mercredi 23 mars 2011
"Le Bout de la route" de Jean Giono sur la scène de l'Estive
"Le Bout de la route" de Jean Giono sur la scène de l'Estive: "
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Cette pièce montagnarde, actuellement en tournée dans toute la France, a certaines similitudes avec l'Ariège. Par une nuit d'hiver, un homme errant au passé mystérieux sonne à la porte d'une maison isolée et s'invite chez une famille aux habitudes bien ancrées.
François Rancillac, le directeur du Théâtre de l'Aquarium à Paris, monte cette première pièce écrite en 1931 par l'auteur du 'Hussard sur le toit' et du 'Roi se meurt' et offre un moment de vérité grâce à une mise en scène sobre inspirée par le travail sur l' 'Outrenoir' du peintre Pierre Soulages.
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Cette pièce montagnarde, actuellement en tournée dans toute la France, a certaines similitudes avec l'Ariège. Par une nuit d'hiver, un homme errant au passé mystérieux sonne à la porte d'une maison isolée et s'invite chez une famille aux habitudes bien ancrées.
François Rancillac, le directeur du Théâtre de l'Aquarium à Paris, monte cette première pièce écrite en 1931 par l'auteur du 'Hussard sur le toit' et du 'Roi se meurt' et offre un moment de vérité grâce à une mise en scène sobre inspirée par le travail sur l' 'Outrenoir' du peintre Pierre Soulages.
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Johnny Depp prête sa voix au caméléon Rango
Johnny Depp prête sa voix au caméléon Rango: "
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Entre deux 'Pirates des Caraïbes', le réalisateur Gore Verbinski s'attaque au film d'animation pour la première fois, avec le concours pour la version originale, de son comédien fétiche, Johnny Depp. Pour plus de réalisme, le cinéaste a renoncé à enregistrer les voix des acteurs séparément. Il les a fait jouer en costume dans un décor minimal pour que leur interprétation gagne en relief.
Cette nouvelle production des Studios Pixar a de quoi séduire tous les publics : les plus âgés seront sensibles aux références parodiques aux westerns de Sergio Leone, mais aussi à des films d'Hitchcock, Clint Eastwood ou Roman Polanski.
L'animation semble être un virus contagieux parmi les réalisateurs. Dans les prochains mois, sortent sur grand écran, 'Chico et Rita' de Fernando Trueba, 'Les Aventures de Tintin : le secret de la licorne' de Steven Spielberg ou encore 'Le magasin des suicides' de Patrice Leconte.
- A voir aussi sur Culturebox :
- Animaux-et-cie-le-marchand-de-sable-et-les-fables-de-la-Fontaine--à-l'affiche-des-vacances - Arrietty-le-nouveau-film-d'animation-des-studios-Ghibli
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Entre deux 'Pirates des Caraïbes', le réalisateur Gore Verbinski s'attaque au film d'animation pour la première fois, avec le concours pour la version originale, de son comédien fétiche, Johnny Depp. Pour plus de réalisme, le cinéaste a renoncé à enregistrer les voix des acteurs séparément. Il les a fait jouer en costume dans un décor minimal pour que leur interprétation gagne en relief.
Cette nouvelle production des Studios Pixar a de quoi séduire tous les publics : les plus âgés seront sensibles aux références parodiques aux westerns de Sergio Leone, mais aussi à des films d'Hitchcock, Clint Eastwood ou Roman Polanski.
L'animation semble être un virus contagieux parmi les réalisateurs. Dans les prochains mois, sortent sur grand écran, 'Chico et Rita' de Fernando Trueba, 'Les Aventures de Tintin : le secret de la licorne' de Steven Spielberg ou encore 'Le magasin des suicides' de Patrice Leconte.
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"Mineurs d'ici et d'ailleurs" au centre minier de Lewarde
"Mineurs d'ici et d'ailleurs" au centre minier de Lewarde: "
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Dans le cadre de sa programmation consacrée à la culture minière dans l'art contemporain, le centre historique minier de Lewarde a rassemblé 25 artistes qui représentent 17 pays à travers 200 photographies réalisées à travers le Monde. L'exposition 'Mineurs d'ici et d'ailleurs' propose le visage d'hommes, de femmes ou d'enfants à la fois très différents mais si semblables, tous sont mineurs, 'd'ici et d'ailleurs', du Nord Pas de Calais au Brésil, tous continuent l'extraction de richesses souterraines. Ces images ont été réalisées au cours des 50 dernières années, en couleurs ou en noir et blanc. L'exposition est visible jusqu'au 5 juin 2011 au centre historique minier de Lewarde.
