Peugeot a dévoilé ce jeudi au Mondial de l'Automobile un prototype de petit tout-terrain urbain à propulsion hybride, baptisé HR1, dans un segment qui n'existe pas actuellement dans sa gamme...
"Site ouvert directement ,par google,par blogger,par twitter/henrirouen,site ouvert à tous et à toutes aimant rouen,la créativié,0680504877@orange.fr Twitter/henrirouen et henrirousseaurouen sont complémentaires.Pardon si ce dernier est long à venir ayant beaucoup d'archives...
vendredi 1 octobre 2010
Mondial de l'Auto : Peugeot dévoile son prototype de petit tout-terrain urbain
HLM : Bruno Apparu plaide pour « la péréquation »
Venu hier, à Strasbourg, pour le discours de clôture du 71 e congrès du mouvement HLM, le secrétaire d’État au Logement, hué à plusieurs reprises par les délégués, a eu beaucoup de mal à se faire entendre. Le courant ne passe pas entre l’Union sociale pour l’habitat, dont le congrès ( L’Alsace de mercredi et hier) s’est terminé hier, à Strasbourg, et le secrétaire d’État, Benoist Apparu...
"Violences conjugales : l'ordonnance de protection parue au Journal officiel
Les juges pourront désormais délivrer en urgence une ordonnance de protection des victimes de violences conjugales et ainsi éloigner leur conjoint violent, l'une des mesure-clé de la loi sur le sujet votée cet été...
"Natation : tout retour à la compétition «à ce stade irréaliste pour moi» a déclaré Laure Manaudou
La championne olympique et triple championne du monde Laure Manaudou, qui a repris l'entraînement lundi un an après avoir annoncé sa retraite, a déclaré vendredi dans un communiqué qu'il était «à ce stade irréaliste pour (elle) d'envisager tout retour à la compétition»...
"Emplois fictifs: le procès Chirac reporté à mars 2011
(Actualisé à 17h03).- Le tribunal correctionnel de Paris a décidé ce vendredi de reporter de novembre à mars 2011 le procès de Jacques Chirac dans l´affaire des emplois fictifs de la Ville de Paris...
"SNCF : une hausse des prix des billets en vue ?
La SNCF va pouvoir assouplir les tarifs de ses TGV en contrepartie de sa contribution au financement des trains déficitaires, ce qui devrait entraîner une plus grande amplitude des prix avec notamment des hausses de tarif en première classe, a indiqué le gouvernement vendredi...
"Rallye de France : Loeb, en tête du classement, a fait vibrer les spectateurs
18 h 54 - Le Français Sébastien Loeb (Citroën) a conservé la tête du Rallye d'Alsace, la 1e manche du Championnat WRC, après les huit spéciales de la 1re journée vendredi devant son coéquipier, l'Espagnol Dani Sordo et son compatriote Sébastien Ogier, également au volant d'une C4...
"Rallye de France : un spectateur décède d'une crise cardiaque
Un spectateur du rallye de France automobile, âgé de 77 ans, est décédé d'une crise cardiaque vendredi matin lors de la première journée de course, organisée en Alsace, a-t-on appris auprès des organisateurs...
"Rallye de France : Loeb en tête à l'issue de la première journée
Le Français Sébastien Loeb (Citroën) a conservé la tête du Rallye d'Alsace, la 1e manche du Championnat WRC, après les huit spéciales de la 1re journée vendredi devant son coéquipier, l'Espagnol Dani Sordo et son compatriote Sébastien Ogier, également au volant d'une C4...
"Parents d'élèves : élisez vos représentants le 15 ou le 16 octobre 2010 - Information
Dans chaque école, collège et lycée, des représentants de parents d'élèves siègent au conseil d'école ou au conseil d'administration. Ils y ont voix délibérative. Pour l'année scolaire 2010-2011, les écoles et établissements organisent ces élections soit le vendredi 15 soit le samedi 16 octobre 2010.
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Dans les coulisses du plus grand défilé du monde
"
Oui,Monsieur Grima,il faut être utile dans la société,non se servir de la vie dans la société.je suis d'accord,on n'a pas besoin de faire de la politique politicienne pour faire avancer!
