samedi 5 mars 2011
"J'aime, j'aime pas", les sèche-chaussettes font entendre la voix des femmes
"J'aime, j'aime pas", les sèche-chaussettes font entendre la voix des femmes: "
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Issue du collectif Art Point M, l'artiste Fanny Bouyagui s'est associée avec la mairie de Lille pour qu'à l'occasion de la journée de la Femme le 8 mars, 600 de Lille et des environs puissent s'exprimer via des sèche-chaussettes.
Les intéressées ont eu un mois pour fixer leurs faveurs et leurs déplaisirs aux pinces de cet inoffensif accessoire ménager.
Ainsi, épinglés, tous les goûts des femmes sont ainsi dans la nature et surtout dans les locaux du Tri postal derrière la gare de Lille-Flandres.
Le visiteur pourra ainsi saisir les humeurs des unes et des autres durant une semaine.
J'aime, j'aime pas au Tri postal à Lille du 8 au 16 mars 2011.
A voir aussi sur Culturebox :
- Degas et la Route de la Soie attirent les foules dans le Nord - L'exposition 'La route de la soie' Saatchi Gallery ouvre ses portes au Tri Postal - Je rêve et je fais : exposition hip-hop du photographe Homardpayette
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Issue du collectif Art Point M, l'artiste Fanny Bouyagui s'est associée avec la mairie de Lille pour qu'à l'occasion de la journée de la Femme le 8 mars, 600 de Lille et des environs puissent s'exprimer via des sèche-chaussettes.
Les intéressées ont eu un mois pour fixer leurs faveurs et leurs déplaisirs aux pinces de cet inoffensif accessoire ménager.
Ainsi, épinglés, tous les goûts des femmes sont ainsi dans la nature et surtout dans les locaux du Tri postal derrière la gare de Lille-Flandres.
Le visiteur pourra ainsi saisir les humeurs des unes et des autres durant une semaine.
J'aime, j'aime pas au Tri postal à Lille du 8 au 16 mars 2011.
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Renaissance de la Gaîté lyrique, du théâtre de la foire au triomphe des arts numériques
Renaissance de la Gaîté lyrique, du théâtre de la foire au triomphe des arts numériques: "
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Divertissement installé boulevard du Temple dans la seconde moitié du XVIIIème siècle, la salle ne devient théâtre de la Gaîté que durant la Révolution quand elle cesse d'abriter la troupe des Grands Danseurs du Roi.
Démolie, rebâtie et rouverte en 1808 sous l'Empire, la salle disparait une nouvelle fois lors d'un incendie en 1835 et est reconstruite pour la seconde fois au même emplacement.
En 1861, sous le Second empire, le baron Haussman lui offre encore une troisième renaissance à la faveur des grands travaux de Paris, le théâtre est alors rasé pour le percement du boulevard Voltaire.
Reconstruite rue Papin dans le style multiple et exubérant de l'époque par l'architecte Alphonse Cusin, la salle délaisse alors les pièces de théâtre et ajoute l'adjectif 'lyrique' à son nom pour se dédier au spectacle fétiche de ce que l'Histoire on baptisé la 'fête impériale': l'opérette. Le prince du genre, le compositeur Jacques Offenbach va d'ailleurs diriger le théâtre jusqu'en 1873 et y connaître de nombreux triomphes, l'appétit du public pour l'opérette sera durable.
En 1918, les Ballets russes de Diaghilev y connaîtront aussi la gloire.
Après la Seconde guerre mondiale, la salle accueille encore des succès mais en 1989, c'est la faillite et le producteur Jean Chalopin transformel'édifice en un parc d'attraction: Planète Magique. Ce sera un échec et le théâtre est abandonné.
Finalement, il faudra attendre 2004 pour que la mairie de Paris se décide pour un centre culturel dédié aux arts numériques.
85 millions d'euros et sept ans de travaux plus tard, cette nouvelle Gaîté lyrique qui s'offre au public est, comme à la haute époque de l'opérette (genre tout à fait nouveau sous le Second empire) ...à l'avant-garde.
