lundi 4 avril 2011
Les 30 ans de la FM
Mercredi dernier, les indépendants de l’audiovisuel radio et télévision fêtaient le 30eme anniversaire de la libération des ondes sur la bande FM en France, en même temps que les 30 de leur syndicat : le SIRTI. A 30 ans, la bande FM a atteint l’âge de la maturité. Depuis sa naissance tumultueuse en 1981, nous l’avons vu grandir avec la multiplication du nombre de radios et s’épanouir avec la diversification de l’offre.
Présente, avec plusieurs autres personnalités de la politique et du monde des médias, dont le député européen et ancien journaliste, nous avons réaffirmé l’importance du média que constitue la radio (8 personnes sur 10 sont en contact quotidien avec elle). Ce média majeur est tout à la fois un outil culturel et de divertissement mais aussi un espace de débat pertinent.
D’autre part, j’ai souligné que cet anniversaire devait marquer une étape vers de nouveaux enjeux que seront la radio numérique terrestre et la radio sur IP, sujets que Catherine Morin-Desailly avait souhaité évoquer avec l’ensemble du secteur lors d’une table ronde qui s’est tenu au Sénat le 28 avril 2010. Car, il faut bien le dire, le législateur a été peu présent depuis la libéralisation du secteur et la création du CSA : il a suivi la maturation de la radio de manière assez lointaine n’intervenant que dans des cas ponctuels, avec l’objectif d’assurer un développement harmonieux.
Je voudrais à cet égard souligner ce que doivent les territoires aux radios qui les irriguent d’information et de débats locaux, et qui les animent grâce à leur activité et leur réactivité. En tant qu’élue locale j’y suis profondément attachée, en tant que parlementaire, j’apprécie leurs spécificités.
C’est tout l’enjeu de la FM pour ses 10 prochaines années. Comme les autres médias, la radio doit faire sa révolution numérique à travers deux modalités principales : la radio numérique terrestre et la radio sur IP.
Comme l’indique le récent rapport de David Kessler les obstacles sont importants mais pas infranchissables. En étudiant l’histoire de la FM je me suis aperçu que les récepteurs FM étaient encore très peu nombreux dans les années 60, présents dans un tiers des foyers dans les années 70, avec une augmentation continue par la suite.
Ce n’est donc pas parce que la RNT ne se fera pas en un jour qu’il ne faut pas la faire. Tous les acteurs doivent se sentir concernés. Sans doute faudra t il du temps mais je pense qu'il faut en fixer le cap. Je sais que les radios indépendantes est à la pointe de ce combat.
Et dans une dizaine d’années on pourra peut-être dire : la radio analogique est morte, vive la radio numérique.
Programme "Printemps de Rouen" 2011
Du 16 avril au 4 juin 2001, c'est le Printemps !... de Rouen. Deux mois de spectacles et de manifestations culturelles en tout genre.
Cette année, la Maison du Printemps vous accueille pour toute question l'Espace du Palais du 8 avril au 4 juin : mercredi de 12h à 18h, jeudi de 12h à 18h, vendredi de 12h à 18h et le samedi de 10h à 19h.
Téléchargez "Programme "Printemps de Rouen" 2011" (document PDF, 2,5 Mio)
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L'affiche du Festival de Cannes 2011 : Faye Dunaway par Jerry Schatzberg
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Césaire, Lam et Picasso : trois amis, invités du Grand Palais
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Intitulé 'Aimé Césaire, Lam, Picasso : nous nous sommes trouvés', cet événement culturel programmé jusqu'au 6 juin 2011 réunit les toiles, gravures et eaux-fortes de Lam et Picasso que l'oeuvre littéraire de Césaire, décédé en 2008, leur a inspirées dès les années 40. Césaire, Lam et Picasso ont entretenu une amitié personnelle et artistique indéfectible. Le poète martiniquais a ainsi composé un poème pour chacune des eaux-fortes réalisées par Wifredo Lam dans le cadre de son projet 'Annonciation'. Picasso illustra notamment de 32 gravures le recueil 'Corps perdu' d'Aimé Césaire, chantre de la 'négritude' et militant anticolonialiste. Le musée national d'art moderne du Centre Pompidou et le musée Cantini de Marseille notamment ont prêté des gravures et peintures grand format, témoins de ces collaborations artistiques. Un inédit de Césaire, contemporain de 'La Jungle' et de la rencontre des trois artistes, est également présenté. L'exposition sera ensuite programmée en Martinique et en Guadeloupe.
