "
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A l'origine, 'Hetero' et 'L'Une' sont deux textes distincts écrits respectivement par Denis Lachaud en 2001 et 2009. Cet auteur français collabore depuis 1999 avec Arthur Nauzyciel. Il a suivi son travail en écrivant les journaux des répétitions de quatre de ses mises en scène. Depuis 2007, Denis Lachaud est aussi devenu écrivain associé au CDN d'Orléans que dirige le metteur en scène. A l'automne 2010, ce dernier a présenté une mise en espace d'Hetero à New-York, avec les acteurs américains de son 'Julius Caesar' (une pièce créée dans les années 60 à Boston et revisitée par Nauzyciel). Aujourd'hui, il dirige ces deux lectures en France avec quelques-uns des comédiens qui ont participé à ses précédentes créations, dont 'Le Malade Imaginaire' et 'L'Image'.
- > A voir aussi sur Culturebox :
->Copula-la-vie-de-couple-vue-par-la-compagnie-Allerlei ->Pierre-Arditi-joue-la-vérité-au-théâtre-montparnasse"
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A l'origine, 'Hetero' et 'L'Une' sont deux textes distincts écrits respectivement par Denis Lachaud en 2001 et 2009. Cet auteur français collabore depuis 1999 avec Arthur Nauzyciel. Il a suivi son travail en écrivant les journaux des répétitions de quatre de ses mises en scène. Depuis 2007, Denis Lachaud est aussi devenu écrivain associé au CDN d'Orléans que dirige le metteur en scène. A l'automne 2010, ce dernier a présenté une mise en espace d'Hetero à New-York, avec les acteurs américains de son 'Julius Caesar' (une pièce créée dans les années 60 à Boston et revisitée par Nauzyciel). Aujourd'hui, il dirige ces deux lectures en France avec quelques-uns des comédiens qui ont participé à ses précédentes créations, dont 'Le Malade Imaginaire' et 'L'Image'.
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Amira Casar et Thierry Frémont incarnent Dora Maar et Pablo Picasso pour France 2
Amira Casar et Thierry Frémont incarnent Dora Maar et Pablo Picasso pour France 2: "
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Quand Dora Maar rencontre Pablo Picasso en 1935, elle a 28 ans et lui, 54. Il est au firmament de sa carrière. Elle est une femme 'debout', intellectuelle, photographe, poétesse, très proche du milieu des surréalistes. Elevée en Argentine par une famille franco-croate, Henriette Theodora Markovitch (le vrai nom de Dora Maar) revient à Paris, sa ville natale, en 1926, pour suivre une formation artistique. Elle commencera par la peinture avant de se consacrer à la photographie. Elle s'intéressera notamment aux conséquences de la crise économique de 1929 à Londres et à Barcelone. Comment rencontre t-elle Picasso ? Alors qu'elle travaille comme photographe de plateau sur 'Le crime de Monsieur Lange ' de Jean Renoir, Paul Eluard la présente à l'artiste. Il est alors marié avec Olga, la mère de son fils. Leur liaison durera sept ans. Picasso va forcer Dora Maar à arrêter la photo, éclipsant le talent et la fougue de cette femme moderne. Le titre du téléfilm est celui d'un tableau de l'artiste dans lequel l'amant défigure sa maîtresse.
Avec ces rôles, Amira Casar et Thierry Frémont ont décroché les prix de la meilleure interprétation au dernier festival de la Fiction TV de La Rochelle.
A voir aussi sur Culturebox : - Les autres entretiens 'Les 5 dernières minutes'
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Quand Dora Maar rencontre Pablo Picasso en 1935, elle a 28 ans et lui, 54. Il est au firmament de sa carrière. Elle est une femme 'debout', intellectuelle, photographe, poétesse, très proche du milieu des surréalistes. Elevée en Argentine par une famille franco-croate, Henriette Theodora Markovitch (le vrai nom de Dora Maar) revient à Paris, sa ville natale, en 1926, pour suivre une formation artistique. Elle commencera par la peinture avant de se consacrer à la photographie. Elle s'intéressera notamment aux conséquences de la crise économique de 1929 à Londres et à Barcelone. Comment rencontre t-elle Picasso ? Alors qu'elle travaille comme photographe de plateau sur 'Le crime de Monsieur Lange ' de Jean Renoir, Paul Eluard la présente à l'artiste. Il est alors marié avec Olga, la mère de son fils. Leur liaison durera sept ans. Picasso va forcer Dora Maar à arrêter la photo, éclipsant le talent et la fougue de cette femme moderne. Le titre du téléfilm est celui d'un tableau de l'artiste dans lequel l'amant défigure sa maîtresse.