A Voir aussi sur Culturebox :
- Gueules-noires-mineurs-du-monde-en-photos-au-centre-minier
- Les-luttes-contre-les-fermetures-dans-la-sidérurgie-trente-ans-plus-tard
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Dans le cadre de sa programmation consacrée à la culture minière dans l'art contemporain, le centre historique minier de Lewarde a rassemblé 25 artistes qui représentent 17 pays à travers 200 photographies réalisées à travers le Monde. L'exposition 'Mineurs d'ici et d'ailleurs' propose le visage d'hommes, de femmes ou d'enfants à la fois très différents mais si semblables, tous sont mineurs, 'd'ici et d'ailleurs', du Nord Pas de Calais au Brésil, tous continuent l'extraction de richesses souterraines. Ces images ont été réalisées au cours des 50 dernières années, en couleurs ou en noir et blanc. L'exposition est visible jusqu'au 5 juin 2011 au centre historique minier de Lewarde.
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Elsa Zylberstein et Vincent Perez dans Le Temps qui passe
Elsa Zylberstein et Vincent Perez dans Le Temps qui passe: "
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Vincent Pérez n'avait pas joué au théâtre depuis 1988. Le comédien, cette année-là, avait enchainé trois pièces, notamment 'Hamlet' de William Shakespeare, mis en scène par Patrice Chéreau.
Depuis, l'acteur Vincent Pérez s'était tourné vers le grand écran, enchainant les longs métrages : 'Cyrano de Bergerac', 'Fanfan la Tulipe', 'Le libertin', 'Ceux qui m'aiment prendront le train'.
'Le temps qui passe' va marquer le grand retour du comédien Vincent Pérez sur les planches.
La pièce a été écrite par son épouse Karine Silla-Pérez. L'histoire d'une femme à la recherche son père dont elle n'a aucun souvenir alors que, dotée d'une hypermnésie, elle se souvient de tout... Un soir d'orage, elle rencontre un homme 'spécialiste des abandons'. Grâce à lui, cette femme oubliera sa quête originelle. L'homme trouvera en elle un amour possible et la fin de ses solitudes.
Aux cotés de Vincent Pérez, Elsa Zylberstein, une habituée des planches puisqu'elle jouait depuis 2009 'Le démon de Hannah' à la Comédie des Champs-Elysées.
Vincent Pérez signe également la mise en scène de cette création originale.
'Le temps qui passe', de Karine Silla-Pérez, avec Elsa Zylberstein et Vincent Pérez, du 10 mars au 23 avril 2011 au théâtre des Mathurins à Paris.
A voir aussi sur Culturebox : - Les autres entretiens 'Les 5 dernières minutes'
- Dans tes bras, un film pudique sur l'adoption, d'Hubert Gillet
- Le problème... : pièce de François Bégaudeau avec Emmanuelle Devos
- Tous les soleils ou l'adolescence vue par Philippe Claudel "
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Vincent Pérez n'avait pas joué au théâtre depuis 1988. Le comédien, cette année-là, avait enchainé trois pièces, notamment 'Hamlet' de William Shakespeare, mis en scène par Patrice Chéreau.
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'Le temps qui passe' va marquer le grand retour du comédien Vincent Pérez sur les planches.
La pièce a été écrite par son épouse Karine Silla-Pérez. L'histoire d'une femme à la recherche son père dont elle n'a aucun souvenir alors que, dotée d'une hypermnésie, elle se souvient de tout... Un soir d'orage, elle rencontre un homme 'spécialiste des abandons'. Grâce à lui, cette femme oubliera sa quête originelle. L'homme trouvera en elle un amour possible et la fin de ses solitudes.
Aux cotés de Vincent Pérez, Elsa Zylberstein, une habituée des planches puisqu'elle jouait depuis 2009 'Le démon de Hannah' à la Comédie des Champs-Elysées.
Vincent Pérez signe également la mise en scène de cette création originale.
