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lundi 12 septembre 2011
Don du sang : « votre sang fait la différence » !
J'aide mon enfant à surmonter son stress
J'aide mon enfant à surmonter son stress
De Sylvie Sarzaud
ISBN : 978-2-212-55197-6
154 pages
Dîner de Gala 2011 des Meilleurs Ouvriers de France à La Rotonde de Beaulieu
Fais moi une fleur, le nouvel album de Maurane
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Un père directeur d'une Académie de Musique, une mère professeure de piano, Maurane de son vrai nom Claudine Luypaerts a été baignée par la musique dès son plus jeune âge. Après avoir participé à des concours de chant et un spectacle consacré à Jacques Brel, elle sort en 1980 ses premiers 45 tours sous le pseudo de Claudie Claude. C'est le rôle de Marie-Jeanne dans la deuxième version de Starmania qui va la propulser sur le devant de la scène à partir de 1988, elle y occupe un rôle tenu précédemment par la québecoise Fabienne Thibeault, puis par Louise Forestier et Marie Carmen dans les deux adaptations canadiennes de cet opéra rock en 1980 et 1986. L'aventure "Starmania" tourne court pour Maurane qui après une défection est remplacée par Réjane Perry pour la tournée du spectacle, mais la carrière musicale de l'artiste est déjà sur des rails, et deux années plus tard, elle se produit seule sur la scène de l'Olympia avec son deuxième album sobrement intitulé "Maurane".
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Le 11 septembre vu par Art Spiegelman
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Le dessinateur qui a reçu en janvier 2011 le Grand Prix de la ville d'Angoulême sera, comme c'est la tradition, le prochain
président du jury à l'occasion de l'édition 2012 du Festival international de la bande-dessinée. Art Spiegelman est entré dans l'histoire de la littérature en racontant sa propre vie et celle de son père. Ce récit publié dans un double album intitulé "Maus", où les juifs sont représentés par des souris et les allemands par des chats, mêle deux histoires. Celle de Vladek son père, un juif polonais déporté à Auschwitz, et celle des rapports père-fils et de la difficile transmission du souvenir de la Shoah. C'est pour cette oeuvre inclassable que Spiegelman a reçu le Prix Pulitzer en 1992. Il est seul dessinateur de Bande dessinée à avoir reçu ce prix prestigieux qui couronne un travail en lien avec le journalisme, la littérature ou la musique. Son travail sur le 11 septembre et le traumatisme de la société américaine n'a pas trouvé preneur dans la presse américaine, c'est donc dans l'hebdomadaire allemand "Die Zeit" et dans "'Courrier international" que les premières planches de "A l'ombre des tours mortes" ont été publiées en 2002 et 2003. L'album complet publié aux Etats-Unis en 2004 remporte finalement un vif succès auprès du public et des critiques, le quotidien "The New-York Times" le classe dans les cent publications les plus importantes de l'année.
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Archie Shepp et Randy Weston au festival Jazz à La Villette
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La 16e édition du festival Jazz à La Villette, du 31 août au 11 septembre 2011, témoigne des relations étroites que le jazz et l'Afrique ont nouées, surtout depuis les années 60, avec notamment les prestations du pianiste Randy Weston. L'Afro-américain a découvert l'Afrique il y a un demi-siècle. Depuis, ce géant du jazz n'a cessé de faire des allers-retours entre Brooklyn et Tanger. "Lorsqu'on me demande ce que je joue, je ne réponds jamais du jazz mais des rythmes africains", aime à préciser le musicien désormais âgé de 85 ans.
Le saxophoniste Archie Shepp, pionnier du free jazz puis grand artisan de la "Great Black Music", ouvre pour sa part volontiers son jazz aux dernières expressions urbaines afro-américaines.
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"La Guerre des boutons" : Yann Samuell tire le premier !
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La première version sur les écrans, celle de Yann Samuell, sortie le 14 septembre 2011, se déroule en 1957 dans un village du sud de la France (le tournage a eu lieu dans le Limousin). Comme dans le roman, deux bandes de garçons de villages rivaux s'affrontent. Yann Samuell a toutefois modernisé le contexte de son film, car le roman de Louis Pergaud "La Guerre des Gosses", paru en 1912, évoquait une enfance au tournant du XXe siècle. Mais le fond de l'histoire reste fidèle au roman. Dans sa guerre des boutons, Yann Samuell fait s'affronter une bande de garçons, âgés de 7 à 14 ans, menée par l'intrépide Lebrac, aux enfants du village voisin, leurs ennemis jurés. On se bat depuis des générations pour l'honneur et la fidélité et, pour gagner, tous les moyens sont bons ! Même, s'il le faut, combattre nu comme un ver, ou pire, accepter l'aide de Lanterne - une fille ! - la nouvelle recrue de la bande, pleine de panache et d'ingéniosité.