Avec ces rôles, Amira Casar et Thierry Frémont ont décroché les prix de la meilleure interprétation au dernier festival de la Fiction TV de La Rochelle.
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"Dolce Francia", énième version de "Douce France" de Charles Trenet, signée Carla Bruni
"Dolce Francia", énième version de "Douce France" de Charles Trenet, signée Carla Bruni: "
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Quand il écrit Douce France, Charles Trenet n'a pas 30 ans et pourtant il est déjà connu puisqu'il a composé quelques-unes de ses chansons les plus célèbres : 'Y'a d'la joie', 'Je chante', 'Fleur bleue'. Il avait déjà reçu son surnom de 'Fou Chantant'. Mais la seconde guerre mondiale éclate juste après et Trenet est mobilisé. La guerre ne l'empêche pas de jouer dans des films. On oublie souvent que Trenet fut en effet aussi acteur (il joua dans plus d'une dizaine de films). Il chante aussi, à Paris et en présence des allemands. Qu'on ne s'y trompe pas : le jeune Charles est dans le collimateur de la presse collaborationniste car à l'époque, avec Django Reinhardt, il essaie d'introduire les rythmes jazzys, très mal vus par le pouvoir en place. C'est au cours de cette période, en 1942, qu'il écrit 'Espoir' et surtout 'Douce France', rappelant que l'hexagone est un pays qu'on continue d'aimer 'dans la joie et la douleur'. La population y voit un hymne à la résistance passive tandis que le pouvoir pétainiste ne retient que les images d'Epinal, évoquant avec nostalgie une France pétrie de traditions. La chanson restera le titre emblématique de Charles Trenet et retrouvera une nouvelle jeunesse en 1986 avec la version arabisante proposée par le groupe de Rachid Taha, Carte de Séjour. Elle deviendra alors une sorte de porte-drapeaux de la génération 'beur' dans une France où le Front National monte en puissance.
A voir aussi sur Culturebox :
- Le succès de 'Bretonne' le nouvel album de Nolwenn Leroy
- La chanson frénçaise à la fête sur France Télévisions
- 'Au bonheur des tubes' ouvre la boîte à souvenirs de la chanson française
- Les Nino's : hommage à Ferrer pour les enfants
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Quand il écrit Douce France, Charles Trenet n'a pas 30 ans et pourtant il est déjà connu puisqu'il a composé quelques-unes de ses chansons les plus célèbres : 'Y'a d'la joie', 'Je chante', 'Fleur bleue'. Il avait déjà reçu son surnom de 'Fou Chantant'. Mais la seconde guerre mondiale éclate juste après et Trenet est mobilisé. La guerre ne l'empêche pas de jouer dans des films. On oublie souvent que Trenet fut en effet aussi acteur (il joua dans plus d'une dizaine de films). Il chante aussi, à Paris et en présence des allemands. Qu'on ne s'y trompe pas : le jeune Charles est dans le collimateur de la presse collaborationniste car à l'époque, avec Django Reinhardt, il essaie d'introduire les rythmes jazzys, très mal vus par le pouvoir en place. C'est au cours de cette période, en 1942, qu'il écrit 'Espoir' et surtout 'Douce France', rappelant que l'hexagone est un pays qu'on continue d'aimer 'dans la joie et la douleur'. La population y voit un hymne à la résistance passive tandis que le pouvoir pétainiste ne retient que les images d'Epinal, évoquant avec nostalgie une France pétrie de traditions. La chanson restera le titre emblématique de Charles Trenet et retrouvera une nouvelle jeunesse en 1986 avec la version arabisante proposée par le groupe de Rachid Taha, Carte de Séjour. Elle deviendra alors une sorte de porte-drapeaux de la génération 'beur' dans une France où le Front National monte en puissance.
