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mardi 9 août 2011
Les Martiniquais de Bèlènou au 14ème Festival Païoun Ven
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Le bèlè est l'une des musiques traditionnelles de la Martinique. Importé sur l'ïle antillaise par les esclaves africains, il s'appuie sur le tambour bèlè (à l'origine, un tonneau de rhum recouvert d'une peau tendue) et le ti-bwa (deux baguettes en bois que l'on frappe sur un cylindre de bois creux). A cette musique s'ajoute le chant et la danse. Le bèlè, porté par de grands noms comme Félix Cebarec, Ti-Raoul et Ciméline Rangon, est désormais reconnu en Martinique : il constitue même une épreuve optionnelle pour les candidats au bac.
Groupe-phare de ce style musical, Bèlènou s'inscrit dans cette tradition. Mais ces musiciens martiniquais associent à cet héritage, des sonorités modernes comme des lignes de basse et la rythmique de la batterie. Ils explorent des répertoires nouveaux pour s'illustrer dans le Mizikbèlè, le Bèlè moderne.
Avec neuf albums à son actif, ce groupe créé en 1980 par Edmond Mondésir et Léon Bertide s'est produit dans la plupart des festivals en Martinique et dans la Caraïbe.
En cet été 2011, Bèlènou poursuit sa tournée sur la Côte d'Azur : le groupe sera le 12 août 2011 à Roquebillière, le 13 août à Sospel et le 14 août à Roquefort-les-Pins.
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De la musique romantique en ouverture du 3ème festival "Musica Classica"
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C'est le pianiste français Jean-Marc Luisada qui a donné le coup d'envoi de ce festival en interprétant des pièces de Chopin, 'le plus grand compositeur du XIXème siècle' d'après le musicien, et de Liszt qu'il considère comme 'le Mickaël Jackson et le David Bowie de la musique classique de son temps.' Une comparaison audacieuse de la part du virtuose qui s'est formé auprès des plus grands.
Après des études de piano à Paris, le jeune Jean-Marc entre à l'école de musique de Yehudi Menuhin en Angleterre avant de revenir dans son pays pour intégrer le Conservatoire national supérieure de musique de Paris. En 1978, il continue de travailler avec Nikita Magaloff, Paul Badura-Skoda et Milosz Magin.
Le pianiste remporte en 1983, le concours Dino Ciani à la Scala de Milan et deux ans plus tard, le concours Chopin à Varsovie. Sa carrière internationale prend alors son envol. Il se produit régulièrement en Europe, en Russie, aux Etats-Unis et au Japon.
En parallèle de son activité de concertiste, Jean-Marc Luisada mène des projets inattendus. Il a notamment participé à l'enregistrement de 'L'Histoire de Babar' de Poulenc avec l'actrice Jeanne Moreau. Il collabore également avec des acteurs comme Macha Méril (dans le concert-pièce 'Le Feu sacré', mettant en scène George Sand et Chopin), Bruno Putzulu et Marie-Christine Barrault.
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Louis Chedid et Axel Krygier au Festival du Bout du Monde
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Compositeur-interprète, Louis Chedid marque le paysage de la chanson française depuis près de trente ans. Fils d'un scientifique et de l'écrivaine franco-libanaise Andrée Chedid, le chanteur commence par étudier le cinéma et devient chef monteur avant de se lancer dans la musique au début des années 70. En 1973, il signe son premier album 'Balbutiements', mais le véritable succès n'intervient que quelques années plus tard, avec ses chansons 'La belle' ou 'T'as beau pas être beau'. Autres morceaux qui ne passeront pas inaperçus en 1981, 'Ainsi soit-il' puis en 1985 'Anne, ma soeur Anne' dans laquelle il dénonce la montée de l'extrême-droite en France.
A l'automne 2010, Louis Chedid a sorti un album co-écrit avec son fils Mathieu Chedid alias -M- : 'On ne dit jamais assez aux gens qu'on aime qu'on les aime'.
L'artiste est aussi écrivain et compositeur. Il lui doit notamment le conte musical 'Le Soldat rose'.
Axel Krygier de son côté, est un artiste inclassable. Argentin vivant aujourd'hui en France, ce multi-instrumentiste autodidacte a sorti à l'automne 2010, son quatrième album 'Pesebre', fusion entre les folklores sud-américains et la musique électronique.
Sur scène, cet artiste généreux de 42 ans adopte une gestuelle à la Charlie Chaplin et parvient aisément à entraîner le spectateur dans ses histoires loufoques (comme celle du cafard écrasé : 'Que vas-tu devenir?')