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The Rabeats et The Australian Pink Floyd Show en tournée en France
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Actuellement en tournée, le groupe français The Rabeats originaire d'Amiens, affiche complet partout où il se produit. Entièrement dédié au répertoire des Beatles, il est ce qu'on appelle en anglais, un 'cover band' ou plus précisément un 'tribute band', un groupe hommage. L'appellation 'A tribute to the Beatles' figure d'ailleurs sur leurs affiches et l'illusion est bien réelle. Même phénomène pour The Australian Pink Floyd Show. Après son triomphe en 2010, le 'tribute band' le plus réussi des mythiques Pink Floyd fait salle comble avec son nouveau spectacle époustouflant à couper le souffle : nostalgie quand tu nous tiens !
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Dans le sillage de "XXI", la nouvelle revue "6 mois" dédiée au photoreportage
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'6 mois' la volumineuse et très belle revue dédiée au photoreportage propose pas moins de 800 photos soigneusement reproduites et éditées avec l'ambition, textes ou interviews à l'appui, d'accorder une place conséquente aux sujets, sur 20 ou 30 pages, afin de permettre aux récits de se développer. Autre objectif, selon le rédacteur en chef Patrick de Saint-Exupéry, 'casser le regard occidental, s'ouvrir à tous les regards', avec des photographes 'africains ou indiens'. Laurent Beccaria, directeur de la publication, et Patrick de Saint-Exupéry, rédacteur en chef, espèrent également que '6 mois' pourra rapidement compter des éditions étrangères et ainsi paraître avec 'le même contenu et en même temps' dans plusieurs pays. La revue, dépourvue de publicité comme son aînée, paraîtra deux fois par an, prenant, également comme XXI, le contre-pied de l'information instantanée, brève, vite rédigée et vite lue, devenue de plus en plus la règle avec l'explosion des moyens de communication et du web.
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L'Affaire Makropoulos à l'Opéra national du Rhin
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L'Affaire Makropoulos est le huitième et avant-dernier opéra de Leos Janacek. Un opéra aux résonances fantastiques, une des plus belles oeuvres de l'artiste sur le thème de l'éternelle jeunesse. C'est l'histoire d'une femme, une très belle femme : Emilia Marty interprétée par Cheryl Barker. Elle possède le secret de la jeunesse éternelle. Née en 1575, elle serait morte depuis des siècles si son père n'avait découvert un élixir de jouvence, qu'il a essayé sur sa propre fille. Mais cet élixir ne promet que trois cents ans de jeunesse, et le terme est désormais proche. A qui Emilia transmettra-t-elle le secret du philtre ? Cette production de l'Opéra national du Rhin est une nouvelle occasion pour le public de se familiariser avec l'écriture musicale très particulière du compositeur tchèque. Représentations à l'Opéra national du Rhin à Strasbourg jusqu'au 12 avril 2011 puis à la Filature à Mulhouse jusqu'au 21 avril 2011.
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Dick Annegarn en live avec "Carreless Love"
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Chronologiquement, Folk Talk est la suite de Soleil du soir, le précédent album de Dick Annegarn, qu'il avait enregistré à New York avec le guitariste franco-californien Freddy Koella. Voyage initiatique. De New York, les pieds sur terre et les mélodies côtoyant les gratte-ciels, Dick Annegarn s'était ramené un beau souvenir, un vibrant petit bout de mythologie américaine : une guitare Gibson de 1931, le genre d'instrument qu'empoignaient les bluesmen incunables du delta du Mississippi, poursuivis par les chiens de l'enfer. C'était au printemps 2008. Quelque temps plus tard, le 10 janvier 2009 pour être précis, Barack Obama devenait président des Etats-Unis d'Amérique. Lors de la cérémonie d'investiture à Washington, deux hommes chantaient en l'honneur du nouveau président : Bruce Springsteen et Pete Seeger, qui reprenaient notamment le This Land Is Your Land de Woody Guthrie. Cet instant symbolique et historique, voire révolutionnaire (une chanson gauchiste en l'honneur d'un président noir, mais dans quel monde vivions-nous en janvier 2009 ?), Dick Annegarn l'a pris de plein fouet, en plein coeur. C'est le point de départ de Folk Talk, un album de reprises de classiques du folk-blues américain. Les chansons d'hier pour le monde d'aujourd'hui, et des rêves à transmettre, des histoires à raconter.
