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jeudi 6 octobre 2011
Steve Jobs le fondateur d'Apple est mort à 56 ans
Antibes Sucre et chocolat 2011 au Fort Carré
Les frères Bourroulec au centre Pompidou de Metz avec Bivouac
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Erwan et Ronan Bourroulec sont deux designers qui travaillent ensemble depuis 15 ans.
Leur champ de recherche: l'ameublement, le mobilier dont ils font évoluer les lignes vers plus de pureté, de légèreté et de couleur. Leurs fauteuils, pas toujours fonctionnels ont retenu l'attention des plus grands architectes d'intérieur ou décorateurs.
Ils s'inspirent de la rue où, selon eux, tout est objet, pour peu que l'on sache s'en inspirer.
Le Centre Pompidou de Metz leur propose donc sur 1.000 m² d'exposer une rétrospective de 15 ans de travail en commun.
Si 15 ans évoquent la durée, l'exposition s'intitule " Bivouac " pour traduire le côté temporaire et fugace de toute chose...
Mesparrow, une chanteuse à suivre
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Inconnue du grand public il y a encore quelques mois, la jeune chanteuse tourangelle est en train de gravir une à une les marches du succès, avec une aisance déconcertante. Elle s'était révélée aux critiques lors de la 14ème édition du festival mayennais des "3 éléphants" au mois de mai dernier, après une apparition prometteuse dans le cadre des découvertes du Printemps de Bourges. Un début de parcours encourageant de ce côté-ci de la Manche, mais qui a trouvé un écho encore plus porteur dans la capitale britannique, avec, en avril dernier, une première partie du concert des Cocoon à Londres qui a permis à la chanteuse d'être remarquée par "The Agency" les promoteurs de Motörhead ou de Liza Minnelli. Depuis son timbre grave et voilé a conquis les spectateurs des Francofolies de La Rochelle et ceux des "Tombées de la nuit" à Rennes, en attendant un premier album promis pour la fin de l'année.
Le FC Rouen aux prises avec l’US Quevilly
Sport
En vedette du week-end des sports "co" rouennais
Co-leader du National, le FC Rouen se déplace ce vendredi 7 octobre sur le terrain de l’US Quevilly (coup d’envoi à 19h). Ce derby entre les Diables Rouges et leur voisin, qui pointe à la 6e place, promet beaucoup. C’est l’affiche du prochain week-end des sports collectifs rouennais.
Ce vendredi soir, sur la pelouse de l’US Quevilly, le FCR devra batailler ferme pour défendre son statut de co-leader lors de la 11e journée de National. Il s’agira pour le club de signer un résultat positif pour rester à hauteur d’Epinal en tête du classement et conserver son avance de trois points sur le poursuivant, Niort, installé sur la troisième marche du podium.
Evidemment, match à hauts risques que ce bouillant derby pour les Rouennais. D’un côté, des Diables Rouges qui respectent leur tableau de marche en montrant qu’ils ont l’étoffe des champions. De l’autre, des Canaris qui ont démarré la saison sur les chapeaux de roue et ont même figuré au sommet dans les toutes premières journées.
Les Rouennais pourront compter sur l’efficacité de leur attaquant de pointe Rémy Dugimont, l’homme en forme, auteur d’une série de cinq buts en autant de rencontres. Ils bénéficieront aussi de l’activité du milieu de terrain Clément Dragon, qui a fêté son retour de suspension en inscrivant le but de la victoire contre Orléans lors du dernier match (2-1), à deux minutes de la fin du temps réglementaire.
Et aussi ce week-end...
Hockey sur glace Ligue Magnus : Rouen Hockey Elite - Epinal, samedi 8 octobre à 20h, à la patinoire du centre sportif Guy-Boissière, 11 €, www.rouenhockeyelite76.com
Baseball match 3 de la finale du championnat de France Elite : Huskies de Rouen - Barracudas de Montpellier, samedi 8 octobre à 15h, terrain Pierre-Rolland (complexe sportif Saint-Exupéry), gratuit – En cas de victoire rouennaise samedi, match 4 dimanche 9 octobre à 15h – www.rouenbaseball76.com
Rugby Fédérale 2 : Arras - Stade Rouennais, dimanche 9 octobre à 15h, www.sr-rugby.fr
Basket Pro B : Denain - SPO Rouen, vendredi 7 octobre à 20h, www.basketsporouenkinder.com
Volley-ball Nationale 3 : Vincennes Volley Club - ASPTT Rouen, dimanche 9 octobre à 14h, www.volleyrouen.fr
(Photo : DR)
Les Samedis du possible
Ateliers
Ateliers artistiques solidaires
En partenariat plusieurs organismes culturels, la Ville de Rouen lance les ateliers de pratiques "les Samedis du possible". L'idée derrière ce nom, réunir public valide et public en situation de handicap autour de l'art sous toutes ses formes. Première séance le samedi 8 octobre.
