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jeudi 15 septembre 2011
Menton Journées Européennes du Patrimoine 2011 près de Monaco et Nice
Monaco Joan Baez en concert au Grimaldi Forum
Après cinq décennies de chanson, la folk singer, accompagnée de sa seule guitare,
A visiter absolument !
Patrimoine
Journées du Patrimoine les 17 et 18 septembre
Les journées du patrimoine sont toujours l’occasion de visiter les monuments de sa région. Au-delà de ces visites, certains établissements proposent des visites voire des animations insolites, rares ou originales. Voici donc un florilège des visites à ne pas manquer ces 17 et 18 septembre.
Les coulisses du Palais de Justice. Grand’Chambre du Parlement, bureau du Premier Président, Salon Napoléon, salle du Conseil, le Palais de Justice de Rouen est un lieu de d’histoire et de justice remarquable. Des visites commentées d’1h30, limitées à 30 personnes, vous permettront d’apercevoir quelques belles pièces de ce haut lieu rouennais.
Les journées version "secrets de nos églises". Visites commentées ou libre de l’Archevêché, visite sous les toits de l’Abbatiale Saint-Ouen, visite de la crypte et du baptistère de la Cathédrale Notre-Dame, découvez ces monuments tel que vous ne les voyez jamais et sous un jour différent. Une façon d’avoir parfois un autre regard et un autre point de vue sur la ville.
Les Journées version "nouvelle réalisation". Le chantier n’est pas encore terminé, mais la CREA offre au public la possibilité de visite le futur Palais des Sports. Sur réservation uniquement au 02 32 08 31 01 (Limité à 15 personnes).
Les journées version "démonstrations". Les journées du patrimoine c’est aussi la mise en valeur de métiers anciens. Plusieurs démonstrations permettront de voir comment ces métiers se pratiquaient ou se pratiquent encore de nos jours. L’Expotec 103 proposera ainsi plusieurs ateliers. Au programme des démonstrations de forge, des ateliers d’imprimerie pour les enfants. En parallèle, le four banal de la Pannevert réalisera des fournées de pain… à déguster bien sûr. A noter également un atelier de faëncier, 26 rue Saint-Romain, un autre d’horlogerie 17 rue Fontenelle (samedi uniquement) ou des démonstrations de taille de la pierre sur le parvis de l’église Saint-Maclou.
Journée version "cinéma". Découvrez de vieux films de Rouen grâce aux archives du Pôle Image de Haute-Normandie. Des réalisations de 1931 à 1989 diffusées dans la chapelle Saint-Louis, samedi et dimanche, à 14h et 16h.
Le patrimoine version "spectacle". Deux spectacles à vivre pendant ces journées du Patrimoine 2011. "Sur les Pas de Mac Orlan, rue des Charrettes… la nuit" est une création proposée les 17 et 18 septembre, à 19 h 30 (Rendez-vous place Henri IV). Elle propose de découvrir ce que furent les bars à matelots et autres mauvais lieux de la rue des Charrettes au début du XXe. Le tout à partir de textes de Mac Orlan. Deuxième spectacle : un apéritif musical proposé le dimanche 18 septembre sur l’esplanade Jean-Pierre Engelhard (Pannevert). Le tout dans une ambiance jazzy.
Le patrimoine "à la torche. L’idée est originale et il est fortement conseillé de réserver. Le Muséum d’Histoire Naturelle de Rouen vous propose une visite à la lampe torche de ses coursives. Plongé dans le noir, vous tomberez nez à nez avec toutes sortes d’animaux… Il est conseillé également d’arriver avec votre propre lampe torche. Pour les enfants, le Muséum propose également un atelier de maquillage maori. Réservations au 02 76 52 80 51.
Et beaucoup d'autres choses encore à découvrir dans le programme des Journées du Patrimoines 2011.
Et aussi ce week-end à Rouen : "La Braderie de Rouen" et "Quai des livres et Foires à tout"
Que des bonnes affaires !
Braderie
La Braderie de Rouen
Du 16 au 18 septembre, l'association "Les Vitrines de Rouen" organise la Braderie de Rouen. Au programme : brocante, arts de la rue, marché des créateurs, mais surtout des bonnes affaires !
Pendant deux jours, les 16 et 17, le commercants du centre-ville rive droite et de la rive gauche proposeront sur leurs trottoirs un large choix de vêtements, chaussures d'anciennes collections à petits prix. En parallèle, un marché de brocanteurs se déroulera rue Eugène Boudin de 10h à 19h.
Marché des Créateurs. La samedi 17 septembre, de 10h à 19h, la place Jacques-Lelieur accueille un marché des créateurs organisé par l'association Fabrique et moi. L'occasion de découvrir des créations originales.