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"Collaboration" au Théâtre des Variétés
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L'histoire se déroule en Allemagne, en 1931. Elle met en scène deux artistes au sommet de la gloire. Deux géants : Richard Strauss interprété par Michel Aumont et Stefan Zweig incarné par Didier Sandre. Le premier est proche du régime nazi et se croit tout puissant et intouchable, non concerné par la politique. Le second, au contraire, craint cette politique et a très tôt conscience du terrible danger que représente le dictateur. Ils créeront ensemble un opéra, "La femme silencieuse", immense succès arrêté dès la seconde représentation car jugé comme une oeuvre juive par le régime nazi...
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Le songe d'une nuit d'été avec Lorànt Deutsch et Mélanie Doutey
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William Shakespeare a écrit "Le Songe d'une nuit d'été" entre 1594 et 1595. Il s'agit de l'une de ses pièces les plus divertissantes, passionnelles et charnelles. La pièce retrace l'histoire de Lysandre qui veut épouser Hermia. Hermia veut épouser Lysandre... Mais, Egée, père d'Hermia, la destine à Démétrius, dont Héléna est amoureuse. Pour échapper à Egée, Lysandre et Hermia s'enfuient alors dans la forêt, poursuivis par Démétrius, lui-même poursuivi par Héléna. Pendant ce temps, dans la forêt, Obéron, a ordonné à son fidèle Puck de verser une potion magique sur les paupières de Titania, pour la punir de sa désobéissance. Mais Puck se trompe et verse cette potion sur les paupières des jeunes amants. Ceux qui s'aimaient se détestent... et vice-versa. Puck va tout faire pour réparer son erreur et pour que tout rentre dans l'ordre...
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Le festival de Deauville récompense "Take Shelter" de Jeff Nichols
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Le festival du cinéma américain de Deauville a couronné "Take Shelter" de Jeff Nichols. Choisi parmi 14 long-métrages, dont neuf premières oeuvres, le film, interprété notamment par Michael Shannon, Jessica Chastain, Tova Stewart, Shea Whigham et Katy Mixon, décrit la vie paisible menée par Curtis LaForche avec sa femme et sa fille. Jusqu'au jour où cet homme tranquille devient sujet à de violents cauchemars, dominés par la menace d'une tornade qui l'obsède, faisant naître en lui des visions apocalyptiques. Ce film indépendant avait déjà reçu le grand prix de la semaine de la critique à Cannes. Il sort le 7 décembre 2011 en France.
Le "Prix du jury" a été remis à un premier film qui n'a pas encore de distributeur en France, "The Dynamiter", de Matthew Gordon. Enfin, "Detachment" de Tony Kaye a reçu le prix de la critique internationale et le prix de la Révélation Cartier. Ce film, qui retrace le quotidien d'un professeur remplaçant à New York, incarné par Adrien Brody, a été le plus applaudi, lors de la cérémonie de remise des prix. Olivier Assayas, président du jury, a salué la "richesse" des 14 films en compétition -dont 9 premiers films- qui, avec "souvent des budgets minuscules", (comme "the Dynamiter") "maintiennent une liberté de ton".
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La guerre de La guerre des boutons
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Trois long-métrages, tous tirés d'un seul et même roman, mis à l'affiche quasi-simultanément, il s'agit à l'évidence d'un évènement unique dans l'histoire du septième art. Si les aventures du P'tit Gibus ont conquis des générations entières d'écoliers, à travers l'oeuvre de Louis Pergaud "La guerre des Gosses" écrite en 1912 ou par son adaptation au grand écran en 1962, cette reconnaissance populaire ne peut, à elle seule , expliquer cette collusion et justifier ce déferlement de gamins en culottes courtes. Le cinéma français propose, en cette rentrée 2011, une production de qualité capable de parler aussi bien de problématiques de justice (Présumé coupable), que de santé (La guerre est déclarée), de politique (Et maintenant on va où ?) ou de sentiments (Tu seras mon fils). Ce n'est donc pas l'absence de scénarii originaux et de qualité qui peut aider à comprendre ce phénomène d'ubiquité qui frappe le Petit Gibus. Une dernière hypothèse pourrait être avancée. Elle concerne l'âge des réalisateurs, tous deux confrontés à la crise de la cinquantaine. Yann Samuell et Christophe Barratier n'ont en effet que deux ans de différence, respectivement 46 et 48 ans, un âge où l'on regarde avec nostalgie son passé et où les héros d'enfance ressurgissent. Ce retour du P'tit Gibus en trois dimensions est donc une triple invitation au spleen. Une nostalgie qui n'a pas épargné Martin Lartigue, le petit garçon qui a donné corps au P'tit Gibus d'Yves Robert. A 59 ans, ce héros de la Guerre des boutons s'apprète à revenir à Bailleau-Armenonville, dans l'Eure-et-Loir, là où Yves Robert a immortalisé ses répliques, il y a maintenant cinquante ans. Le fils du peintre Dany Lartigue explique que le succès du film et sa carrière au cinéma l'ont empêché de finir ses études. Devenu peintre à son tour, Martin Lartigue exposera ses oeuvres durant un mois dans le château voisin de Maintenon. En espèrant que cette fois, il n'aura pas à dire "Si j'aurais su, j'aurais pas venu".