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"La Conquête" de Xavier Durringer, l'itinéraire d'un candidat sur grand écran
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On ne peut pas dire que le réalisateur Xavier Durringer soit un habitué des films liés à l'univers de la politique. Quoique...A bien regarder sa filmographie, on s'aperçoit qu'il a réalisé un film sur le monde des gangsters ('J'irais au paradis car l'enfer est ici' en 1997), et celui de la boxe thaï ('Chok Dee', en 2005, dans lequel Bernard Giraudeau fera d'ailleurs sa dernière apparition au cinéma). Bref, des univers où les combats sont aussi rudes et sans pitié que dans celui des politiciens. Quant au scénariste de 'La Conquête', Patrick Rotman, il a réalisé plusieurs films, dont l'excellent 'L'Ennemi Intime' sur la guerre d'Algérie, mais aussi des documentaires-fleuves sur Lionel Jospin et Jacques Chirac. De son côté, le comédien Denis Podalydès a l'habitude d'endosser le costume des hommes de pouvoir. Il a déjà incarné pour le grand écran Jacques Attali (dans 'Coluche' d'Antoine de Caunes) mais aussi André Malraux pour un téléfilm intitulé 'Un crime très populaire'. Il s'est également glissé dans le peau du 'Richard II' de Shakespeare pour le théâtre.
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Titeuf invité du JT de France 2 pour son arrivée sur le grand écran
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700 personnes, des dessinateurs aux coloristes, en passant par les attachés de production, les décorateurs, les musiciens, les comédiens, mais aussi 780 feuilles de papier, 6800 crayons (et oui, on les compte !), 200 000 dessins et 1067 décors. Voilà en quelques chiffres ce qui a été nécessaire pour faire naître ce Titeuf en 3D. 'Tout cela pendant plus de deux ans !' raconte Zep, qui ajoute : ' Si j'avais su, je l'aurais quand même fait. Parce que waoow ! Quelle belle aventure !'. Ceci dit, ce n'est pas la première fois que le petit garçon à la houppette blonde prend vie sur un écran. Une série télé existe depuis 2002. Mais le papa de Titeuf n'avait pas participé à la création de la série, qui selon lui a réduit son héros à 'un garnement rigolo qui fait des crasses'. Une frustration pour lui. On peut dire qu'il s'est rattrapé puisque cette fois, il a écrit le scénario et réalisé le story-board. Seul rappel de la série TV : c'est bien Donald Reignoux, qui reprend la voix du petit personnage. C'est lui qui l'a crée quand il avait 16 ans, pour le petit écran. Cette fois, il a pu traduire davantage d'émotions différentes et rendre le personnage moins 'hystérique'. Et pour cause : Zep n'a pas voulu faire un 'cartoon' avec des gags qui s'enchaînent. Il a plutôt opté pour la comédie psychologique avec chagrin d'amour mais aussi une maman qui part. D'après les spécialistes, le résultat est excellent. Décidément, rien ne résiste au duo Zep-Titeuf. C'est pô juste !