DEMOCRATIE:échange des idées,argumentations dans le respect et la tolérance!...
Certains ou certaines ont la tête qui gonfle,ou tout leur est dû.A la moindre erreur,on trouve la victime toute désignée.
Je n'ai pas toujours été d'accord avec monsieur Grima,mais je sais qu'il est honnête,sincère,et ne promets que ce qui est sûr d'atteindre.
Certains hommes et femmes politiques n'ont jamais répondu à des emails,à du courrier ou parlé dans les moments difficiles.Mais je peux dire que messieurs Grima,Pessiot,Bérégovoy,Bertheuil,Menguy et Devaux (ces derniers parfois) ont été fidèles de démocratie même dans des avis différents:On ne peut pas être d'accord sur tout,mais le dialogue doit rester.
D'où provient l’énergie d'une pile électrique ?
Dans les villes, comment concilier espaces verts et densification ?
La souveraineté, un vieux débat?
Le Tribunal constitutionnel se prononcera d'ici l'automne sur le nouveau statut d'autonomie de la région
Madrid -- Avis de cyclone politique en Catalogne et, par extension, sur toute l'Espagne et la stabilité du gouvernement Zapatero! La plupart des formations de cette riche et turbulente région du nord-est du pays sont sur le pied de guerre. Solennement, elles ont menacé le Tribunal constitutionnel, à Madrid: si par malheur, ont-elles averti, ses hauts magistrats devaient «amputer la Catalogne de ses droits sur sa langue, ses symboles ou son financement», la réaction unanime pourrait être «terrible».
«Un conflit institutionnel sans précédent avec l'Espagne», a auguré sèchement Joan Ridao, d'Esquerra Republicana (ERC), un parti indépendantiste appartenant à la coalition au pouvoir régional, à Barcelone. Et, hormis le Parti populaire de Catalogne, de tendance «espagnoliste», les autres formations lui ont emboîté le pas sur un même ton de défi chargé d'hostilité, tout en menaçant de «vastes mobilisations de rue», le cas échéant. Autant de vitupérations nationalistes destinées à exercer une pression maximale sur les juges du Tribunal constitutionnel qui, d'ici la fin de l'automne, doivent rendre un verdict sur le nouveau statut d'autonomie de la Catalogne, approuvé en 2006 par 88 % du Parlement autonome catalan, puis validé par un référendum régional.
Un recours
En juillet 2006, le grand parti conservateur national, le Parti populaire (le PP), avait déposé un recours auprès du tribunal constitutionnel (TC) concernant 114 des 223 articles du statut, considérant qu'il dépassait «les lignes rouges de la Constitution espagnole». C'est sur ce recours que les magistrats du TC doivent aujourd'hui statuer.
Pourquoi une telle bronca politique aujourd'hui, alors même que le tribunal n'a toujours pas rendu son verdict? Au travers d'indiscrétions distillées à la presse, la majorité conservatrice du tribunal a d'ores et déjà fait connaître ses réticences sur plusieurs articles de «l'estatut», le nouveau statut catalan. Le texte original risque donc d'être tronqué sur des aspects que les leaders catalans jugent non négociables. Le préambule de l'estatut parle de «nation catalane», concept incompatible, disent les populares, avec le fait qu'«il n'y a pas d'autre nation que la nation espagnole» ; secundo, la langue catalane (co-officielle avec le castillan) et le caractère obligatoire de son apprentissage, comme dans l'administration et à l'école. Or, pour le PP, cette norme viole par exemple le droit des parents à ce que leurs enfants soient scolarisés en espagnol; tertio, les pouvoirs conférés au Conseil de la magistrature catalan seraient identiques à son alter ego national; ensuite, l'estatut fixe des compétences exclusives pour la Catalogne, notamment en matière fiscale, ce que le PP juge «intolérable»; enfin, et peut-être surtout, le texte oblige l'État espagnol à réserver 17 % de ses investissements à la Catalogne, soit l'équivalent de ce que la région apporte au PIB national. Inacceptable pour le PP, aussi, car cela reviendrait à torpiller «le principe de solidarité» entre les 17 communautés autonomes du pays.