'Le temps qui passe', de Karine Silla-Pérez, avec Elsa Zylberstein et Vincent Pérez, du 10 mars au 23 avril 2011 au théâtre des Mathurins à Paris.
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Une vie de femme née garçon par Vanessa Van Durme
Une vie de femme née garçon par Vanessa Van Durme: "
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Créée en 2005, 'Regarde Maman je danse' a connu ces dernières années un succès phénoménal. Vanessa Van Durme a joué cette pièce plus de 250 fois cette année dans le monde entier et la présente régulièrement en France.
Comme elle l'avait fait dans son spectacle 'Gardenia', une création à trois avec le chorégraphe Alain Platel et le metteur en scène Franck van Laecke, l'actrice rend ici, hommage à ceux qui souffrent d'être simplement différents. Son histoire de femme née garçon est universelle. Le thème de la transsexualité s'efface derrière l'histoire d'un être en quête d'épanouissement.
Elle raconte qu'adolescent dans les années 60, il/elle se rêvait jeune fille et fut victime de méchancetés et d'abus. Sans fard, elle évoque son opération quelques années plus tard au Maroc. Ce changement de sexe est une délivrance mais aussi le début d'une vie entre cabarets de travestis et prostitution.
Aujourd'hui âgée de 63 ans, Vanessa Van Durme est courtisée sur les scènes françaises et participe à des grandes productions internationales comme 'Tous des indiens' (d'Alain Platel et Arne Sierens) où elle interprétait une mère de famille nombreuse.
A voir aussi sur Culturebox :
- Le-mardi-au-monoprix-avec-Jean-Claude-Dreyfus-de-passage-au-Havre
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Créée en 2005, 'Regarde Maman je danse' a connu ces dernières années un succès phénoménal. Vanessa Van Durme a joué cette pièce plus de 250 fois cette année dans le monde entier et la présente régulièrement en France.
Comme elle l'avait fait dans son spectacle 'Gardenia', une création à trois avec le chorégraphe Alain Platel et le metteur en scène Franck van Laecke, l'actrice rend ici, hommage à ceux qui souffrent d'être simplement différents. Son histoire de femme née garçon est universelle. Le thème de la transsexualité s'efface derrière l'histoire d'un être en quête d'épanouissement.
Elle raconte qu'adolescent dans les années 60, il/elle se rêvait jeune fille et fut victime de méchancetés et d'abus. Sans fard, elle évoque son opération quelques années plus tard au Maroc. Ce changement de sexe est une délivrance mais aussi le début d'une vie entre cabarets de travestis et prostitution.
Aujourd'hui âgée de 63 ans, Vanessa Van Durme est courtisée sur les scènes françaises et participe à des grandes productions internationales comme 'Tous des indiens' (d'Alain Platel et Arne Sierens) où elle interprétait une mère de famille nombreuse.
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les Crocodiles et les White Lies au Liberté
les Crocodiles et les White Lies au Liberté: "
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La soirée était attendue. Les Crocodiles de San Diego avaient fait un passage remarqué aux dernières Transmusicales et les White Lies certifiaient un grand show. Les Anglais de White Lies venaient présenter 'Ritual' leur second album, dans les bacs depuis janvier dernier. Quant aux Crocodiles, les héritiers de Depeche Mode, ils étaient de retour à Rennes pour nous initier aux sons de leurs deux albums : 'Summer of Hate'(2009) et 'Sleep forever'(2010), aux sonorités brassées entre le rock et le new wave.
A Voir aussi sur Culturebox :
- Dans-la-tête-de-Robert-Smith-un-livre-original-sur-The-Cure
- Toutes les vidéos sur les Transmusicales de Rennes"
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Le reggae engagé de Danakil
Le reggae engagé de Danakil: "
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Voilà dix ans que Danakil parfait son style de cafés-concerts en festivals. Les neuf musiciens originaires de la région parisienne distillent un reggae tonique aux accents de musique du monde d'abord sur scène, puis à partir de 2006, en publiant leur premier album. 'Microclimat' est un recueil de leurs morceaux fétiches. Après un deuxième CD en 2008 intitulé 'Dialogue de sourds' dans lequel le groupe dénonce les travers de notre société, il enregistre l'année suivante, un premier album live au Cabaret Sauvage à Paris. Une prestation remarquée qui lui vaut de se produire à l'Olympia, à guichets fermés. En février 2011, Danakil signe 'Echos du temps' pour lequel les musiciens sont allés chercher l'inspiration sur les terres sacrées du reggae : en Jamaïque. Sur le titre : 'Non, je ne regrette rien', inspiré évidemment d'Edith Piaf, on retrouve le célèbre DJ jamaïcain U-Roy et le dernier percussionniste de Bob Marley, Sticky Thompson. A noter cette initiative inédite de Danakil pour lutter contre le téléchargement illégal et inciter le public à se rendre aux concerts : en mars et avril 2011, chaque spectateur se voit offrir un exemplaire 'édition limitée' de son nouvel album.