A voir aussi sur Culturebox :
- La Gaîté lyrique, nouveau temple parisien des arts numériques - ISI, festival innovant des arts numériques - Musiques numériques : l'étonnante partition d'images de Julie Morel
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Divertissement installé boulevard du Temple dans la seconde moitié du XVIIIème siècle, la salle ne devient théâtre de la Gaîté que durant la Révolution quand elle cesse d'abriter la troupe des Grands Danseurs du Roi.
Démolie, rebâtie et rouverte en 1808 sous l'Empire, la salle disparait une nouvelle fois lors d'un incendie en 1835 et est reconstruite pour la seconde fois au même emplacement.
En 1861, sous le Second empire, le baron Haussman lui offre encore une troisième renaissance à la faveur des grands travaux de Paris, le théâtre est alors rasé pour le percement du boulevard Voltaire.
Reconstruite rue Papin dans le style multiple et exubérant de l'époque par l'architecte Alphonse Cusin, la salle délaisse alors les pièces de théâtre et ajoute l'adjectif 'lyrique' à son nom pour se dédier au spectacle fétiche de ce que l'Histoire on baptisé la 'fête impériale': l'opérette. Le prince du genre, le compositeur Jacques Offenbach va d'ailleurs diriger le théâtre jusqu'en 1873 et y connaître de nombreux triomphes, l'appétit du public pour l'opérette sera durable.
En 1918, les Ballets russes de Diaghilev y connaîtront aussi la gloire.
Après la Seconde guerre mondiale, la salle accueille encore des succès mais en 1989, c'est la faillite et le producteur Jean Chalopin transformel'édifice en un parc d'attraction: Planète Magique. Ce sera un échec et le théâtre est abandonné.
Finalement, il faudra attendre 2004 pour que la mairie de Paris se décide pour un centre culturel dédié aux arts numériques.
85 millions d'euros et sept ans de travaux plus tard, cette nouvelle Gaîté lyrique qui s'offre au public est, comme à la haute époque de l'opérette (genre tout à fait nouveau sous le Second empire) ...à l'avant-garde.
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Renaissance de la Gaîté lyrique, du théâtre de la foire au triomphe des arts numériques
Renaissance de la Gaîté lyrique, du théâtre de la foire au triomphe des arts numériques: "
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Après près de sept ans de travaux, le théâtre de la Gaîté lyrique fait un retour fracassant sur la scène culturelle parisienne, l'ancien temple de l'opérette s'est métamorphosé en cathédrale des arts numériques avec un bâtiment où se mêle extrême modernité et vestiges de la tradition, le tout mis en musique par l'architecte Manuelle Gaudrand."
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Après près de sept ans de travaux, le théâtre de la Gaîté lyrique fait un retour fracassant sur la scène culturelle parisienne, l'ancien temple de l'opérette s'est métamorphosé en cathédrale des arts numériques avec un bâtiment où se mêle extrême modernité et vestiges de la tradition, le tout mis en musique par l'architecte Manuelle Gaudrand."
Janvier dans les étoiles, 12ème édition du festival du cirque contemporain à la Seyne-sur-Mer
Janvier dans les étoiles, 12ème édition du festival du cirque contemporain à la Seyne-sur-Mer: "
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Charmeur de cordes et de noeuds, Karl Stets est né au Danemark en 1974.
Il étudie à l'Academy for Untamed Kreativity à Copenhague avant de partir en Russie à Moscou pour étudier les arts du cirque.
Après des débuts sur la piste comme funambule sur fil mou, l'artiste a tiré sur sa corde et décliné largement les possibilités de l'accessoire entre marionnette et jonglage.
Il travaillera ensuite dans différentes compagnies, en Suède, de nouveau au Danemark puis à Barcelone où il a créé avec Katja Amtoft et Steffen Lundsgaard la compagnie Lice de Luxe qui a tourné cinq années durant dans des festivals en Europe et en Amérique Latine.
Actuellement, il joue son solo Cuerdo: un homme, une valise, trois cordes et neuf souricières pour un spectacle-collage entre le numéro du fakir et la fantaisie d'un clown.