Un samedi par mois et jusqu'à juin, une équipe de cinq artistes et une kinésithérapeute proposent des ateliers croisés pour permettre à tous de pratiquer les arts au-delà du handicap.
Organisés dans les locaux du Conservatoire, les ateliers sont ouverts à tous à partir de 15 ans dans la limite de 30 personnes par groupe. Chacun pourra s'initier aux pratiques de :
Création vidéo avec Xavier Dégremont (Sam&Sara)
S’initier à la réalisation vidéo, jouer, cadrer, filmer, sélectionner les bonnes séquences…
Musique avec Philippe Tailleux (Conservatoire de Rouen)
Découvrir et jouer avec des objets sonores, des instruments naturels, des supports électroniques, la voix… Réaliser des improvisations musicales.
Appuis et marionnette de taille humaine avec Merlin Borg (Compagnie Adonk !)
Partager en groupe un langage d'appuis pour soutenir l'expression de chacun. Trouver dans la marionnette un partenaire de jeu, une présence juste autour de laquelle s'accorder.
Théâtre d'improvisation avec Isabelle Lemétais et Thomas Rollin (Safran Collectif)
Découvrir le théâtre en utilisant les techniques d'improvisation. L’acteur s’amuse à partir de situations quotidiennes ou farfelues. Improvisation à partir de situations et de personnages – travail sur l'imaginaire, l'écoute du partenaire et la proposition.
Théâtre avec Jean-Christophe Blondel (Compagnie Divine Comédie)
Aborder le théâtre en se confrontant à des scènes du répertoire classique ou contemporain. Apprendre à lire une scène, à en révéler les richesses à la table et sur le plateau, faire ce parcours qui va de la lecture à l’incarnation.
Informations pratiques
Ateliers Samedi du possible
Un samedi par mois de 10h à 17h : 8 octobre, 19 novembre, 10 décembre. En 2012, 7 janvier, 4 février, 31 mars, 14 avril, 12 mai, 2 juin
Conservatoire de Rouen, 50 avenue de la Porte-des-Champs
Prévoir un pique-nique pour le midi
Tarif : 30€ pour l’année.
Inscription auprès du Safran Collectif au 02 35 15 02 10 ou gestion@lesafrancollectif.com
(Photo : DR)
Skylab : Un film qui tombe du ciel pour Julie Delpy
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Les étoiles du cinéma semblent illuminer le parcours de cet ovni cinématographique depuis sa projection au festival de Saint-Sébastien. Non seulement le film a reçu un accueil chaleureux de la part du public basque, mais le jury a craqué pour l'interprétation de la comédienne et réalisatrice de ce plongeon dans l'histoire spatiale et familiale de la fin des années 70. Les plus superstitieux verront même un signe du ciel dans la concomitance d'évènements spatio-temporels troublants. Ainsi, le jour même où le jury choisissait de décerner son Prix spécial à cette histoire de satellite prompt à faire trembler toute une famille, le fameux "Skylab" un engin spatial américain de 90 tonnes qui s'était écrasé en 1979 dans l'ouest de l'Australie, un autre satellite de l'oncle Sam baptisé "UARS" menaçait à son tour d'atterrir en débris sur les têtes des festivaliers, pour finalement finir sa course au milieu du Pacifique sans provoquer de dégâts. Un signe évident que le ciel n'est pas insensible à cette histoire familiale, présentée par la réalisatrice comme un film solaire et lumineux, il ne reste plus qu'à attendre pour voir s'il s'agit d'une étoile filante ou d'une mise en orbite réussie.
"Jig" fait danser le festival de Dinard
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C'est à la fois l'élection de Miss Univers et l'épreuve olympique du 100m, un évènement qui rassemble chaque année des danseurs venus du monde entier pour participer au Championnat du monde de danse irlandaise. La 40ème édition s'est déroulée en mars 2010 à Glasgow, la productrice et réalisatrice Sue Bourne a décidé d'immortaliser par un documentaire cette épreuve qui a rassemblé près de 6000 danseurs. A travers les parcours personnels de sept concurrents, le film met en scène les espoirs et les doutes qui assaillent ces athlètes de la danse, esthètes d'un art chorégraphique très particulier. De Fred Astaire à Billy Elliot, le cinéma et la danse ont souvent formé un duo accompli. Cette fois encore, les cinéphiles bretons se sont laissés entrainer par cette valse d'images et de musiques, jusqu'à voir pendant la séance leurs pieds s'animer aux rythmes de la jig.