A voir aussi sur Culturebox :
- Au-reggae-sun-ska...que-des-multi-recidivistes
- Douarnenez-devient-reggae-town
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Voilà dix ans que Danakil parfait son style de cafés-concerts en festivals. Les neuf musiciens originaires de la région parisienne distillent un reggae tonique aux accents de musique du monde d'abord sur scène, puis à partir de 2006, en publiant leur premier album. 'Microclimat' est un recueil de leurs morceaux fétiches. Après un deuxième CD en 2008 intitulé 'Dialogue de sourds' dans lequel le groupe dénonce les travers de notre société, il enregistre l'année suivante, un premier album live au Cabaret Sauvage à Paris. Une prestation remarquée qui lui vaut de se produire à l'Olympia, à guichets fermés. En février 2011, Danakil signe 'Echos du temps' pour lequel les musiciens sont allés chercher l'inspiration sur les terres sacrées du reggae : en Jamaïque. Sur le titre : 'Non, je ne regrette rien', inspiré évidemment d'Edith Piaf, on retrouve le célèbre DJ jamaïcain U-Roy et le dernier percussionniste de Bob Marley, Sticky Thompson. A noter cette initiative inédite de Danakil pour lutter contre le téléchargement illégal et inciter le public à se rendre aux concerts : en mars et avril 2011, chaque spectateur se voit offrir un exemplaire 'édition limitée' de son nouvel album.
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Une "compagne de nuit" pour Emmanuelle Béart
Une "compagne de nuit" pour Emmanuelle Béart: "
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Dans son premier long-métrage, Isabelle Brocard se concentre sur ces deux personnages que tout oppose. L'une symbolise la mort, l'autre la vie.
Entre les deux femmes interprétées par Emmanuelle Béart et Hafsia Herzi, révélée dans 'La Graine et le mulet' en 2007, se noue un lien tendre et conflictuel. La maladie est omniprésente, mais la réalisatrice affirme avoir voulu filmer la vie. Pour mieux appréhender le sujet, elle a rencontré des médecins et des malades lors de l'écriture du film. Emmanuelle Béart, elle, a passé quelques temps, avant le tournage, dans une unité de soins palliatifs. Une expérience déterminante pour l'actrice qui espère grâce à ce film, changer le regard sur le cancer.
A voir aussi sur Culturebox :
- Bertrand-Blier-s'attaque-au-cancer-dans-le-bruit-des-glaçons - Oscar-et-la-dame-rose-d'Eric-Emmanuel-Schmitt-après-le-roman-le-film - La-permission-de-minuit-avec-Vincent-Lindon "
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Les "Diablogues" sur la scène du Taps Scala
Les "Diablogues" sur la scène du Taps Scala: "
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Ces 'Diablogues' de Roland Dubillard commandés par Jean Tardieu il y a près de soixante ans pour des sketchs radiophoniques connaissent toujours un succès fou. Des dialogues absurdes écrits avec un tel talent qu'il est impossible de ne pas rire, mais 'rire sans bêtise' reste la seule intention. Roland Dubillard met en jeu deux personnes aux prises avec leurs obsessions de comprendre 'mais comprendre quoi?'. Lorsque le public rit c'est aussi de lui même, à travers la mise en scène de codes sociaux tournés en dérision.