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Les Pleurants de Philippe le Hardi exposés au Musée des Beaux-Arts
Les Pleurants de Philippe le Hardi exposés au Musée des Beaux-Arts: "
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Les Pleurants du tombeau de Jean Sans Peur continuent leur tournée américaine entamée en mars 2008.
Ils sont installés depuis le 23 janvier au Minneapolis Institute of Art, dans le Minnesota. C'est la quatrième étape de leur tournée de deux ans dans les musées américains. Ils rentreront en France en 2012 pour une exposition au musée de Cluny, à Paris, avant leur retour à Dijon.
Cet échange a pu avoir lieu grâce au réseau FRAME (French régional american museum exchange) qui réunit 12 musées français et 12 musées américains et qui permet des expositions exceptionnelles.
Ces 39 statuettes qui soutiennent la sépulture de Jean sans Peur ont été réalisées entre 1443 et 1447. La tâche revenait à l'imagier Claus de Werve, mais il mourut avant. C'est l'Espagnol Jean de la Huerta, qui résidait en Bourgogne, qui fut engagé, avec l'obligation de se conformer au projet initial.
L'exposition au Musée des Beaux-Arts de Dijon est gratuite et ouverte tous les jours sauf le mardi.
A voir aussi sur Culturebox :
- Les Pleurants font leur show au MET de New-York - La Chapelle Saint Jacques et les 20 statues : chef d'oeuvre de Louis 1er d'Amboise - Cluny reprend vie grâce à la 3D et à la réalité augmentée
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Les Pleurants du tombeau de Jean Sans Peur continuent leur tournée américaine entamée en mars 2008.
Ils sont installés depuis le 23 janvier au Minneapolis Institute of Art, dans le Minnesota. C'est la quatrième étape de leur tournée de deux ans dans les musées américains. Ils rentreront en France en 2012 pour une exposition au musée de Cluny, à Paris, avant leur retour à Dijon.
Cet échange a pu avoir lieu grâce au réseau FRAME (French régional american museum exchange) qui réunit 12 musées français et 12 musées américains et qui permet des expositions exceptionnelles.
Ces 39 statuettes qui soutiennent la sépulture de Jean sans Peur ont été réalisées entre 1443 et 1447. La tâche revenait à l'imagier Claus de Werve, mais il mourut avant. C'est l'Espagnol Jean de la Huerta, qui résidait en Bourgogne, qui fut engagé, avec l'obligation de se conformer au projet initial.
L'exposition au Musée des Beaux-Arts de Dijon est gratuite et ouverte tous les jours sauf le mardi.
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Le tromboniste Fabrice Millischer révélation soliste instrumental de l'année
Le tromboniste Fabrice Millischer révélation soliste instrumental de l'année: "
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Formé à Toulouse puis à Lyon, Fabrice Millischer est actuellement Trombone-solo à la Deutsche Radio Philharmonie Saarbrücken Kaiserslautern.
Il a remporté de nombreux prix internationaux dont le Premier Prix du prestigieux Concours International de l'ARD Munich.
Fabrice Millischer a déjà contribué à la création de plusieurs oeuvres pour trombone, notamment le “Concerto pour trombone et ensemble de cuivres” de Jean Guillou.
Plusieurs pièces lui sont d'ores et déjà dédiées : “Libretto” d'Etienne Perruchon, “L'appel sauvage” d'Alain Celo et le Concerto pour trombone et orchestre de Patrick Burgan “La chute de Lucifer”.
Il dirige des master classes partout dans le monde.