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Ben l'Oncle Soul au festival de la Foire aux vins d'Alsace
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Benjamin Duterde, alias Ben l'Oncle Soul, est né avec la soul. C'est plus qu'une image, c'est une réalité. Quand sa maman est tombée enceinte, il y a 25 ans de cela, elle s'est achetée l'album d'Otis Redding,'Otis Blue'. Forcément, neuf mois d'écoute non-stop, ça vous marque une vie intra-utérine ! Le bain de soul-music n'a ensuite jamais cessé à la maison mais aussi en dehors. Durant ses études aux Beaux-Arts à Tours, Ben a en effet chanté durant deux ans avec le choeur de gospel Fitiavana. Il a ensuite monté un MySpace pour présenter ses propres compositions. De la pure soul mais en français, s'il vous plaît. Un choix évident pour le jeune homme. Il reconnaît qu'au moment de composer, il s'intéresse d'abord à la musique, à la mélodie vocale, aux arrangements. Une fois que tout cela est calé, il cherche un thème en adéquation totale avec la musique. Ce choix du français ne l'empêche pas de vouer une admiration sans borne à La Motown. Il a signé avec la filiale France de la célèbre maison de disque de Détroit dont le nom est tatoué sur son poignet gauche. C'est sûr, Ben L'Oncle Soul a la soul dans la peau. Merci qui ? Merci maman.
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L'art des Cyclades exposé au Musée Zervos
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Au même titre que l'art africain, ces oeuvres à l'épure remarquable ont inspiré de nombreux artistes par-delà les siècles.
Lorsqu'en 1957, Christian Zervos publie son livre monumental 'L'Art des Cyclades', une référence en la matière, l'éditeur étudie ces petites idoles grecques en marbre depuis déjà près de vingt ans. Il leur a consacré une série d'articles accompagnés d'iconographies dans la revue dont il est le fondateur : 'Les Cahiers d'art'.
Ses lecteurs sont subjugués par ces sculptures miniaturisées au visage lisse et aux courbes arrondies. Parmi les proches de Christian Zervos, Picasso, Giacometti ou Arp prêtent un oeil particulièrement attentif à cet art qui leur semble résolument moderne à l'époque. Chez Brancusi ou encore Calder, on retrouve ces femmes aux formes généreuses qui rappellent les représentations du Paléolithique ou ces visages dont on n'aperçoit que l'arête du nez.
Aucune exposition d'une telle ampleur n'avait été organisée depuis une trentaine d'années. Elle offre un panorama de cet art depuis la période néolithique jusqu'au milieu du IIe millénaire avant notre ère. Aux côtés des statuettes féminines, on découvre aussi des vases de pierre, de la métallurgie et le travail d'une roche volcanique l'obsidienne.
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Le San Patricio Pipe Band du Mexique au 41e Festival Interceltique de Lorient
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Le Pipe band del Batallón de San Patricio a été fondé en 1997, à l'occasion de la commémoration du 150ème anniversaire de ce bataillon composé notamment d'Irlandais et d'Ecossais qui désertèrent l'armée américaine pour rejoindre l'armée mexicaine, où ils sont devenus de véritable héros. La Banda est unique dans son genre en Amérique Latine puisqu'elle s'apparente plus à un pipe band. Composée de jeunes musiciens mexicain de grand talent, elle a participé à de nombreux événements de parts et d'autres de l'Atlantique, devant de grandes personnalités comme la Présidente du Nicaragua, le Premier Ministre Irlandais ou encore le Prince de Galles.
Pour cette 41e édition du festival, tous les accents de la celtitude sont à l'honneur !
2011 est en effet l'année des diasporas celtiques : une programmation haute en couleurs, entre intégration et métissages, diversité et créativité.
Pour la Grande Parade, ce sont 3000 danseurs, chanteurs et musiciens de la Celtie qui ont défilé dans les rues de Lorient pour votre plus grand plaisir. Envolées de notes de musique, pas de danses traditionnelles et costumes majestueux, des indémodables pipe bands aux bandas de gaitas, et des bagadoù bretons aux cercles celtiques, la Grande Parade vous fait vibrer au son de sa musique traditionnelle. Un moment unique à vivre pleinement !
Et à revivre jusqu'au 15 août 2011 sur www.france3.fr.
La relève de la musique de chambre aux 2èmes Rencontres en Agenais
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En guise de professeurs, les jeunes stagiaires qui pour la plupart, achèvent leur formation en conservatoire supérieur sont formés par les membres de l'ensemble Artefact, à l'origine de la création du festival aux côtés des organisateurs, les bénévoles de Musiquenvie. Forts du succès de la première édition, les musiciens tenaient à participer une fois encore à cette aventure qui vise à présenter un large éventail de musique de chambre, leur domaine de prédilection.
Artefact regroupe depuis 2006, douze interprètes français, suisses et japonais issus des plus grands conservatoires européens et venus se greffer autour du trio fondateur : le violoncelliste Aurélien Ferrette, le clarinettiste Maxime Penard et le violoniste Julien Lapeyre. Durant leur parcours, ces jeunes trentenaires ont joué ensemble au sein de formations pestigieuses comme l'European Union Youth Orcehstra ou le Luzern Festival Academy Orchestra et ont été dirigés par Claudio Abbado, Pierre Boulez et Myung-Whun Chung, entre autres et désormais, ils se retrouvent une fois par mois pour jeter leur regard sur une même partition. Leur objectif : faire redécouvrir des chefs-d'oeuvre du grand répertoire, mais aussi des pièces originales comme le Ricercare de l'Offrande musicale de Bach, l'Atlantic Trio d'Amargos ou encore les Quatre Saisons de Piazzolla.