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- Jean-Luc-Moreau-au-théâtre-avec-illusion-conjugale - Joyeux-annivers-de-l'humoriste-Thierry-Faucher-alias-Titus - Francis-Perrin-dans-le-nombril-de-Jean-Anouilh"
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Ces 'Diablogues' de Roland Dubillard commandés par Jean Tardieu il y a près de soixante ans pour des sketchs radiophoniques connaissent toujours un succès fou. Des dialogues absurdes écrits avec un tel talent qu'il est impossible de ne pas rire, mais 'rire sans bêtise' reste la seule intention. Roland Dubillard met en jeu deux personnes aux prises avec leurs obsessions de comprendre 'mais comprendre quoi?'. Lorsque le public rit c'est aussi de lui même, à travers la mise en scène de codes sociaux tournés en dérision.
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La douleur des prostituées sur scène dans "LB25(putes)"
La douleur des prostituées sur scène dans "LB25(putes)": "
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Dans 'LB25 (putes)', la comédienne Valérie Brancq veut montrer sans pudeur, le quotidien sombre et glauque de celles qui exercent le plus vieux métier du monde. En adoptant des postures évocatrices ou en se dénudant, elle bouscule le public et dénonce la prostitution en tant qu'atteinte à l'humanité.
Le texte de ce spectacle mis en scène par Olivier Tchang-Tchong est issu de paroles de prostituées devenues écrivaines : Nelly Arcan, auteur de 'Putain' (Seuil) et Grisélidis Réal, de 'La Passe imaginaire' (Gallimard).
'LB25 (putes)', du nom de code d'une prostituée sauvagement assassinée en décembre 1999, a été créée en 2007 à Clichy. Ce spectacle dérangeant avait fait sensation au festival OFF d'Avignon en juillet 2010.
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- Kaina-Marseille--l'exil-et-ses-désillusions-au-théâtre
- Les-monologues-du-vagin-une-pièce-sans-frontières"
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Le texte de ce spectacle mis en scène par Olivier Tchang-Tchong est issu de paroles de prostituées devenues écrivaines : Nelly Arcan, auteur de 'Putain' (Seuil) et Grisélidis Réal, de 'La Passe imaginaire' (Gallimard).
'LB25 (putes)', du nom de code d'une prostituée sauvagement assassinée en décembre 1999, a été créée en 2007 à Clichy. Ce spectacle dérangeant avait fait sensation au festival OFF d'Avignon en juillet 2010.
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Le Centre national du costume de scène expose ses Insolites
Le Centre national du costume de scène expose ses Insolites: "
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Latex, métal, coquillages ou carton, tout ou presque peut être utile pour confectionner un costume de scène. C'est ce que prouvent ces habits de théâtre et d'opéra du début du siècle à nos jours. Ici, point de dentelles ou de broderies, des matériaux inédits créent des effets visuels saisissants.
Exemple : une veste destinée aux comédiens des festivités mises en scène par Philippe Decouflé lors des Jeux Olympiques d'Albertville en 1992. Des tiges en plastique ont été accrochées à la veste. A leur bout : de petites étiquettes. De quoi donner l'illusion que le personnage qui la porte se trouve sous la neige.
D'autres pièces étonnent comme les masques de Jean Cocteau et la robe d'Isabelle dans 'L'illusion comique' (1965), recouverte de broderies en fil de fer.
Pour l'occasion, la Comédie-Française, l'Opéra de Paris ou encore la Bibliothèque nationale ont prêté au Centre une partie de leur collection.
Le musée ouvert il y a cinq ans avait déjà créé l'évènement l'an dernier avec son exposition 'Vestiaires de divas' qui avait accueilli près de 50.000 visiteurs.
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- Vestiaires-de-divas-des-robes-et-du-rêve-au-Centre-national-du-costume-de-scène - Dans-les-coulisses-des-opéras-l'italienne-à-alger-et-Ariane-à-Naxos
- Dans-les-coulisses-de-l'opéra-de-quat-sous--les-costumes"
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Latex, métal, coquillages ou carton, tout ou presque peut être utile pour confectionner un costume de scène. C'est ce que prouvent ces habits de théâtre et d'opéra du début du siècle à nos jours. Ici, point de dentelles ou de broderies, des matériaux inédits créent des effets visuels saisissants.
Exemple : une veste destinée aux comédiens des festivités mises en scène par Philippe Decouflé lors des Jeux Olympiques d'Albertville en 1992. Des tiges en plastique ont été accrochées à la veste. A leur bout : de petites étiquettes. De quoi donner l'illusion que le personnage qui la porte se trouve sous la neige.
