lundi 26 mars 2012
BAMBINO: DANSONS UN PEU AUJOURD' HUI !
BAMBINO: DANSONS UN PEU AUJOURD' HUI !: Allez les enfants, demandez à Maman de mettre la vidéo en boucle et dansons un peu. Finalement je viens danser avec vous. Amusons-nous un pe...
The Artist, dans la légende des Oscars et du cinéma international
The Artist, dans la légende des Oscars et du cinéma international:
Jamais un film français n'avait récolté autant de trophées aux Oscars. Outre la statuette du meilleur film, remis pour la première fois de l'histoire à un film non anglo-saxon, The Artist s'est imposé dans les catégories de meilleur acteur (Jean Dujardin), réalisateur (Michel Hazanavicius), musique et costumes
The Artist, film muet et en noir-et-blanc qui faisait figure de favori à Los Angeles avec 10 nominations, s'adjuge également les trophées de meilleurs costumes et de meilleure musique originale.
La victoire de Jean Dujardin dans la catégorie du meilleur acteur est elle aussi une première, puisque aucun acteur français n'avait jamais remporté la précieuse statuette pour un rôle principal. Et seules trois femmes y sont déjà parvenues: Claudette Colbert, Simone Signoret et Marion Cotillard.
Charles Boyer, Maurice Chevalier et Gérard Depardieu ont certes été en lice pour le meilleur acteur, sept fois à eux trois, mais ont tous été coiffés au poteau. Les deux premiers ont néanmoins chacun reçu un Oscar d'honneur.
Jamais un film français n'avait récolté autant de trophées aux Oscars. Outre la statuette du meilleur film, remis pour la première fois de l'histoire à un film non anglo-saxon, The Artist s'est imposé dans les catégories de meilleur acteur (Jean Dujardin), réalisateur (Michel Hazanavicius), musique et costumes
The Artist, film muet et en noir-et-blanc qui faisait figure de favori à Los Angeles avec 10 nominations, s'adjuge également les trophées de meilleurs costumes et de meilleure musique originale.
Jean Dujardin, premier acteur français oscarisé
Les dix nominations du film étaient déjà exceptionnelles. Dans l'histoire récente, les films français ayant recueilli plus d'une nomination sont rares: Camille Claudel, nommé deux fois en 1990, Cyrano de Bergerac (5 fois en 1991), Indochine (2 fois en 1993), Le fabuleux destin d'Amélie Poulain (5 fois en 2001) et Les choristes (2 fois en 2005).La victoire de Jean Dujardin dans la catégorie du meilleur acteur est elle aussi une première, puisque aucun acteur français n'avait jamais remporté la précieuse statuette pour un rôle principal. Et seules trois femmes y sont déjà parvenues: Claudette Colbert, Simone Signoret et Marion Cotillard.
Charles Boyer, Maurice Chevalier et Gérard Depardieu ont certes été en lice pour le meilleur acteur, sept fois à eux trois, mais ont tous été coiffés au poteau. Les deux premiers ont néanmoins chacun reçu un Oscar d'honneur.
Des succès partout dans le monde
Avant la consécration finale à la cérémonie des Oscars, le film The Artist a notamment remporté :- Six Césars (France) : meilleur film, meilleur réalisateur, meilleure actrice, meilleure photographie, meilleure musique de film, meilleurs décors.
- Sept Baftas (Grande-Bretagne) : meilleur film, meilleur acteur, meilleur réalisateur, meilleur scénario original, meilleure musique, meilleure photographie, meilleurs décors.
- Trois Golden Globes (États-Unis) : meilleure comédie, meilleur acteur comique et meilleure musique originale.
- Un Goya (Espagne) : meilleur film européen
- Quatre Spirit Awards (les « Oscars du cinéma indépendant, États-Unis) : meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur, meilleure photographie.
Les grands chefs, ambassadeurs de la cuisine française
Les grands chefs, ambassadeurs de la cuisine française:
En 2011, huit restaurants français ont été consacrés dans le "San Pellegrino World’s 50 best restaurants", le même qui a décerné le Prix Veuve Clicquot 2011 à Anne-Sophie Pic. Ambassadeurs culinaires, certains grands chefs français gèrent des restaurants partout dans le monde. En tête du palmarès, un Joël Robuchon, dont l’Atelier a été sacré meilleur restaurant du monde en 1994 par The International Herald Tribune. Il exerce notamment à Macao, Tokyo, Las Vegas et New York. Et, bien sûr, Alain Ducasse, qui a créé un véritable empire d’hôtellerie-restauration. Suivent Pierre Gagnaire à Tokyo, Dubaï, Séoul et Hong-Kong, Michel Troisgros à Moscou, Michel Bras à Hokkaido, Guy Savoy à Las Vegas, Hélène Darroze à Londres et les frères Laurent et Jacques Pourcel à Bangkok, Shanghai, Tokyo et Genève. Chefs dans l’âme, passionnés et créatifs, ils sont aussi devenus de véritables entrepreneurs, propriétaires de leur restaurant, gestionnaires ou encore conseillers renommés à l’instar d’Alain Ducasse.