Les quais aussi ! Les 17 et 18, la Braderie de Rouen investit aussi les quais de Seine. Des commercants non-sédentaires proposeront des articles bradés sur la rive gauche entre les ponts Corneille et Boieldieu, sur le pont Boieldieu, et sur la rive droite entre les ponts Boieldieu et Jeanne d'Arc.
Des animations... Et pour tout se passe dans la bonne humeur, des animations musicales et des déambulations sont prévues les 16 et 17 de10h à 19h dans le centre-ville et sur les quais le dimanche 18 de 14h à 17h.
Un jeu-concours ! Et surtout un concours est organisé pour gagner un week-end pour deux personnes à Bruxelles avec la visite du musée de la BD, des bandes-dessinées et des entrées au festival Normandiebulle.
Informations pratiques
Braderie de Rouen
Centre-ville rive droite et gauche
Quais de Seine
Du 16 au 18 septembre
Et aussi ce week-end à Rouen : "Les Journées du Patrimoine" et "Quai des livres et Foires à tout"
Biennale : Une terrible beauté est née à Lyon
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Le doute : c'est le mot d'ordre de cette onzième biennale lyonnaise d'art contemporain placée sous la direction de la commissaire argentine Victoria Noorthoorn, avec le concours du directeur du Musée d'Art Contemporain de Lyon, initiateur et directeur de la Biennale, Thierry Raspail. Pour aiguiller cette réflexion sur l'art, Victoria Noorthoorn s'est appuyée sur un poème de William Butler Yeats écrit en 1916 à propos du soulèvement des irlandais contre le joug britannique. Ce poète et dramaturge, né en 1865 près de Dublin et décédé en 1939 en France à Roquebrune-Cap-Martin, a reçu le Prix nobel de littérature en 1923. Fondateur du mouvement du renouveau littéraire de la littérature irlandaise en 1896, il est l'un des porte-drapeaux intellectuel du nationalisme irlandais. Toutefois dans ce poème intitulé "Pâques, 1916"
l'écrivain exprime ses doutes. Si le poème semble rendre hommage aux martyrs du soulèvement contre la couronne britannique, un second niveau de lecture montre que l'intellectuel doute et qu'il s'interroge sur cette terrible beauté qu'il a vu naître. Cinq jours après l'insurrection du 24 avril 1916 à Dublin, les velléités d'indépendance des catholiques irlandais sont noyées dans le sang par l'armée britannique et poursuivie dans tout le Royaume, faisant 400 morts et provoquant des milliers d'arrestations. Ce doute qui assaille le poète sur l'utilité de ce bain de sang et ses conséquences sur l'avenir, est pour ainsi dire le même que celui qui opposera plus tard Kaliayev à Stepan dans "Les Justes" d'Albert Camus. Le poème oscille entre affirmation, interrogation et négation sans jamais prendre partie. Qu'est ce que l'art ? Qu'est ce que la beauté ? As t'on le recul nécessaire pour en juger ? Plutôt que de répondre à ces questions, la commissaire veut que cette 11ème Biennale soit l'occasion de s'interroger, de se contredire, de proposer en toute liberté, sans avoir à adopter un point de vue figé sur le présent et sur un futur que nul ne connaît.
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Amy Winehouse et Tony Bennett, premier et dernier duo
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"Body and Soul" est une chanson appartenant à la culture populaire américaine, dont les paroles ont été écrites en 1930 par Edward Heyman, Robert Sour et Franck Eyton, la musique composée par le chef d'orchestre et arrangeur Johnny Green pour le compte de la chanteuse et actrice Gertrude Lawrence. Son premier enregistrement a été réalisé sous la direction de Jack Hylton avec son "Queen Dance Orchestra" à Londres. Cette mélodie est par la suite devenue un standard du jazz, introduite au programme d'une célèbre revue musicale de Broadway et utilisée pour la bande originale du film de Robert Rossen en 1947 qui porte son nom "Body and Soul", "Sang et Or" dans la version française. Cette chanson a été réinterprétée à de multiples reprises par des dizaines d'artistes comme Coleman Hawkins, Ella Fitzgerald, Billie Holiday, Franck Sinatra (...). Elle a également été réutilisée par les réalisateurs de cinéma, dont la dernière fois en 2002 dans "Catch me if you can" de Steven Spielberg. La voix d'outre tombe d'Amy Winehouse mariée au timbre du crooner Tony Bennett, qui met autant de couleurs dans sa voix que dans ses tableaux, donnent à ce standard une nouvelle teinte, à la fois macabre et totalement Soul.
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