A voir aussi sur Culturebox :
- 'Les Nono font leur cirque' en région parisienne - 'L'Atelier du peintre' du Cirque Plume plante son décor à Amiens - CirkVOST, la haute voltige au festival Circa
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Charmeur de cordes et de noeuds, Karl Stets est né au Danemark en 1974.
Il étudie à l'Academy for Untamed Kreativity à Copenhague avant de partir en Russie à Moscou pour étudier les arts du cirque.
Après des débuts sur la piste comme funambule sur fil mou, l'artiste a tiré sur sa corde et décliné largement les possibilités de l'accessoire entre marionnette et jonglage.
Il travaillera ensuite dans différentes compagnies, en Suède, de nouveau au Danemark puis à Barcelone où il a créé avec Katja Amtoft et Steffen Lundsgaard la compagnie Lice de Luxe qui a tourné cinq années durant dans des festivals en Europe et en Amérique Latine.
Actuellement, il joue son solo Cuerdo: un homme, une valise, trois cordes et neuf souricières pour un spectacle-collage entre le numéro du fakir et la fantaisie d'un clown.
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Moscato one man Chaud !
Moscato one man Chaud !: "
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Né à Paris en 1965 mais élevé dans le Tarn, Vincent Moscato s'empare du ballon ovale dés l'âge de six ans.
Devenu international au poste de talonneur, il évolue notamment au club de Bègles où, avec Serge Simon et Philippe Gimbert - tous trois le crâne rasé - il fera partie des Rapetous, en référence aux fameux cambrioleurs convoitant éternellement mais sans succès la fortune de l'oncle Picsou.
Moscato et ses comparses seront plus heureux que leurs homologues de bande dessinée car ils décrochent le titre de champion de France avec le club bèglais en 1991.
Un titre que Moscato remportera une nouvelle fois en 1998, cette fois avec le Stade Français.
Il s'essaiera aussi à la boxe mais désormais quadragénaire, le sportif offre tous les gages d'une reconversion réussie avec un nouveau profil multicarte: consultant pour la télévision, animateur de radio (le Moscato Show), un peu de théâtre ('Oscar') et plus d'une dizaine de (plus ou moins petits) rôles au cinéma, il s'aventure aussi seul en scène avec un one man show.
Enfin, insigne honneur, en 2006, le Sunday Times, supplément dominical du prestigieux quotidien du même nom avait inclus Vincent Moscato dans la liste des dix rugbymen français les plus effrayants !
A voir aussi sur Culturebox :
- Le rugbyman Jean-Pierre Rives expose ses sculptures monumentales - Hacine Cherifi, un champion de boxe passe du ring à la scène - Régis Wargnier tourne 'La ligne droite' avec Rachida Brakni
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Né à Paris en 1965 mais élevé dans le Tarn, Vincent Moscato s'empare du ballon ovale dés l'âge de six ans.
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Moscato et ses comparses seront plus heureux que leurs homologues de bande dessinée car ils décrochent le titre de champion de France avec le club bèglais en 1991.
Un titre que Moscato remportera une nouvelle fois en 1998, cette fois avec le Stade Français.
Il s'essaiera aussi à la boxe mais désormais quadragénaire, le sportif offre tous les gages d'une reconversion réussie avec un nouveau profil multicarte: consultant pour la télévision, animateur de radio (le Moscato Show), un peu de théâtre ('Oscar') et plus d'une dizaine de (plus ou moins petits) rôles au cinéma, il s'aventure aussi seul en scène avec un one man show.
Enfin, insigne honneur, en 2006, le Sunday Times, supplément dominical du prestigieux quotidien du même nom avait inclus Vincent Moscato dans la liste des dix rugbymen français les plus effrayants !
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A Ajaccio, le musée Fesch rend hommage à Emile Brod, peintre de la cité impériale
A Ajaccio, le musée Fesch rend hommage à Emile Brod, peintre de la cité impériale: "
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Né en 1763, oncle de Napoléon Bonaparte, Joseph Fesch est un ecclésiastique qui quitte l'habit lors de la tourmente révolutionnaire. En quête de revenus, il se reconvertit alors comme fournisseur aux armées.