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- Le violoncelliste Yan Levionnois nommé aux Victoires de la musique 2011
- Le choeur d'enfants d'Aulnay-sous-Bois sera aux Victoires de la musique classique
"Suspection", les souvenirs de Fabienne Renault vus par Enki Bilal
"Suspection", les souvenirs de Fabienne Renault vus par Enki Bilal: "
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Déjà scénariste, peintre, réalisateur mais surtout star de la BD, consacré par le marché de l'art, Enki Bilal ajoute une corde à son arc : la mise en scène théâtrale. Et pour cette première, il associe son univers aux portraits savoureux de Fabienne Renault. Une collaboration qui ne doit rien au hasard. Ce livre de souvenirs d'enfance écrit par sa compagne croque sur le vif des portraits de copines, de villageois qui l'ont marqué, des gens qui agacent, amusent ou fascinent. Bilal lui, les rend laids et menaçants. Il y ajoute cette noirceur oppressante qui caractérise ses créations. Il transporte le personnage féminin dans une sorte de salle de torture où on l'interroge sur son passé, où on lui extorque ses souvenirs. Elle porte une combinaison qui évoque celles des prisonniers de Guantanamo. Une façon pour lui de porter une nouvelle fois un regard critique sur notre société. Presque une obsession pour ce jeune regard critique sur les systèmes totalitaires nés au XXe siècle et qui créent les machines qui fouillent l'intimité et bafouent l'innocence des êtres. Presque une obsession, pour ce français né en République Fédérale Socialiste de Yougoslavie d'un père bosniaque et d'une mère slovaque. Son père était maître-tailleur et s'occupait personnellement de la garde-robe de Tito, qu'il avait connu dans la résistance. Son enfance dans la Yougoslavie de Tito et son exil en France nourrissent ses créations.
- > A voir aussi sur Culturebox :
->> Rêve-d'automne-du-norvégien-Jon-Fosse-mis-en-scène-par-Patrice-Chéreau ->> Expo-d'affiches-contre-la-peine-de-mort--deux-graphistes-chaumontais-selectionnés"
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Déjà scénariste, peintre, réalisateur mais surtout star de la BD, consacré par le marché de l'art, Enki Bilal ajoute une corde à son arc : la mise en scène théâtrale. Et pour cette première, il associe son univers aux portraits savoureux de Fabienne Renault. Une collaboration qui ne doit rien au hasard. Ce livre de souvenirs d'enfance écrit par sa compagne croque sur le vif des portraits de copines, de villageois qui l'ont marqué, des gens qui agacent, amusent ou fascinent. Bilal lui, les rend laids et menaçants. Il y ajoute cette noirceur oppressante qui caractérise ses créations. Il transporte le personnage féminin dans une sorte de salle de torture où on l'interroge sur son passé, où on lui extorque ses souvenirs. Elle porte une combinaison qui évoque celles des prisonniers de Guantanamo. Une façon pour lui de porter une nouvelle fois un regard critique sur notre société. Presque une obsession pour ce jeune regard critique sur les systèmes totalitaires nés au XXe siècle et qui créent les machines qui fouillent l'intimité et bafouent l'innocence des êtres. Presque une obsession, pour ce français né en République Fédérale Socialiste de Yougoslavie d'un père bosniaque et d'une mère slovaque. Son père était maître-tailleur et s'occupait personnellement de la garde-robe de Tito, qu'il avait connu dans la résistance. Son enfance dans la Yougoslavie de Tito et son exil en France nourrissent ses créations.
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Les artistes de La Grande Boutique s'installent au Jardin Moderne
Les artistes de La Grande Boutique s'installent au Jardin Moderne: "
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Récapitulons ! On commence par Le Jardin Moderne. Il s'agit d'une structure dédiée aux musiques actuelles et électrifiées ouverte à Rennes en 1998. Ca c'est fait ! Passons à La Grande Boutique, une 'friche Articole' créée par Cécile Borne et Bertrand Dupont, elle aussi en 1998, dans un ancien hôtel de Langonnet dans le Morbihan. Toute l'année, le lieu accueille des artistes en résidence avec comme fil rouge des créations 'innovantes et métissées'. Danseurs, musiciens, vidéastes, sont les bienvenus ici, qu'ils viennent de France et d'ailleurs. Depuis 5 ans, La Grande Boutique produit ses propres disques sous le label Innacor et diffuse des spectacles dans le Centre Bretagne avec Le Plancher. Parmi les artistes qu'elle accueille, on peut citer le clarinettiste Erik Marchand qui a lancé en 2003 le projet Kreiz Breizh Akadem. Son but est de transmettre à de jeunes musiciens les règles d'interprétation de la musique modale en s'appuyant sur la musique traditionnelle bretonne. Le projet fonctionne par cycle de 3 ans avec des intervenants professionnels comme le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf, le syrien et joueur de Oud Fawaz Baker, Titi Robin) encore Rodolphe Burger