Le fond de ce bras de fer hispano-catalan n'a rien de nouveau, puisqu'il agitait déjà les débats lors de la seconde république, entre 1931 et 1936. En gros, il s'agit d'un débat de souveraineté.
Quel statut ?
Pour les uns, il appartient à la Catalogne de définir sa relation avec le reste de l'Espagne; pour les autres, le PP surtout, seul le Parlement national de Madrid est souverain et la Catalogne n'est qu'une communauté autonome comme une autre. Un dialogue de sourds. Ernest Benach, le président du Parlement catalan, est clair: «Le peuple de Catalogne a parlé par référendum: l'Estatut est notre constitution.» Felip Puig, du grand parti nationaliste CIU, ne dit pas autre chose: «Aucun tribunal espagnol n'est au-dessus du verdict populaire exprimé en Catalogne, par consultation et via ses députés.» Une dispute considérable est donc servie qui, éditorialisait hier El Pais, «va conditionner toute la saison politique». José Luis Zapatero est dans l'embarras. Le chef du gouvernement se retranche prudemment derrière «l'indépendance du pouvoir judiciaire», mais il sait que, si le TC modifie en profondeur l'estatut, il ne sortira pas indemne de ce séisme politique. Les socialistes catalans, au pouvoir régional et à qui il doit en bonne partie sa réélection en 2008, ont fait savoir qu'ils s'aligneraient sur un «front de refus inébranlable».
En un mot, l'estatut n'est pas négociable. Zapatero, qui aime cultiver l'ambiguïté, sera alors contraint de choisir son camp.
Source
N'en déplaise aux fédéralistes, il semble que l'indépendance ne soit pas un débat dépassé puisque, dans notre société, « nous devons faire preuve d'ouverture sur le monde! » Comment pourrait-on s'ouvrir sur le monde si nous ne possédons pas d'identité? Pourquoi l'indépendance serait-elle synonyme de fermeture? La Catalogne semble être dans une situation similaire à la nôtre, les quatre points soulevés dans leur nouveau statut le démontrent bien. L'estatut parle de « nation catalane », chose qui leur est refusée, les conservateurs ont affirmé qu'il y avait une nation québécoise, mais n'a pas adopté de résolution conséquente, un des gouvernements est seulement moins hypocrite que l'autre. Le caractère obligatoire pour l'apprentissage de leur langue nationale est un autre point commun et les détracteurs amènent les mêmes arguments individualistes issus de la charte des droits et libertés soulevés par nos amis anglophones du Québec. Les deux autres points de l'article sont peu soulevés au Québec, car le Parti Québécois semble, soit incapable des communiqués à la population, ou ne désire pas le faire parce que ce parti n'est pas aussi indépendantiste qu'il veut bien le faire croire. « Les pouvoirs conférés au Conseil de la magistrature catalan seraient identiques à son alter ego national; ensuite, l'estatut fixe des compétences exclusives pour la Catalogne, notamment en matière fiscale, ce que le PP juge «intolérable»; enfin, et peut-être surtout, le texte oblige l'État espagnol à réserver 17 % de ses investissements à la Catalogne, soit l'équivalent de ce que la région apporte au PIB national. Inacceptable pour le PP, aussi, car cela reviendrait à torpiller «le principe de solidarité» entre les 17 communautés autonomes du pays. » Imaginé une minute une nouvelle constitution où le Québec ferait ce type de demande (tout à-fait raisonnable pour une nation distincte), est-ce que les Québécois appuieraient ces résolutions? Que la réponse soit affirmative ou négative, nous aurions enfin un vrai débat politique à nous mettre sous la dent, de quoi faire sortir le peuple de son apathie politique.