Signe du succès international des cuisiniers français, l’association des Toques Blanches du monde a été créée en 2008 à l’initiative de Christophe Marguin, dont le restaurant est un fleuron de la gastronomie lyonnaise. Son but est de rassembler les chefs cuisiniers et pâtissiers français expatriés pour valoriser leur travail, développer la représentativité des entreprises hexagonales à l’étranger et mettre les chefs en relation les uns avec les autres. A ce jour, une quarantaine de chefs en sont membres. Les cuisiniers français bénéficient aussi de l’aura de la gastronomie française et de ses icônes -Auguste Escoffier, Fernand Point, Paul Bocuse… Paul Bocuse qui est d’ailleurs à l’origine du concours mondial de la cuisine, le Bocuse d’Or. Tous les deux ans, les meilleurs cuisiniers du monde s’y affrontent lors d’une amicale joute culinaire.
Alain Ducasse : « Mes racines me portent mais ne doivent en aucun cas m’attacher »
Pourquoi un tel poids de la gastronomie française ? Selon Yannick Alléno, chef du Meurice à Paris, « ce qui fait la richesse de la gastronomie française, c'est sa diversité. Beaucoup de cuisines se revendiquent d'une région ». Les chefs cuisiniers français s’inspirent de leur région natale, de leur histoire mais ne s’y limitent pas, à l’image d’Alain Ducasse : « Mon terroir mental est la réunion du Sud-Ouest d’où je viens et de la Méditerranée qui m’a séduit très tôt. Mais je suis aussi un cuisinier curieux et émancipé : mes racines me portent mais ne doivent en aucun cas m’attacher. Je voyage donc beaucoup, toujours à l’affût de nouvelles découvertes. » La cuisine française est une marque d’excellence mais elle sait s’adapter et s’émanciper de ses codes pour se tourner vers des produits et des techniques nouvelles originaires d’autres pays. Sur la carte cela donne, par exemple, du « chou farci à la langouste, talauma, caramel à la fleur de sel de nuoc mam et son nectar acide », par Didier Corlou, du Restaurant «Verticale » au Vietnam.
Ce succès international a également des répercussions positives sur le tourisme français. En effet, les grands noms de la cuisine sont de véritables marques et drainent une clientèle internationale. Désormais, les palaces se les disputent autant pour cuisiner que pour gérer, parfois à distance, leurs restaurants. La reconnaissance de la gastronomie profite également aux régions françaises, en attirant des touristes fortunés dans les maisons mères, comme l’explique Philippe Callot, professeur de management à l’université d’Angers : « Troisgros à Roanne, Michel Bras à Laguiole ou Régis Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid participent à la réputation touristique de leur lieu d’ancrage ». Pour Meryem Cherkaoui, chef française installée au Maroc, « la France reste la France et on ne changera pas cela. Il y a plus d’étoiles à Tokyo qu’à Paris, mais à Tokyo, il y beaucoup de Français, ou des Japonais qui ont fait des formations en France ».
En 2011, huit restaurants français ont été consacrés dans le "San Pellegrino World’s 50 best restaurants", le même qui a décerné le Prix Veuve Clicquot 2011 à Anne-Sophie Pic. Ambassadeurs culinaires, certains grands chefs français gèrent des restaurants partout dans le monde. En tête du palmarès, un Joël Robuchon, dont l’Atelier a été sacré meilleur restaurant du monde en 1994 par The International Herald Tribune. Il exerce notamment à Macao, Tokyo, Las Vegas et New York. Et, bien sûr, Alain Ducasse, qui a créé un véritable empire d’hôtellerie-restauration. Suivent Pierre Gagnaire à Tokyo, Dubaï, Séoul et Hong-Kong, Michel Troisgros à Moscou, Michel Bras à Hokkaido, Guy Savoy à Las Vegas, Hélène Darroze à Londres et les frères Laurent et Jacques Pourcel à Bangkok, Shanghai, Tokyo et Genève. Chefs dans l’âme, passionnés et créatifs, ils sont aussi devenus de véritables entrepreneurs, propriétaires de leur restaurant, gestionnaires ou encore conseillers renommés à l’instar d’Alain Ducasse.
Signe du succès international des cuisiniers français, l’association des Toques Blanches du monde a été créée en 2008 à l’initiative de Christophe Marguin, dont le restaurant est un fleuron de la gastronomie lyonnaise. Son but est de rassembler les chefs cuisiniers et pâtissiers français expatriés pour valoriser leur travail, développer la représentativité des entreprises hexagonales à l’étranger et mettre les chefs en relation les uns avec les autres. A ce jour, une quarantaine de chefs en sont membres. Les cuisiniers français bénéficient aussi de l’aura de la gastronomie française et de ses icônes -Auguste Escoffier, Fernand Point, Paul Bocuse… Paul Bocuse qui est d’ailleurs à l’origine du concours mondial de la cuisine, le Bocuse d’Or. Tous les deux ans, les meilleurs cuisiniers du monde s’y affrontent lors d’une amicale joute culinaire.