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Manet, entre tradition et modernité, une rétrospective au musée d'Orsay
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Pour commencer, on est surpris d'apprendre qu'organiser une exposition autour de Manet ait été difficile. Car même si le musée d'Orsay possède plusieurs de ses chefs d'oeuvre, de nombreux tableaux ont été dispersés à l'étranger et certains ne voyagent quasiment plus. L'état français n'avait acheté aucune oeuvre à Manet de son vivant. Certes, le peintre est mort jeune, à l'âge de 51 ans, et n'a laissé 'que' 500 tableaux quand Monet en a peint 3000. Mais ce manque d'intérêt est peut-être une preuve du rejet suscité pendant plusieurs années par cet artiste . Son parcours n'est pourtant pas celui d'un 'rebelle' : fils d'un haut-fonctionnaire, il échoue au concours d'entrée de l'école navale. Passionné d'art et de dessin, il se forme chez l'un des peintres officiels de la seconde République, Thomas Couture. On est très loin de la subversion. Manet admire les peintres espagnols, Vélasquez, Goya mais aussi Delacroix. D'ailleurs, que ce soit dans son fameux 'Déjeuner sur l'herbe' ou son 'Olympia', Manet fait référence à Titien et Raphaël avec la volonté 'd'inscrire le monde moderne dans la grande tradition'. Manet suscita longtemps la polémique et pourtant, il avait soif de reconnaissance et fera tout pour être accepté au Salon officiel. Quant aux critiques, elles étaient loin de le laisser indifférent. Le succès n'arrive qu'en 1873, soit dix ans après 'Le déjeuner sur l'herbe'. Un an plus tard, les impressionnistes lui proposent d'exposer avec eux, mais Manet décline la proposition. Leur contact va tout de même influencer sa peinture, qui devient plus claire, plus vibrante, le peintre se consacrant à des toiles de plein air. Mais la maladie va mettre un terme trop rapide à sa carrière. Suite à une syphilis, il est atteint d'une ataxie locomotrice qui dégénéra en gangrène. Amputé de sa jambe gauche, il mourra en 1883. Deux ans auparavant, il exposait au fameux Salon une de ses toiles les plus célèbres 'Le Bar des Folies-Bergères' qui lui valut un Prix. Il reçut dans la foulée la Légion d'honneur. La reconnaissance enfin...
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Festival du film policier de Beaune : entre palmarès et hommage à Claude Chabrol
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C'est un film coréen qui a remporté le Grand Prix 2011. Il s'agit de 'The Man From Nowhere' de Lee Jeong-Beom, qui raconte l'histoire d'un ancien agent spécial qui reprend du service pour sauver une fillette. Le Prix du Jury a dû susciter quelques débats puisque que deux films arrivent ex-aequo : 'Il était une fois un meurtre' du réalisateur allemand Baran Bo Odar et 'Tête de boeuf' du belge Michael R. Roskam. Ce film qui raconte comment un jeune agriculteur va se retrouver mêlé à un trafic d'hormones a également décroché le Prix de la Critique, qu'il partage avec 'Animal Kingdom' de l'australien David Michôd. Déjà récompensée d'un Grand Prix au Festival de Sundance 2010 à Londres, cette fiction suit l'immersion d'un adolescent dans une famille de criminels de Melbourne. Quand au Jury spécial Police, il a récompensé le film de John Madden, un américain, avec 'L'Affaire Rachel Singer'. Et les français dans tout ça me direz-vous ? Ils ont quand même décroché un prix avec le très décalé 'L.A., I Hate You' de Yvan Gauthier, dans lequel les destins de trois hommes se croisent à Los Angeles sur fond de sexe, de violence et de rédemption. Il a obtenu le Prix Sang Neuf présidé par Frédéric Schoendoerffer.
Toute l'actualité du Festival de Beaune sur le site de France 3 Bourgogne
A voir sur Culturebox , toutes les vidéos sur l'édition 2011 du festival du Film Policier de Beaune.