Dans une société individualiste, le statu quo national est beaucoup plus «tolérable», c’est pourquoi la majorité de la population évite d’embarquer dans ce genre de débat…
Étude internationale menée au Québec - Des enfants d'âge préscolaire déprimés et anxieux
La petite enfance n'est pas faite que de jeux et d'insouciance. Pour certains bouts de chou, elle est même synonyme de grandes inquiétudes. Une vaste étude internationale réalisée au Québec montre en effet qu'un enfant sur sept souffre de hauts niveaux de dépression et d'anxiété avant même de mettre le pied à la petite école, une fragilité qui va grandissant pour certains.
Publiée dans le dernier Journal of Child Psychology and Psychiatry, cette étude a permis de suivre étroitement 1759 petits Québécois de leur naissance jusqu'à cinq ans. Au final, pas moins de 15 % ont montré des niveaux atypiques de dépression et d'anxiété. Au quotidien, cela se traduit par un enfant «qui se sent triste la plupart du temps», qui est manifestement «tendu, anxieux», souvent même apeuré, et qui «a du mal à ressentir du plaisir avec les autres», explique son auteure principale, la Dre Sylvana Côté.
La dépression et l'anxiété figurent parmi les dix premières causes d'incapacité dans le monde. Ces maux ont été très bien documentés chez les enfants d'âge scolaire et les adolescents, mais pas du tout chez les tout-petits. Résultat: on en sait très peu sur le phénomène, convient la psychologue. «Plusieurs pensent même que ces problèmes n'existent pas pendant la petite enfance. Or, notre étude montre clairement que ces maux existent aussi chez les enfants d'âge préscolaire.»
Eh oui, les enfants en bas âge ont des émotions! Eh non! Ce n'est pas toujours de la joie! La plupart des gens ont tendance à croire qu'il est impossible pour un tout-petit d’éprouver des émotions liées à la dépression parce qu'ils n'ont pas à faire face aux problèmes des plus vieux et que, dans le fond, ils n'ont qu'a profiter de la vie, mais qu'en est-il si ces enfants ne peuvent pas profiter de la vie de manière stimulante? Nous savons que nous pouvons retirer la télévision et les jeux vidéo de la liste des activités stimulantes puisqu'elles n'ont rien de constructives, un enfant en bas âge doit commencer à apprendre à réaliser des choses afin de bâtir sa confiance avec ou sans l'aide de ses parents. Des choses toutes simples comme la construction à l'aide de blocs, le dessin d'une maison, apprendre à écrire son nom... la chose n'a nullement besoin d'être réalisée à la perfection puisque l'enfant n'est qu'en stade d'apprentissage, tout ce dont il a besoin c'est d'encouragements, de conseils et de félicitations.
Cette anxiété, qui sort de la normalité en raison de son extrême intensité, s'exprime en fait dès la première année de vie, poursuit la professeure au Département de médecine sociale et préventive de l'Université de Montréal. «Il existe des indications montrant qu'un enfant est plus à risque, et le plus important est certainement son tempérament à l'âge de cinq mois.» Ce nourrisson se distingue des autres par son comportement «capricieux». «Il est difficile à consoler» et il peine à s'adapter aux situations changeantes qu'il redoute, explique la Dre Côté.
La dépression de la mère est aussi un élément prédictif décisif, ajoute la psychologue. «Notre étude est la première à montrer que le tempérament du jeune enfant et la dépression maternelle peuvent mener à une trajectoire élevée de problèmes de dépression et d'anxiété avant l'entrée à l'école.» D'où l'importance de soutenir non seulement l'enfant, mais aussi sa mère, recommande l'équipe internationale qui regroupe des chercheurs tant québécois que français, américains et irlandais.
Source
La lecture de ces deux paragraphes me laisse perplexe... Est-ce que la dépression est, en quelque sorte, inscrite dans les gènes de l'enfant à la naissance ou dût au fait que la mère dépressive inculque son comportement à l'enfant après sa naissance? En d'autres mots, est-ce que la dépression est un sentiment inné ou acquis? L'article ne répond malheureusement pas à cette question. Je serais pourtant très curieux d'en connaître la réponse... et qu'en est-il de l'intelligence?