D'autres pièces étonnent comme les masques de Jean Cocteau et la robe d'Isabelle dans 'L'illusion comique' (1965), recouverte de broderies en fil de fer.
Pour l'occasion, la Comédie-Française, l'Opéra de Paris ou encore la Bibliothèque nationale ont prêté au Centre une partie de leur collection.
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"Gidayu", l'art théâtral japonais sur scène
"Gidayu", l'art théâtral japonais sur scène: "
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Koshiko Takemoto et Sansuzu Tsuruzama à l'occasion de leurs venues en France feront découvrir un 'Gidayu', qui est une forme théâtrale et musicale japonaise qui remonte au Kabuki et au Bunraku (arts traditionnels théâtraux du Japon nés respectivement en 1603 et au XVII ème siècle). Les pièces de 'gidayû' se déclinent sous la forme de récits entrecoupés de dialogues et de passages lyriques. Le texte est chanté et déclamé par la conteuse agenouillée sur un 'zabuton' devant le pupitre, au rythme des notes de shamisen (instrument de musique japonais à cordes pincées).
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- Yamato tambours-du-Japon-au-Casino-de-Paris - Keisho-Ohno-le-roi-du-shamisen-en-tournée-en-France
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Koshiko Takemoto et Sansuzu Tsuruzama à l'occasion de leurs venues en France feront découvrir un 'Gidayu', qui est une forme théâtrale et musicale japonaise qui remonte au Kabuki et au Bunraku (arts traditionnels théâtraux du Japon nés respectivement en 1603 et au XVII ème siècle). Les pièces de 'gidayû' se déclinent sous la forme de récits entrecoupés de dialogues et de passages lyriques. Le texte est chanté et déclamé par la conteuse agenouillée sur un 'zabuton' devant le pupitre, au rythme des notes de shamisen (instrument de musique japonais à cordes pincées).
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L'hommage de Roberto Alagna à Luis Mariano
L'hommage de Roberto Alagna à Luis Mariano: "
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Luis Mariano est né en 1914 à Irun, dans le pays basque espagnol. Son père est mécanicien. Il grandit en chantant dans un choeur mixte de Saint-Sébastien, puis dans un groupe vocal dans lequel il est deuxième ténor. Après la guerre d'Espagne il se réfugie en France avec sa famille. Il étudie les beaux arts, puis chante au conservatoire. Il monte à Paris et se met au 'bel canto'. C'est 'La belle de Cadix' qui le lance en France, dans une opérette de l'autre père du genre, Francis Lopez. Dès lors, sa notoriété devient immense, et se confirme avec le Chanteur de Mexico. Plus tard, les années 'yéyé' auront raison de son art.
- > A voir aussi sur Culturebox :
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- Avignon-sous-le-soleil-de-Mexico...
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Luis Mariano est né en 1914 à Irun, dans le pays basque espagnol. Son père est mécanicien. Il grandit en chantant dans un choeur mixte de Saint-Sébastien, puis dans un groupe vocal dans lequel il est deuxième ténor. Après la guerre d'Espagne il se réfugie en France avec sa famille. Il étudie les beaux arts, puis chante au conservatoire. Il monte à Paris et se met au 'bel canto'. C'est 'La belle de Cadix' qui le lance en France, dans une opérette de l'autre père du genre, Francis Lopez. Dès lors, sa notoriété devient immense, et se confirme avec le Chanteur de Mexico. Plus tard, les années 'yéyé' auront raison de son art.
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Festival du film d'Aubagne
Festival du film d'Aubagne: "
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Pour cette 12ème édition, le festival international du film d'Aubagne met à l'honneur le mariage entre l'image et le son. Le film d'ouverture sera donc une alliance entre l'image et le son, ' Sound of noise', l'histoire d'un groupe de musiciens qui décide d' accomplir une oeuvre musicale apocalyptique en utilisant la ville comme instrument de musique. Durant 6 jours c'est plus de 60 courts et 10 longs métrages qui seront en compétition devant un jury d'experts. Gérard Corbiau, l'illustre réalisateur belge notamment de 'Le roi danse' et 'Le maitre de musique', sera l'invité d'honneur du festival.
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