La belle amour humaine le dernier roman de Lyonel Trouillot
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Le dernier roman de Lyonel Trouillot est sélectionné pour le prix Goncourt des lycéens. Dans un registre du réalisme merveilleux, il raconte la traversée d'Haïti par une femme venue de France à la recherche d'une mémoire familiale et de son guide.
France 3 éclaire l'histoire des "Malgré-elles"
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Si la plupart des jeunes femmes, âgées de dix-huit à vingt-cinq ans, ont été employées comme auxiliaires dans les usines d'armement, les fabriques de munitions ou les hôpitaux militaires du IIIème Reich à partir du printemps 1941, certaines "Malgré-elles" se sont retrouvées à des postes de combat. L'incorporation de force dans les formations paramilitaires allemandes du RAD (service du travail) et du KHD (service d'aide à la guerre) a concerné plus de 45 000 alsaciens et mosellans dont une forte proportion de femmes, comme le rappelait en 2009 un rapport du Sénat. De nombreuses femmes originaires des régions wallones de Belgique ou du Luxembourg ont vécu des destins semblables, tout comme leurs maris enrôlés aux côtés des Malgré-nous alsaciens et mosellans. L'histoire de ces femmes a longtemps été ignorée avant que Nina Barbier ne publie en 2000 aux éditions du Rhin "Les alsaciennes et Mosellanes incorporées de force dans la machine de guerre nazie", ce n'est qu'en 2008 qu'elles ont obtenu d'être indemnisées, il restait à l'époque 5.800 malgré-elles survivantes d'Alsace et de Moselle.
"Plus jamais peur" la révolution tunienne selon Mourad Ben Cheikh
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Lina Ben Mhenni ne désarme pas. Neuf mois après la chute du clan du président Zine El Abidine Ben Ali, pour la blogueuse, égérie du film de Mourad Ben Cheikh, l'heure n'est pas venue de relâcher la pression. Elle était l'une des porte-voix des 3èmes Rencontres de blogueurs arabes réunis cette semaine (du 3 au 9 octobre 2011) à Tunis. Qu'ils soient égyptiens, saoudiens, irakiens, syriens, marocains (...) ils sont venus y échanger leurs expériences afin de faire progresser la démocratie participative dans leurs différents pays. Cette initiative a été mise sur pied par la Fondation Heinrich Böll avec le concours des organisations de cyberdissidents "Nawaa"et "Global Voices" .
Pour la "Tunisian Girl", son nom de blogueuse durant la révolution de jasmin, la lutte pour les droits de l'homme ne doit pas s'arrêter à la chute du pouvoir. Citée par le journal Libération, Lina s'explique : "Il faut continuer la bataille pour avoir une vraie démocratie, Il n'y a qu'à voir les violences policières qui se poursuivent". La jeune femme de 24 ans pourrait trouver prochainement des alliés de poids dans son combat. Les membres de l'Académie Nobel envisagent de remettre le Prix Nobel de la Paix à l'enseignante de l'université de Tunis, devenue l'un des symboles du printemps arabe. Preuve que ce choix, s'il se confirme, pourrait provoquer un second cataclysme politique en Tunisie , les attaques sur internet contre Lina Ben Mhenni se sont multipliées au cours des dernières semaines, comme avant ce désormais fameux 14 janvier 2011.
Le Crazy Horse de Decouflé filmé par Frederick Wiseman
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"Le temple du chic" c'est ainsi que le chorégraphe Philippe Decouflé décrivait le Crazy Horse en septembre 2009 lorsqu'il fût invité à repenser le show créé en 1951 par Alain Bernardin. L'inventeur de ce concept, à la fois artistique et érotique, avait lui-même produit, écrit et réalisé un film documentaire en 1977 intitulé "Le Crazy Horse de Paris", dans lequel Alain Bernardin jouait son propre rôle aux côtés de sa danseuse fétiche, et compagne à la ville, Lova Moor. Le patron voulait que chaque danseuse adopte un nom de scène, Rita Cadillac, Sophia Palladium, Rosa Fumetto, Polly Underground et plus récemment Nooka Caramel se sont ainsi laissée habiller par les lumières du Crazy. L'établissement a même atteint une telle renommée, dans le genre chic et sensuel, que certaines actrices se sont prises à ces jeux de lumières comme Arielle Dombasle, en 2007, ou Pamela Anderson, l'année suivante. La particularité du travail documentaire réalisé par Frederick Wiseman a donc été de filmer le "Crazy Horse" côté scène, mais aussi côté coulisses, sans donner dans l'impudeur ou les artifices, et en s'efforçant, tel un horloger suisse, de démonter la drôle de mécanique de cette petite boite à musique.