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Récapitulons ! On commence par Le Jardin Moderne. Il s'agit d'une structure dédiée aux musiques actuelles et électrifiées ouverte à Rennes en 1998. Ca c'est fait ! Passons à La Grande Boutique, une 'friche Articole' créée par Cécile Borne et Bertrand Dupont, elle aussi en 1998, dans un ancien hôtel de Langonnet dans le Morbihan. Toute l'année, le lieu accueille des artistes en résidence avec comme fil rouge des créations 'innovantes et métissées'. Danseurs, musiciens, vidéastes, sont les bienvenus ici, qu'ils viennent de France et d'ailleurs. Depuis 5 ans, La Grande Boutique produit ses propres disques sous le label Innacor et diffuse des spectacles dans le Centre Bretagne avec Le Plancher. Parmi les artistes qu'elle accueille, on peut citer le clarinettiste Erik Marchand qui a lancé en 2003 le projet Kreiz Breizh Akadem. Son but est de transmettre à de jeunes musiciens les règles d'interprétation de la musique modale en s'appuyant sur la musique traditionnelle bretonne. Le projet fonctionne par cycle de 3 ans avec des intervenants professionnels comme le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf, le syrien et joueur de Oud Fawaz Baker, Titi Robin) encore Rodolphe Burger
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Alexandra Hernandez chante Saint-Pierre-et-Miquelon en ouverture de Fest'îles
Alexandra Hernandez chante Saint-Pierre-et-Miquelon en ouverture de Fest'îles: "
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A l'âge de 18 ans, Alexandra Hernandez quittait son petit archipel français ( 8 kilomètres sur 4, 5000 habitants) d'Amérique du nord pour suivre des études musicales à l'Université de Québec à Montréal. Fille d'un papa né en Algérie, venu à Saint Pierre pour y créer le cadastre et resté par amour pour une 'miquelonnaise', Alexandra raconte que la musique a fait partie de sa vie très tôt, bien avant d'apprendre le solfège dans une école : 'Sur l'île, la musique s'apprend déjà en ouvrant ses oreilles et à la rencontre de musiciens dans les bars' raconte la jeune femme. Après Montréal, Alexandra est partie en France. C'était en 2004. C'est là qu'elle a commencé à écrire ses premières chansons à la guitare. Elle a ensuite écumé les concours, décrochant à chaque fois une récompense. Elle fut notamment lauréate du Tremplin des Déferlantes Francophones de Capbreton en 2008. Elle croise Robert Charlebois, Michel Delpech, qui l'encouragent à continuer. Et aussi un landais, Thomas Hervé, professeur de guitare au Conservatoire de Dax. C'est pour lui qu'elle est restée à Dax. C'est aussi lui qui signe les arrangements du concert proposé dans le cadre de Fest'îles. Le public pourra découvrir quelques uns des titres présents sur l'album autoproduit qu'Alexandra a sorti en 2008 et intitulé 'Ma Tranq'île'.
A voir aussi sur Culturebox :
- Fred Gilbert, lauréat de Dom Tom Folies 2010 - L'intégrale de l'Oeuvre des mers d'Eugène Nicole
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A l'âge de 18 ans, Alexandra Hernandez quittait son petit archipel français ( 8 kilomètres sur 4, 5000 habitants) d'Amérique du nord pour suivre des études musicales à l'Université de Québec à Montréal. Fille d'un papa né en Algérie, venu à Saint Pierre pour y créer le cadastre et resté par amour pour une 'miquelonnaise', Alexandra raconte que la musique a fait partie de sa vie très tôt, bien avant d'apprendre le solfège dans une école : 'Sur l'île, la musique s'apprend déjà en ouvrant ses oreilles et à la rencontre de musiciens dans les bars' raconte la jeune femme. Après Montréal, Alexandra est partie en France. C'était en 2004. C'est là qu'elle a commencé à écrire ses premières chansons à la guitare. Elle a ensuite écumé les concours, décrochant à chaque fois une récompense. Elle fut notamment lauréate du Tremplin des Déferlantes Francophones de Capbreton en 2008. Elle croise Robert Charlebois, Michel Delpech, qui l'encouragent à continuer. Et aussi un landais, Thomas Hervé, professeur de guitare au Conservatoire de Dax. C'est pour lui qu'elle est restée à Dax. C'est aussi lui qui signe les arrangements du concert proposé dans le cadre de Fest'îles. Le public pourra découvrir quelques uns des titres présents sur l'album autoproduit qu'Alexandra a sorti en 2008 et intitulé 'Ma Tranq'île'.