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Festival du Film Policier : La leçon de cinéma de Frédéric Schoendoerffer
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Comme tous les 'enfants de', Frédéric Schoendoerffer a dû se faire un nom au cinéma malgré la présence d'un père qui a laissé des oeuvres phares comme 'Le crabe-tambour' et '317e section'. Dès ses débuts, le fils a choisi de créer sa propre identité en optant pour le cinéma de genre. Son truc, c'est l'univers des gangsters. Sa patte, c'est le réalisme et l'épure. Frédéric Schoendoerffer a trois films a son actif : 'Scènes de crime' (2000) qui évoque la traque d'un sérial killer, 'Agents secrets' (2004) autour du monde de l'espionnage mais très loin de James Bond et enfin 'Truands' (2007) avec Benoît Magimel et Philippe Caubère. A chaque fois, la violence y est extrême et présentée dans toute sa crudité. Le cinéaste reconnaît son attirance pour cet univers de hors-la-loi. 'Quand j'avais 14 ans' raconte t-il, ' j'allais beaucoup au cinéma sur les Champs-Elysées, j'y dévorais les films américains des années 70 : Marathon Man, L'épouvantail, French Connection...Des films de voyous, des films policiers qui me fascinaient. Raconter des histoires en mettant en scène des gangsters, des truands et des agents secrets est une façon de répondre à mes rêves d'enfants. Et c'est peut-être ces films qui m'ont donné envie de faire les miens'. Pour son prochain long-métrage, Frédéric Schoendoerffer n'a pas changé d'univers. Il a réalisé 'Switch', un thriller adapté d'un scénario original de Jean-Christophe Grangé. Il mettra en scène Eric Cantona, Aurélie Recoing et Karine Vanasse. Cette dernière joue le rôle d'une Montréalaise qui se retrouve avec un cadavre sur les bras après avoir échangé son appartement. Sortie en salles le 13 juillet 2011.
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"Bliss concept", entre galerie et lieu de formation
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Arts visuels, graphiques, musicaux et théâtraux, 'Bliss Concept' a l'ambition de devenir un lieu d'émulation culturelle pour les artistes insulaires et extérieurs. Parmi eux, on peut citer l'artiste plasticien Jérôme Progin, le toulonnais Mathurin Louis qui présentera les créations réalisées avec le peintre surréaliste corse Michel Ange Poggi. Ce dernier va d'ailleurs aussi faire partie des professeurs qui assureront la partie formation de 'Bliss Concept' dès le mois de septembre 2011.
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Zep et Titeuf, de la Bd au grand écran
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700 personnes, des dessinateurs aux coloristes, en passant par les attachés de production, les décorateurs, les musiciens, les comédiens, mais aussi 780 feuilles de papier, 6800 crayons (et oui, on les compte !), 200 000 dessins et 1067 décors. Voilà en quelques chiffres ce qui a été nécessaire pour faire naître ce Titeuf en 3D. 'Tout cela pendant plus de deux ans !' raconte Zep, qui ajoute : ' Si j'avais su, je l'aurais quand même fait. Parce que waoow ! Quelle belle aventure !'. Ceci dit, ce n'est pas la première fois que le petit garçon à la houppette blonde prend vie sur un écran. Une série télé existe depuis 2002. Mais le papa de Titeuf n'avait pas participé à la création de la série, qui selon lui a réduit son héros à 'un garnement rigolo qui fait des crasses'. Une frustration pour lui. On peut dire qu'il s'est rattrapé puisque cette fois, il a écrit le scénario et réalisé le story-board. Seul rappel de la série TV : c'est bien Donald Reignoux, qui reprend la voix du petit personnage. C'est lui qui l'a crée quand il avait 16 ans, pour le petit écran. Cette fois, il a pu traduire davantage d'émotions différentes et rendre le personnage moins 'hystérique'. Et pour cause : Zep n'a pas voulu faire un 'cartoon' avec des gags qui s'enchaînent. Il a plutôt opté pour la comédie psychologique avec chagrin d'amour mais aussi une maman qui part. D'après les spécialistes, le résultat est excellent. Décidément, rien ne résiste au duo Zep-Titeuf. C'est pô juste !
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Le Festival d'Amiens Musiques de jazz et d'ailleurs
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Le festival d'Amiens Musiques de jazz et d'ailleurs est né en Mars 1982, et la première édition était alors appelé ' Le temps du jazz '. Bojan Z était de la partie, né dans une famille de mélomanes à Belgrade, Bojan Zulfikarpasic de son vrai nom débute ses études de piano à 5 ans. Après des études au conservatoire de Belgrade il est l'un des acteurs majeurs de la scène jazz yougoslave et c'est en 1989 qu'il reçoit le prix du meilleur musicien de jazz de Yougoslavie. En 1991 il intègre l'illustre ' Azur Quartet ' d'Henri Texier. Bojan Z et ses influences folklore balkanique laisse une perpétuelle empreinte dans les groupes dans lesquels il a joué.