"Budget 2011: massacre à la tronçonneuse
Les familles seront mises à contribution
CLAUDE MONET, SON MUSEE
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE VIENNE
Laure Manaudou replonge : le retour de la sirène
Samedi dernier, dans 50 Minutes Inside, Nikos Aliagas et Sandrine Quétier décrochaient le scoop sportif de la rentrée : après deux ans d'absence et un bébé avec Frédérick Bousquet, Laure Manaudou confiait avoir retrouvé les joies de la natation depuis 15 jours.
La presse avait bien sûr immédiatement salué le retour aux affaires de l'enfant prodige, s'enflammant sur un prochain éventuel comeback au haut niveau et fantasmant déjà sur de futures médailles à venir...
Mais aujourd'hui, dans un communiqué officiel, la triple championne olympique et quintuple championne du monde a voulu calmer l'enthousiasme de tout le monde en temporisant sur un retour éventuel à la compétition en juillet 2012, à Shanghai, pour les championnats du monde de natation :
'Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire dernièrement dans le cadre d'un reportage diffusé sur TF1, j'ai en effet eu envie de me remettre à l'eau, au Cercle des Nageurs de Marseille, club dont je suis toujours licenciée. Après deux ans d'arrêt, j'ai ressenti le besoin de retourner dans une piscine afin de savoir si je pouvais retrouver le plaisir de nager. Un plaisir qui m'a manqué et qui revient aujourd'hui petit à petit. Je comprends et j'apprécie l'enthousiasme que peut susciter, pour les médias et le public, l'espoir de me revoir nager au plus haut niveau, mais il est à ce stade irréaliste pour moi d'envisager tout retour à la compétition.'
La jeune maman qui avoir 23 ans la semaine prochain retournera d'ailleurs bientôt aux États-Unis, vivre et s'entrainer dans la paix avec son chéri, loin des remous de l'agitation des médias français.
Rappelons que la semaine dernière, Laure Manaudou et Frédérick Bousquet étaient victimes d'un cambriolage à leur domicile marseillais.
Crédit Photo : Splashnews
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"Les jeunes professionnels partent travailler en Province
« Chaque année, plus de 200 000 franciliens quittent l’Ile-de-France pour la Province (source : INSEE). Ce phénomène de régiotropisme touche tout particulièrement les jeunes professionnels (30-35 ans) et les jeunes familles. Les 40-50 ans et les retraités sont également nombreux à partir trouver une meilleure qualité de vie en Province. 75% des départs de l’Ile-de-France sont à destination des régions non-limitrophes. Les flux sont ainsi très intenses vers la région Centre, le “Grand Ouest” (Bretagne, et Pays de la Loire), le Sud-Ouest (Aquitaine et Languedoc-Roussillon), Rhône-Alpes et PACA. (…)
Ces très nombreux départs sont en partie compensés par les arrivées de jeunes (20-29 ans) – environ 80 000 par an, qui viennent terminer leurs études ou trouver un premier emploi en région parisienne. (…)
Les causes du phénomène sont nombreuses. Les régions séduisent par le prix modéré de l’immobilier, la qualité de vie, et les opportunités professionnelles qu’elles proposent. A l’inverse, Paris ne semble plus répondre à certaines inspirations des jeunes actifs, équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle, accès à la propriété, accès aux loisirs, et à la nature… L’essor du haut débit, l’extension du réseau TGV rendent également la Province plus accessible. Pour certaines, il s’agit d’un retour aux sources. (…)
Quelles sont aujourd’hui vos motivations pour changer de région ? (Sondage OpinionWay, AFPA, Novembre 2007)
29% - Une meilleure qualité de vie
29% - Un meilleur niveau de vie
16% - Les perspectives de carrière
11% - Etre plus près de votre famille et de vos amis
11% - L’intérêt du travail
3% - Un meilleur logement
1% - Autre
En savoir plus sur le salon Provemploi
A lire sur France emploi : Changer de région, mode d’emploi"
La Semaine pour l’emploi : J-6 !