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Les Chansons ordinaires, huitième album de Christophe Miossec
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"Chanson pour un homme couvert de femmes", "Chanson d'un fait divers", "Chanson qui laisse des traces", "Chanson que personne n'écoute" : autant de titres présents sur le nouvel album de Christophe Miossec, "Chansons ordinaires". L'artiste finistérien n'a pas changé d'un pouce, il se berce à l'ironie douce-amère, crache son cynisme, et dit sa prose sans fioritures. La voix est plus fêlée qu'avant, comme le coeur, le tempo est plus hasardeux, comme un pas enivré qui chaloupe. Christophe Miossec soigne sa gueule de bois et ses amours à coup de chansons rageuses, de déclarations de guerre et de poèmes superbes. Ce sont cette plume fine, cette tendresse, cette rage au coeur et cette estime déglinguée qui ont frappé les fans en devenir dès le premier album "Boire" en 1995. Ce sont ces mêmes traits, un peu vieillis, un peu mûris, parfois assagis parfois goguenards qui séduisent toujours aujourd'hui, huit albums plus tard. L'artiste ne pas s'est "renouvelé", comme on dit souvent. Il a tenu la barre sur sa mer démontée, comme un Brestois fidèle à son amante tourmentée.
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Le Prince Miaou à l'affiche de la nuit des Abrincat's
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Les abrincates, ou peuple des abers, ont laissé leur nom à la ville d'Avranches. Ce peuple gaulois occupait au 9ème siècle avant JC, une zone qui correspond à la baie du mont Saint-Michel. C'est à ces origines anciennes que ce festival qui met en avant les groupes rock et alternatifs locaux, entend faire référence. A l'origine de cet événement, une association avranchinaise "Arts Caddies" initiée par Romain Chasles, Medhi Tache et Quentin Lotton, ils ont décidé de redynamiser une scène alternative locale qui a connu des jours meilleurs.
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Rencontres imprévues entre artistes à Montemboeuf
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Le festival de l'Imprévu, c'est une rencontre improbable, reflet d'une société idéale, de tolérance. Sur la scène se côtoient des artistes confirmés et des artistes handicapés mentaux. Ils se confrontent au public à jeu égal. Ici, l'indifférence est celle du coeur : l'oeuvre et le talent sont plus importante que le physique ou la norme. Au cours de cette édition, 150 artistes handicapés ont été conviés, ils venaient de toute la France. A leurs côtés, les Hurlements d'Léo, de retour après cinq ans d'absence, Les Blérots d'Ravel, les Moiss-Batteurs... Ils ont tous en commun un esprit festif et partageur qui sied bien à ce rendez-vous culturel.
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Les bi-portraits du chorégraphe Mickael Phelippeau
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Mickaël Phelippeau a un DEA en arts plastiques ce qui contribue à faire de lui un chorégraphe assez atypique qui ne craint pas de développer des projets à géométrie variable.
Il travaille ainsi avec les chorégraphes Mathilde Monnier, Alain Buffard ou John Scott mais aussi avec le metteur en scène Gilles Pastor et l'écrivain Christophe Fiat.
Sa démarche du bi-portrait entamée en 2004 est un véritable prétexte aux rencontres et à une réflexion sur l'altérité.
Depuis 2010, Mickaël Phelippeau est directeur artistique de la manifestation à domicile à Guissény en Bretagne. Il invite des chorégraphes en résidence à travailler avec les habitants de cette ville.
Il est artiste associé au Quartz-Scène nationale de Brest.
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UNICEF/recherche de bénévoles sur Rouen et Elbeuf
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