Quant à Albin de la Simone, auteur compositeur interprète originaire d'Amiens, c'est après des études d'arts plastiques à Tournai qu'il débute sa carrière en tant que pianiste ' jazzy ' proposant un style très typé. Il collabore avec de nombreux artistes en tant que clavier ou arrangeur, et parallèlement en 2000 il commence à écrire ses propres chansons suivi de la sortie de 3 albums en 2003, 2005, 2008, et fait même la première partie de la tournée 'En tête a tête' de M.
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- Eric Legnini et The Afro Jazz Beat en live avec 'Near the House on the Hill' - Sax Hero par Paul Mancini et son quartet - Festival Sancy Snow Jazz
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Ken, star du musée de la poupée à Paris
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Ken, c'est ce garçon au sourire niais, au regard sans expression, aux mille et un métiers improbables et aux pecs impeccables. Remarquez, il n'a que ça à faire Ken, de la muscu et écouter les jérémiades de 'sa blonde'. C'est un beau gosse Ken, mais franchement, il les a pas vraiment aidés, les hommes! Pendant des années, il a été la bonne à tout faire de Barbie, celui qu'elle trainait, sans rôle défini, si ce n'est de porter ses sacs, de conduire la décapotable, ou le camping car rose ! Longtemps considéré comme un accessoire, au même titre que le sac ou l'escarpin de Barbie, la situation change. La révolution est en route. La preuve, dans 'Toys Story 3' Ken a un rôle, pas le premier, non, mais quand même. Et puis il a enfin son exposition au musée de la poupée. Alors ça y est, sa réhabilitation est en marche.
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"Clergue in America", l'oeil de Lucien au Palais de l'Évêché
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1961. Lucien Clergue a 27 ans. Il vient présenter une rétrospective de son travail au Muséum d'art Moderne (MoMA) de New York. Pour le jeune homme, c'est un choc esthétique : 'J'arrivais d'Arles, une ville romaine tout en rondeurs. Voilà que je tombais dans le carré de l'architecture. Ca a changé ma vision des choses' raconte celui qui est aujourd'hui âgé de 76 ans. Son histoire d'amour avec les Etats-Unis l'a conduit à y séjourner jusqu'à quatre fois par an. La ville de New York en particulier le booste, l'inspire et il dit souvent qu'ici, son travail est plus respecté qu'en France. Il faut dire qu'au pays de l'Oncle Sam, la photo a été reconnue très tôt comme un art à part entière. Pour preuve : en 1961, le jeune homme doit traverser les salles de photographies au MoMA pour aller voir 'Guernica' de Picasso, son ami. A l'époque, en France, la photo ne bénéficie pas d'une telle reconnaissance. Alors, quand il rentre au pays, Clergue persuade le conservateur des musée d'Arles d'investir dans l'art photographique. Aujourd'hui, le fonds arlésien est devenu une référence avec 4500 oeuvres répertoriées. Grâce à son travail outre-atlantique, Lucien Clergue a pu faire venir ses homologues américains aux Rencontres Photographiques : Ansel Adams, André Kertesz, Robert Mapplethrope ou encore Joyce Tenneson. En décembre 2010, il était encore aux U.S.A. pour photographier un modèle, une femme (sa grande passion). 'Mais les nus à mon âge, ça fait un peu vieux grigou. Je vais me tourner vers le portrait'. On a hâte de voir le résultat.
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- Exposition-de-la-photographe-americaine-Lee-Miller-au-Centre-national-de-l'audiovisuel-Luxembourg
"Pina" un film en 3D de Wim Wenders rend hommage la chorégraphe Pina Bausch
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Chaleureusement accueilli au 61e festival de Berlin, ce film a été fait 'pour Pina', après la disparition brutale de la papesse allemande de la danse contemporaine à l'été 2009, a expliqué le réalisateur des 'Ailes du désir' et de 'Buena Vista Social Club'. Ce qui devait être un documentaire accompagnant Pina Bausch et sa compagnie du 'Tanztheater Wuppertal' en répétition et en tournée s'est transformé en 'un travail de deuil', selon les mots de Wim Wenders. La seule chose qui n'a pas changé par rapport au projet initial, c'est l'usage de la 3D, 'faite pour la danse', a martelé le réalisateur allemand qui dit avoir eu un coup de foudre pour cette technologie en voyant un concert en relief du groupe de rock U2. La 3D souligne l'étrange beauté de solos ou duos interprétés par les danseurs en plein air, dans une usine désaffectée ou dans un square de la cité industrielle de l'Ouest où Pina Bausch avait élu domicile, et qui sont autant d'hommages funèbres dansés. Le pari de détourner la 3D des films d'action hollywoodiens pour lui faire emprunter les chemins du cinéma d'auteur semble donc réussi pour Wim Wenders, qui avait clamé dans la presse que la quasi-majorité des films tournés en relief étaient 'merdiques'.