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Lady Arlette chante "Rendez-vous"
Lady Arlette chante "Rendez-vous": "
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Certains l'appellent la 'Didier Wampas au féminin' pour son côté déjanté, une sorte d'égérie punk en plus nuancé. La dame au chapeau et aux Dr Martens roses vient de Montbéliard. En novembre 2008, elles rencontre trois gars de la scène musicale normande : Paolo Consiglio à la guitare, Laurent Gauthier à la batterie et Pierre Lacheray à la basse. Avec eux, elle donne vie à un projet, Le Cabaret Improbable, qui deviendra le titre de son premier album. Elle conçoit ses textes à la façon des haïkus, ces courts poèmes japonais, et des jeux de mots. Dans son nouvel album 'Je suis madame', l'une des 10 chansons est intitulée 'J'aime les vieilles qui fument', un hommage à une autre drôle de dame de la chanson française, l'inclassable Brigitte Fontaine, qui a peut-être bien trouver en Lady Arlette sa fille spirituelle.
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"Bas-Fonds" d'Isild le Besco, une plongée dans la violence d'un fait réel
"Bas-Fonds" d'Isild le Besco, une plongée dans la violence d'un fait réel: "
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'Bas-Fonds' est le 3ème long-métrage d'Isild Le Besco. En 2004 puis 2007, elle avait déjà signé deux films qui s'étaient fait remarquer, 'Demi-tarif' et 'Charly'. Le premier, en partie autobiographique, racontait le quotidien d'enfants livrés à eux-mêmes. Le second avait pour héros un adolescent fugueur et orphelin. La comédienne-réalisatrice avoue avoir non pas de la fascination 'mais de l'empathie' pour ces personnages en marge, dont on ne parle pas'. Au Festival de Locarno, en août dernier, ses 'Bas-Fonds' ont provoqué des réactions tranchées, voire violentes. Le film raconte un fait divers réel : en Auvergne en 2002, trois jeunes femmes avaient été arrêtées pour le meurtre d'un boulanger, tué d'une décharge de chevrotine. Le sujet a tout de suite interpellé Isild Le Besco. Il lui a fallu 6 mois de casting pour trouver les 3 actrices, toutes débutantes : Valérie Nataf, Ginger Romàn et Noémie Le Carrer. Le tournage fut très difficile mais heureusement court : 'les actrices n'auraient pas pu tenir plus' avoue la réalisatrice. Elles campent trois femmes qui vivent dans un appartement crasseux. Une seule travaille, elles n'ont ni famille ni vie sociale. Il y a Magalie, la chef du trio, violente, sa soeur Marie-Steff et Barbara, son amante et 'tête-de-turc'. Elles vivent dans un univers où se mêlent insultes, violence animale, porno. Les critiques ont reproché à Isild Le Besco de se complaire à montrer la pauvreté. 'La misère dont il est question ici est une misère affective, pas matérielle. Ces trois femmes auraient pu être richissimes et souffrir de la même façon du manque d'attention et d'amour. Si j'avais voulu faire un film sur la pauvreté, j'aurais été à Calcutta'.