Tous les jours, vous pourrez rencontrer par chat vidéo les recruteurs de grandes entreprises et de PME. Quel que soit votre profil, votre degré d’expérience, votre niveau de qualification : vous pourrez leur poser toutes vos questions et leur demander des conseils sur votre CV et votre profil.
Vous pourrez consulter aussi : des milliers d’offres d’emploi, des dossiers conseils, des vidéos, l’actualité du monde du travail…
Une occasion de booster votre recherche d’emploi, de faire des rencontres professionnelles intéressantes et, pourquoi pas, de trouver un emploi !
Voir le site de la Semaine pour l’emploi
Pour préparer cet événement, n’hésitez pas à constituer dès maintenant votre dossier de candidature (CV + lettre de motivation). Vous saurez ainsi quelles questions soumettre aux recruteurs de la Semaine pour l’emploi. Ils pourront aussi commenter avec vous votre CV, vous donner des conseils de rédaction ou de présentation.
Voici quelques dossiers utiles à consulter sur France 5 emploi :
- pour constituer votre CV et votre lettre de motivation : Rédiger le CV gagnant et Lettre de motivation, mode d’emploi
- pour préparer un entretien et correspondre aux attentes des recruteurs : Recruteurs, quelles sont leurs attentes ? et Ce que les DRH attendent des jeunes diplômés
- pour mettre toutes les chances de votre côté et gérer votre identité sur le web : Comment optimiser sa visibilité sur Internet ? et Gérez votre image sur Internet"
Franchise : avantages et inconvénients
« Entreprendre en franchise : quels avantages ?
- Le créateur bénéficie immédiatement de la notoriété d’une marque connue, du savoir-faire du franchiseur, ainsi que d’une formation adaptée.
- Une fois installé, il profite d’un contrôle et d’assistance permanente tout au long de son exploitation, le franchiseur disposant des moyens d’être constamment à l’écoute de la demande de la clientèle, des nouveaux systèmes de gestion ou de promotion, etc.
- La franchise offre en général des chances supérieures de réussite par rapport aux commerces isolés. Une enquête réalisée par l’Insee permet de constater un taux de survie des entreprises franchisées au bout de 4 ans de 95 %, contre 40 % dans l’ensemble du commerce de détail et 53 % dans les services.
Attention cependant, la franchise ne constitue pas, pour autant, une garantie : un franchisé sur cinq dépose le bilan au bout de cinq ans, même dans les concepts qui ont fait leurs preuves.
Entreprendre en franchise : quels inconvénients ?
- L’investissement de départ est en général plus important dans la franchise que dans le commerce isolé : les droits d’entrée et surtout les exigences d’implantation du local et de son aménagement, sont de plus en plus élevées. Détenir des fonds propres suffisants est donc une condition sine qua non.
- La formule porte atteinte au désir d’indépendance, qui anime l’esprit de nombreux créateurs. Le franchisé doit accepter les règles de fonctionnement imposées par le franchiseur et vendre, généralement à titre exclusif, les produits et/ou services du franchiseur dans le seul local agréé par ce dernier. »
Lire l’article dans son intégralité sur le site de l’APCE
A lire aussi sur France 5 emploi :
- Franchise, choisir la bonne solution
- Comment réussir sa franchise ?
- Les réponses de l’APCE sur la franchise"
Les coopératives ouvrières (Scop) vues par les artistes
“Le patron, c’est nous !”