Son neveu, dont l'étoile de général brille alors au plus haut lui confie la tâche lucrative de commis aux marchés de fournitures pour l'armée d'Italie.
Lors de cette campagne, il débute une collection de peintures qui avec le temps allait devenir gigantesque.
Il réintègre l'Eglise en 1802 et son illustre neveu lui bâtit un vaste diocèse sur mesure réunissant les départements de la Loire du Rhône et de l'Ain, il va y siéger comme archevêque de Lyon et Primat des Gaules.
Ses nouvelles fonctions et les relations souvent tendues qu'il entretient avec l'empereur en raison de la politique religieuse et la vie privée de ce dernier ne détourneront pas le cardinal de sa passion dévorante pour l'art.
Epaulé par la faveur impériale car il reste longtemps fidèle à Napoléon, il se lance durant des années à travers l'Europe dans une véritable boulimie d'achats et il décide dés 1806 de faire bâtir à Ajaccio un institut d'études artistiques dont les travaux ne débuteront que vingt plus tard pour s'achever en 1852, bien après la mort de leur inspirateur.
Quand le cardinal Fesch meurt à Rome en 1836, sa collection comporte près de 18 000 pièces dont 16 000 tableaux, il en lègue 1000 à Ajaccio dont une large part sont des peintures italiennes, le fonds du musée Fesch étant la seconde plus vaste collection du genre en France après celle du Louvre.
Le destin du musée, où trône une statue du cardinal-mécène, sera pour le moins chaotique et ce n'est que à partir des années 80, sous l'impulsion du ministre de la Culture Jack Lang que le bâtiment va être progressivement rendu à sa vocation première. Trente ans de travaux qui se sont achevés en 2010 pour en faire - enfin - un superbe et véritable musée.
Emile Brod, designi aicinni, du 3 mars au 30 mai 2011 au musée Fesch à Ajaccio.
A voir aussi sur Culturebox :
- 'Ecorchés vifs' une chorégraphie déambulatoire au Palais Fesch - Le sculpteur José Pini et le peintre Jean-Paul Pancrazi exposent en Haute-Corse - A la rencontre de Suzanne Cornillac peintre de la Corse
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Né en 1763, oncle de Napoléon Bonaparte, Joseph Fesch est un ecclésiastique qui quitte l'habit lors de la tourmente révolutionnaire. En quête de revenus, il se reconvertit alors comme fournisseur aux armées.
Son neveu, dont l'étoile de général brille alors au plus haut lui confie la tâche lucrative de commis aux marchés de fournitures pour l'armée d'Italie.
Lors de cette campagne, il débute une collection de peintures qui avec le temps allait devenir gigantesque.
Il réintègre l'Eglise en 1802 et son illustre neveu lui bâtit un vaste diocèse sur mesure réunissant les départements de la Loire du Rhône et de l'Ain, il va y siéger comme archevêque de Lyon et Primat des Gaules.
Ses nouvelles fonctions et les relations souvent tendues qu'il entretient avec l'empereur en raison de la politique religieuse et la vie privée de ce dernier ne détourneront pas le cardinal de sa passion dévorante pour l'art.
Epaulé par la faveur impériale car il reste longtemps fidèle à Napoléon, il se lance durant des années à travers l'Europe dans une véritable boulimie d'achats et il décide dés 1806 de faire bâtir à Ajaccio un institut d'études artistiques dont les travaux ne débuteront que vingt plus tard pour s'achever en 1852, bien après la mort de leur inspirateur.
Quand le cardinal Fesch meurt à Rome en 1836, sa collection comporte près de 18 000 pièces dont 16 000 tableaux, il en lègue 1000 à Ajaccio dont une large part sont des peintures italiennes, le fonds du musée Fesch étant la seconde plus vaste collection du genre en France après celle du Louvre.