- > A voir aussi sur Culturebox :
->> Black-swan--angoisse-et-danse-classique-avec-Natalie-Portman ->> L'adaptation de fait-divers"
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'Bas-Fonds' est le 3ème long-métrage d'Isild Le Besco. En 2004 puis 2007, elle avait déjà signé deux films qui s'étaient fait remarquer, 'Demi-tarif' et 'Charly'. Le premier, en partie autobiographique, racontait le quotidien d'enfants livrés à eux-mêmes. Le second avait pour héros un adolescent fugueur et orphelin. La comédienne-réalisatrice avoue avoir non pas de la fascination 'mais de l'empathie' pour ces personnages en marge, dont on ne parle pas'. Au Festival de Locarno, en août dernier, ses 'Bas-Fonds' ont provoqué des réactions tranchées, voire violentes. Le film raconte un fait divers réel : en Auvergne en 2002, trois jeunes femmes avaient été arrêtées pour le meurtre d'un boulanger, tué d'une décharge de chevrotine. Le sujet a tout de suite interpellé Isild Le Besco. Il lui a fallu 6 mois de casting pour trouver les 3 actrices, toutes débutantes : Valérie Nataf, Ginger Romàn et Noémie Le Carrer. Le tournage fut très difficile mais heureusement court : 'les actrices n'auraient pas pu tenir plus' avoue la réalisatrice. Elles campent trois femmes qui vivent dans un appartement crasseux. Une seule travaille, elles n'ont ni famille ni vie sociale. Il y a Magalie, la chef du trio, violente, sa soeur Marie-Steff et Barbara, son amante et 'tête-de-turc'. Elles vivent dans un univers où se mêlent insultes, violence animale, porno. Les critiques ont reproché à Isild Le Besco de se complaire à montrer la pauvreté. 'La misère dont il est question ici est une misère affective, pas matérielle. Ces trois femmes auraient pu être richissimes et souffrir de la même façon du manque d'attention et d'amour. Si j'avais voulu faire un film sur la pauvreté, j'aurais été à Calcutta'.
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Les Ports de France vus par Paul Signac au Musée de la Piscine
Les Ports de France vus par Paul Signac au Musée de la Piscine: "
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Paul Signac a attendu 1929 et ses 65 ans pour réaliser un projet qui lui tenait à coeur depuis longtemps : peindre à l'aquarelle 100 ports de France. Un projet qui a été rendu possible par sa rencontre avec Gaston Lévy, un homme d'affaires, créateur d'une chaîne de grands magasins et collectionneur d'art passionné. Lévy devient le mécène et l'ami de Signac qui dès 1928, lui parle de son envie de peindre les ports : 'J'ai relevé 40 ports de la Manche, 40 ports de l'Océan, 20 ports de la Méditerranée'. Signac a tout prévu : de l'achat d'une 'conduite intérieure' C4 Citroën avec chauffeur, aux dates de ces différents séjours. Il prévoit 5 à 6 mois de travail et veut peindre deux aquarelles dans chaque port, une pour lui et une pour Lévy. Ce dernier accepte le projet et Signac part en février 1929 pour la Méditerranée. Son périple s'achève en 1931. Ce 'reportage' témoigne de la vitalité du peintre et de son amour pour l'univers maritime. Hélas, en 1995, cette collection est dispersée. Il a fallu attendre les années 2000 pour qu'elle soit exposée. La première fois c'était au Musée Malraux du Havre d'octobre 2009 à janvier 2010.
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Paul Signac a attendu 1929 et ses 65 ans pour réaliser un projet qui lui tenait à coeur depuis longtemps : peindre à l'aquarelle 100 ports de France. Un projet qui a été rendu possible par sa rencontre avec Gaston Lévy, un homme d'affaires, créateur d'une chaîne de grands magasins et collectionneur d'art passionné. Lévy devient le mécène et l'ami de Signac qui dès 1928, lui parle de son envie de peindre les ports : 'J'ai relevé 40 ports de la Manche, 40 ports de l'Océan, 20 ports de la Méditerranée'. Signac a tout prévu : de l'achat d'une 'conduite intérieure' C4 Citroën avec chauffeur, aux dates de ces différents séjours. Il prévoit 5 à 6 mois de travail et veut peindre deux aquarelles dans chaque port, une pour lui et une pour Lévy. Ce dernier accepte le projet et Signac part en février 1929 pour la Méditerranée. Son périple s'achève en 1931. Ce 'reportage' témoigne de la vitalité du peintre et de son amour pour l'univers maritime. Hélas, en 1995, cette collection est dispersée. Il a fallu attendre les années 2000 pour qu'elle soit exposée. La première fois c'était au Musée Malraux du Havre d'octobre 2009 à janvier 2010.
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