Rafaël Trapet est photographe, la relation de l’homme au travail est un sujet qui revient régulièrement dans ses images. Il s’est intéressé à une Scop, Ceralep, 6 années après sa création. « Ceralep fabrique des isolateurs électriques en céramique utilisés par les réseaux à très haute tension. (…) En 2004, après sa liquidation judiciaire, une cinquantaine de salariés ont décidé de la faire redémarrer. (…) L’entreprise ré-ouvre donc avec 52 salariés sous forme de Société Coopérative de Production. (…)
Six années plus tard, qu’est devenue Ceralep ? Qu’est ce que la transformation en coopérative a changé dans le quotidien des ouvriers ? Que sont devenus les anciens syndicalistes à l’origine de la reprise ? Est ce que ce modèle d’entreprise où les écarts de salaire sont faibles est une alternative au capitalisme financier, un remède à la crise ? Voilà les questions que je me posais en venant cette année chez Ceralep.» (Rafaël Trapet)
Voir le webdoc “Le patron, c’est nous” sur france5.fr
“Entre nos mains”
Mariana Otero a suivi des femmes salariées d’une entreprise de lingerie qui décident, pour sauver leur emploi, de reprendre leur entreprise sous forme de Scop : « [Les Scop] “révolutionnent” intimement notre manière instituée de travailler et de vivre ensemble et amènent chacun à penser différemment son rapport au travail, aux collègues, aux proches, et plus généralement à revoir sa manière “d’être au monde”. (…) Avec cette possibilité de travailler en coopérative, des femmes d’origines culturelles différentes, habituées à travailler “en clans” et de manière individualiste, allaient devoir travailler ensemble : l’enjeu pour elles était de taille. » (Mariana Otero)
Le film “Entre nos mains” sort en salles le 6 octobre 2010.
ENTRE NOS MAINS - Bande-annonce
envoyé par diaphana. - Les dernières bandes annonces en ligne.
A lire sur France 5 emploi : Qu’est-ce qu’une Scop ?"
Leonardo DiCaprio dans le rôle de Gatsby le Magnifique: qu'en pensez-vous ?
Photo ci-dessus © inthemoodforcinema.com (juillet 2010)
Le talent de Leonardo Di Caprio n'est plus à prouver : que ce soit dans 'Les Noces rebelles', 'Inception' ou 'Shutter Island", il crève l'écran, c'est pourtant un vrai challenge que de reprendre le rôle de Gatsby, l'inoubliable personnage du roman de Fitzgerald déjà interprété à l'écran par Robert Redford duquel il est indissociable. C'est Baz Luhrmann qui se charge de cette nouvelle adaptation. Tobey Maguire et Amanda Seyfried incarneront respectivement Nick Carraway et Daisy Buchanan. En attendant de découvrir cette nouvelle adaptation, retrouvez,, ci-dessous, ma critique de "Gatsby le magnifique" de Jack Clayton avec Robert Redford et Mia Farrow.
Adapté en 1974 du chef d'œuvre de Fizgerald, le film (comme le roman) se déroule dans la haute aristocratie américaine. Une vraie gageure d'adapter ce sublime roman( sans doute un de ceux que j'ai le plus relus) qui évite toujours soigneusement la mièvrerie et assume le romantisme effréné et exalté (mais condamné) de son personnage principal.
Eté 1920. Nick Carraway (Sam Waterston), jeune homme du Middlewest américain se rend à New York pour travailler comme agent de change. C'est dans la zone huppée de Long Island qu'il trouve une maison, juste à côté de la somptueuse demeure du mystérieux Gatsby (Robert Redford) et avec une vue imprenable sur East Egg où vivent sa cousine Daisy (Mia Farrow) et son mari Tom Buchanan (Bruce Dern) . Daisy s'ennuie avec son mari bourru qui la trompe ouvertement et elle tue le temps avec son amie la golfeuse professionnelle Jordan Baker. Tom présente même à Nick sa maîtresse Myrtle Wilson (Karen Black), la femme du garagiste. Tous s'étonnent que Nick ne connaisse pas son voisin Jay Gatsby qui donne des réceptions somptueuses avec des centaines d'invités et sur le compte de qui courent les rumeurs les plus folles. C'est en répondant à une des invitations de son mystérieux voisin que Nick va faire ressurgir le passé liant sa cousine Daisy à l'étrange et séduisant Jay Gatsby.
Dès les premières minutes, ce film exerce la même fascination sur le spectateur que le personnage de Jay Gatsby sur ceux qui le côtoient ou l'imaginent. La magnificence crépusculaire de la photographie et la langueur fiévreuse qui étreint les personnages nous laissent entendre que tout cela s'achèvera dans le drame mais comme Nick nous sommes fascinés par le spectacle auquel nous souhaitons assister jusqu'au dénouement. Jay Gatsby n'apparaît qu'au bout de vingt minutes, nous nous trouvons alors dans la même situation que Nick qui ne le connaît que par sa réputation : on dit qu'il « a tué un homme » et qu'il n'apparaît jamais aux fêtes somptueuses qu'il donne dans une joyeuse décadence.