Le destin du musée, où trône une statue du cardinal-mécène, sera pour le moins chaotique et ce n'est que à partir des années 80, sous l'impulsion du ministre de la Culture Jack Lang que le bâtiment va être progressivement rendu à sa vocation première. Trente ans de travaux qui se sont achevés en 2010 pour en faire - enfin - un superbe et véritable musée.
Emile Brod, designi aicinni, du 3 mars au 30 mai 2011 au musée Fesch à Ajaccio.
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Chagall et l'avant-garde russe, une exposition exceptionelle au musée de Grenoble
Chagall et l'avant-garde russe, une exposition exceptionelle au musée de Grenoble: "
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La peinture russe du début du XXème siècle est célébrée ce printemps au musée de Grenoble avec le plus français des peintres russes, Marc Chagall en compagnie de ses contemporains et compatriotes pour des pièces issues des Centre Pompidou. Sous le titre 'Chagall et l'avant-garde russe', cette exposition propose plus de 150 oeuvres à voir du 5 mars au 13 juin 2011."
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La peinture russe du début du XXème siècle est célébrée ce printemps au musée de Grenoble avec le plus français des peintres russes, Marc Chagall en compagnie de ses contemporains et compatriotes pour des pièces issues des Centre Pompidou. Sous le titre 'Chagall et l'avant-garde russe', cette exposition propose plus de 150 oeuvres à voir du 5 mars au 13 juin 2011."
Prix du gaz naturel: +5% au 1er avril 2011, une plaisanterie douteuse, au goût amer
Prix du gaz naturel: +5% au 1er avril 2011, une plaisanterie douteuse, au goût amer: "
GAZ +cher et GAZ DE SCHISTE
Le 1er avril n'est plus ce qu'il était et le prochain sera en + désagréable en raison de cette augmentation due parait il aux grands mouvements[...]
"Le 10 mars 1 an de présence sur Twitter de henri Rousseau Rouen
Depuis le 16 janvier 2009 à 16heures 10,je suis entré sur internet pour relationner avec des enfants malades rencontrés la nuit du 24 décembre 2008.Je relate toute ma vie publique et ce que j'aimerai faire autour d'internet pour aider des causes,des associations,faire connaître des talents,aider la culture,informer sans imposer ma marque d'opinion.
Je suis à Rouen où un seul quotidien régional impose ses idées sarkosistes et dénigre les autres idées de leurs lecteurs.Paris Noprmandie donne la parole à ceux et celles qui caressent bien dans le sens du poil et informe ses lecteurs si cela sert bien sa cause.
Tout le monde sait que j'ai voté valérie Fourneyron et certains adjoints veulent que je sois aussi d'accord sur tout,tout ceux et celles qui me connaissent connaissent mon intégrité,ma franchise,mon honnêteté intellectuelle!J e dis quand je suis d'accord,je me tais quand je ne sais pas et je dénonce quand je ne suis pas d'accord:c'est cela la démocratie participative.
Pour ces deux raisons,Rouen Magazine et paris Normandie,à défaut de Côté Rouen n'ont pas informé leurs lecteurs de l'existence de henrirousseaurouen (ni auparavant de artsetouverture et 64 autres sites) et de twitter/henrirouen véritable réseau d'informations démocratique!
Je suis à Rouen où un seul quotidien régional impose ses idées sarkosistes et dénigre les autres idées de leurs lecteurs.Paris Noprmandie donne la parole à ceux et celles qui caressent bien dans le sens du poil et informe ses lecteurs si cela sert bien sa cause.
Tout le monde sait que j'ai voté valérie Fourneyron et certains adjoints veulent que je sois aussi d'accord sur tout,tout ceux et celles qui me connaissent connaissent mon intégrité,ma franchise,mon honnêteté intellectuelle!J e dis quand je suis d'accord,je me tais quand je ne sais pas et je dénonce quand je ne suis pas d'accord:c'est cela la démocratie participative.
Pour ces deux raisons,Rouen Magazine et paris Normandie,à défaut de Côté Rouen n'ont pas informé leurs lecteurs de l'existence de henrirousseaurouen (ni auparavant de artsetouverture et 64 autres sites) et de twitter/henrirouen véritable réseau d'informations démocratique!
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