Alain Ducasse : « Mes racines me portent mais ne doivent en aucun cas m’attacher »
Pourquoi un tel poids de la gastronomie française ? Selon Yannick Alléno, chef du Meurice à Paris, « ce qui fait la richesse de la gastronomie française, c'est sa diversité. Beaucoup de cuisines se revendiquent d'une région ». Les chefs cuisiniers français s’inspirent de leur région natale, de leur histoire mais ne s’y limitent pas, à l’image d’Alain Ducasse : « Mon terroir mental est la réunion du Sud-Ouest d’où je viens et de la Méditerranée qui m’a séduit très tôt. Mais je suis aussi un cuisinier curieux et émancipé : mes racines me portent mais ne doivent en aucun cas m’attacher. Je voyage donc beaucoup, toujours à l’affût de nouvelles découvertes. » La cuisine française est une marque d’excellence mais elle sait s’adapter et s’émanciper de ses codes pour se tourner vers des produits et des techniques nouvelles originaires d’autres pays. Sur la carte cela donne, par exemple, du « chou farci à la langouste, talauma, caramel à la fleur de sel de nuoc mam et son nectar acide », par Didier Corlou, du Restaurant «Verticale » au Vietnam.
Ce succès international a également des répercussions positives sur le tourisme français. En effet, les grands noms de la cuisine sont de véritables marques et drainent une clientèle internationale. Désormais, les palaces se les disputent autant pour cuisiner que pour gérer, parfois à distance, leurs restaurants. La reconnaissance de la gastronomie profite également aux régions françaises, en attirant des touristes fortunés dans les maisons mères, comme l’explique Philippe Callot, professeur de management à l’université d’Angers : « Troisgros à Roanne, Michel Bras à Laguiole ou Régis Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid participent à la réputation touristique de leur lieu d’ancrage ». Pour Meryem Cherkaoui, chef française installée au Maroc, « la France reste la France et on ne changera pas cela. Il y a plus d’étoiles à Tokyo qu’à Paris, mais à Tokyo, il y beaucoup de Français, ou des Japonais qui ont fait des formations en France ».
Le Puy du Fou reçoit une distinction internationale
Le Puy du Fou reçoit une distinction internationale:
C’est à Los Angeles que le parc à thème du Puy du Fou s’est vu remettre le Thea Classic Award 2012, qui récompense chaque année le meilleur parc de loisirs au monde. Décerné par
l’association internationale Themed Entertainment, celui-ci lui a été attribué pour l’ensemble de ses installations et de ses animations.
Créé en 1989, onze ans après la mise en place de son célèbre spectacle nocturne retraçant l’Histoire vendéenne, le Puy du Fou propose plusieurs animations historiques parmi lesquelles
la reconstitution d’un village du XVIIIe siècle, une cité médiévale accueillant les artisans d’antan ou encore des spectacles de gladiateurs et de courses de chars. Fort de son succès, le
Puy du Fou accueille chaque année 1,5 million de visiteurs. Il est le premier parc français à obtenir le Thea Classic Award.
de l’univers du film Arthur et le Minimoys.
C’est à Los Angeles que le parc à thème du Puy du Fou s’est vu remettre le Thea Classic Award 2012, qui récompense chaque année le meilleur parc de loisirs au monde. Décerné par
l’association internationale Themed Entertainment, celui-ci lui a été attribué pour l’ensemble de ses installations et de ses animations.
Créé en 1989, onze ans après la mise en place de son célèbre spectacle nocturne retraçant l’Histoire vendéenne, le Puy du Fou propose plusieurs animations historiques parmi lesquelles
la reconstitution d’un village du XVIIIe siècle, une cité médiévale accueillant les artisans d’antan ou encore des spectacles de gladiateurs et de courses de chars. Fort de son succès, le
Puy du Fou accueille chaque année 1,5 million de visiteurs. Il est le premier parc français à obtenir le Thea Classic Award.
Prix de la meilleure attraction pour le Futuroscope
Autre parc français récompensé lors de la cérémonie des Thea Awards, le parc du Futuroscope, près de Poitiers, s’est vu décerner le prix de la meilleure attraction pour « Arthur, l'Aventure 4D ». Situé dans le département de la Vienne, le Futuroscope est un parc à thème entièrement tourné vers le multimédia et la technologie. Il offre de nombreuses attractions parmi lesquelles « Arthur, l'Aventure 4D », imaginée par le réalisateur, producteur et scénariste français Luc Besson, qui entraîne le visiteur dans une aventure virtuelle au cœurde l’univers du film Arthur et le Minimoys.
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