Comme dans le roman de Fitzgerald, le film de Jack Clayton dépeint brillamment l'ennui de la haute aristocratie américaine grâce à plusieurs éléments : l'élégance romantique et le jeu de Robert Redford ( difficile après avoir vu le film d'imaginer autrement le personnage de Gatsby qu'il incarne à la perfection), le scénario impeccable signé Francis Ford Coppola, une photographie éblouissante qui évoque à la fois la nostalgie et la chaleur éblouissantes, une interprétation de Mia Farrow entre cruauté, ennui, insouciance et même folie, l'atmosphère nostalgique et fiévreuse (la sueur perle en permanence sur le front des personnages comme une menace constante), et puis bien sûr l'adaptation du magnifique texte de Fitzgerald : « La poussière empoisonnée flottant sur ses rêves » ou cette expression de « nuages roses » qui définit si bien le ton du roman et du film. Avec l'amertume dissimulée derrière l'apparente légèreté. La mélancolie et le désenchantement derrière la désinvolture. Il faut aussi souligner l'excellence des seconds rôles et notamment de Karen Black aussi bien dans la futilité que lorsqu'elle raconte sa rencontre avec Tom Buchanan.
« Gatsby le magnifique » est à la fois une critique de l'insouciance cruelle et de la superficialité de l'aristocratie que symbolise Daisy, c'est aussi le portrait fascinant d'un homme au passé troublant, voire trouble et à l'aura romantique dont la seule obsession est de ressusciter le passé et qui ne vit que pour satisfaire son amour inconditionnel et aveugle. (Ah la magnifique scène où Jay et Daisy dansent dans une pièce vide éclairée à la bougie !) Face à lui Daisy, frivole et lâche, qui préfère sa réputation et sa richesse à Gatsby dont la réussite sociale n'avait d'autre but que de l'étonner et de poursuivre son rêve qui pour lui n'avait pas de prix. Gatsby dont par bribes la personnalité se dessine : par sa manie d'appeler tout le monde « vieux frère », par ses relations peu recommandables, par le portrait qu'en dresse son père après sa mort, un père qu'il disait riche et mort. Pour Daisy, la richesse est un but. Pour Jay, un moyen (de la reconquérir). Elle qui ne sait que faire des 30 années à venir où il va falloir tuer le temps.
Les deux êtres pour qui l'argent n'étaient qu'un moyen et non une fin et capables d'éprouver des sentiments seront condamnés par une société pervertie et coupable de désinvolture et d'insouciance. Un film de contrastes. Entre le goût de l'éphémère de Daisy et celui de l'éternité de Gatsby. Entre la réputation sulfureuse de Gatsby et la pureté de ses sentiments. Entre la fragilité apparente de Daisy et sa cruauté. Entre la douce lumière d'été et la violence des sentiments. Entre le luxe dans lequel vit Gatsby et son désarroi. Entre son extravagance apparente et sa simplicité réelle. Entre la magnificence de Gatsby et sa naïveté. Et tant d'autres encore. Des contrastes d'une douloureuse beauté.
C'est à travers le regard sensible et lucide de Nick qui seul semble voir toute l'amertume, la vanité, et la beauté tragique de l'amour, mélancolique, pur et désenchanté, que Gatsby porte à Daisy que nous découvrons cette histoire tragique dont la prégnante sensation ne nous quitte pas et qui nous laisse avec l'irrésistible envie de relire encore et encore le chef d'œuvre de Fitzgerald et de nous laisser dangereusement griser par l'atmosphère de chaleur écrasante, d'extravagance et d'ennui étrangement mêlés dans une confusion finalement criminelle. Un film empreint de la fugace beauté de l'éphémère et de la nostalgie désenchantée qui portent le fascinant et romanesque Gatsby. A (re)voir absolument.
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