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- une autre vidéo sur le film 'Pina'
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- La compagnie Ormone dans à Nancy 'Un oeil sur la chose'
Je remercie Monsieur Guy Pessiot
Pour la programmation assez variée des animations dans les bibliothèques.
Pour la ventilation des prêts vers la bibliothèque de son choix grâce au site rnbi (lien dans henrirousseaurouen.
Pour l'envoi des emails,le seul adjoint qui m'envoie des renseignements culturels ou des renseignements intéressant les Rouennais et les Rouennaises.
Monsieur guy Pessiot vous m'avez remercié d'avoir parlé sur twitter/henrirouen et henrirousseau de votre livre coécrit.Mais c'est normal en Démocratie que dès une information vérifiée arrive sur votre google reader :
JE DONNE L'INFORMATION A MES VISITEURS,car ce n'est pas moi qui détermine ce qui est bien ou ce qui est mal,le visiteur seul est libre!
C'est pourquoi en citoyen tétu :je trouve anormal de la façon la mairie se comporte:
Pas de réponse de 22 lettres sur 23.
Pas de réponse aux emails ou renvois pure et simple (même des voeux de google et de blogger!)
Pas de rencontre autour de travail effectif pour aider des associations et des causes humanitaires.
Samedi 2 avril,cyberbase de la grand mare vandalisée,conséquence 3 euros de plus pour travailler et rencontrer des gens,car je suis depuis le 16 janvier pour de l'internet public et du concret!
J'ai appris qu'il y a deux ordinateurs à mon local,mais avec deux codes pour que je ne puisse plus me servir dans mes temps libres !(le 18 avril je donnerai à mon public ce que cela me coûte internet public et ce que des socialistes aimant le social font tout pour me détruire (vandalisme,intimidation verbale,non réponse au courrier et aux emails,me font abandonner successivement des conseils de quartier des sapins et de Pasteur,et veulent me pousser à l'extrême.Mais le plus abominable,je pratique internet suite à UNE PROMESSE FAITE A UN ENFANT MALADE donc madame Valérie Fourneyron se dit sociale :ELLE FERAIT TOUT POUR DECEVOIR UN ENFANT MALADE qu'elle ne ferait pas mieux!
Si vous avez suivi depuis le 16 janvier 2009,j'ai admis la première année un succès à 85%,2010 à 68%.Ce que veut la Mairie c'est que je sois hypocrite,cireur de pompes et surtout soumis!Nous sommes encore en liberté,en égalité et vite la vraie fraternité!
Je suis pour une fraternité sans clientélisme,sans désignation de race ni de religion.Je suis dans un pays laïc (chacun a le droit de pratiquer mais sans imposer et ni provoquer).Je cite Voltaire:"Ni Dieu ni Maître!"
La Flûte / Avec Claire Méchin, Johann Abiola, Lucas Chemel.
 | Du 04/04/2011 au 08/04/2011 Tarif : NC | Billeterie : NC Théâtre des deux rives - ROUEN (76000) |
- A 20h30 du 04 au 05/04/2011
- du 07 au 08/04/2011"
Staff Benda Bilili
| Le 09/04/2011 Tarif : NC | Billeterie : NC Théâtre Duchamp-Villon - Le Hangar 23 - ROUEN (76000) |
Carte Blanche A Christine
| Le 14/04/2011 Tarif : NC | Billeterie : NC Magic Mirrors - ROUEN (76000) |