Artefact se produit le 25 septembre 2011, au Château de Gaillard en Haute-Savoie, puis interprétera des pièces de Janacek à Paris, les 29 octobre et 3 novembre, respectivement au Passage de la Main d'or et au Centre tchèque.
L'ensemble compte sortir son premier CD dans les prochains mois.
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La Tapisserie s'expose dans son décor à Aubusson
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Une suite de plusieurs tapisseries du XVIIème vaut aussi le coup d'oeil. Cet ensemble de cinq tentures, présenté pour la première fois au public depuis sa restauration, a pour thème, 'Renaud et Armide'. Une histoire d'amour tellement à la mode à l'époque qu'en une seule année, en 1654, un lissier a tissé pas moins de 35 tentures représentant les deux héros, personnages d'un récit épique et merveilleux écrit au siècle précédent. En 1581, le Tasse les met en scène dans la 'Jérusalem délivrée'. Le chevalier croisé Renaud est séduit par Armide, jeune princesse de Damas qui combat l'armée de Godefroy de Bouillon dans sa tentative de conquérir Jérusalem. Elle le rend amoureux grâce à un sortilège. Deux amis de Renaud délivrent le captif. La magicienne le supplie de l'emmener avec lui comme prisonnière, mais il refuse. Armide s'envole sur son char tandis que les démons détruisent son palais.
Ce couple mythique a inspiré des opéras, notamment 'Armide' composé pour Louis XIV par Jean-Baptiste Lully et 'Rinaldo', de Georg Friedrich Haendel.
Il est aussi représenté par de nombreux peintres : Nicolas Poussin ('Renaud et Armide', 1625), Antoon Van Dyck ('Renaud et Armide', 1629), ainsi que Jean-Honoré Fragonard et Giovanni Battista Tiepolo au XVIIIème siècle.
Plus récemment, en 1943, Jean Cocteau reprend le thème dans 'Renaud et Armide', sa seule pièce écrite en vers.
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Young Music Project : la musique classique d'aujourd'hui
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Pour ces jeunes musiciens, la musique classique ne se résume pas à Mozart ou Beethoven. Elle est bien vivante et ne demande qu'à se renouveler. Sous la houlette des compositeurs et pianistes Hervé Legrand et Thomas Malarbet, Young Music Project mène un travail de recherche pour faire évoluer sa musique et ses tempos. Dans son dernier album au titre résolument moderne 'YMP001 :-1', on trouve douze cahiers (vibraphone clarinette, andante-piano, violoncelle et orchestre à cordes, quintette à vents).
Après avoir présenté ces oeuvres originales sur scène à Paris, ces auteurs et interprètes tentent de se faire connaître auprès des médias. Seule une plus large diffusion peut permettre d'ouvrir véritablement ce monde de la création largement méconnu, mais ce n'est pas chose aisée, surtout dans ce genre musical.
Autre défi pour Young Music Project : dénicher une résidence permanente, un lieu de création mais aussi de concert. En attendant, le groupe doit se produire prochainement outre-atlantique à Los Angeles.
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Jean-Michel Delambre et Cabu au 8e Salon du Livre de Biarritz
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Aux côtés de Cabu, Jean-Michel Delambre fait figure de nouveau venu. Moins connu du grand public, il n'en est pas moins l'un des piliers de la caricature au 'Canard Enchaîné' pour lequel il travaille depuis plus de vingt ans.
A 61 ans, le dessinateur joue toujours au gamin frondeur, un crayon à la main. 'Je crois que le dessin, ça conserve', aime-t-il souligner. Né en 1949 à Liévin dans le Pas-de-Calais, le jeune Jean-Michel devient d'abord maître-nageur pendant dix ans, puis entame des études de lettres à Lille et exerce quelques années comme professeur au collège tout en garnissant les copies de premiers croquis. Mais il finit par pousser la porte des journaux parisiens pour proposer ses dessins. 'Le Canard Enchaîné', mais aussi 'Marianne' et 'Le Parisien-Aujourd'hui en France' ouvrent leurs colonnes à son humour noir et potache.
Aujourd'hui installé sur la Côte d'Opale, Jean-Michel Delambre anime des ateliers d'écriture et d'arts plastiques dans les écoles. Il faut dire qu'il est aussi écrivain, sculpteur et peintre. Parmi ses ouvrages, on trouve des recueils de poèmes et de nouvelles dont 'Fenêtres sur nuits, Nouvelles du Nord et d'ailleurs', publié en 2003 aux éditions L'Harmattan, mais aussi des livres pour enfants comme 'Un animal des animômes' et 'Le drôle de dragon qui ne jouait pas avec le feu (parus aux Editions Henry).
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Une Planète des singes nouvelle génération signée Rupert Wyatt
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Petit rappel : avant d'être un film, 'La Planète des Singes' a d'abord été un roman du français Pierre Boulle, publié en 1963 (également auteur du célèbre 'Le pont de la rivière Kwai'). Cinq ans plus tard, l'histoire prend vie sur le grand écran dans un film de Franklin J. Schaffner avec dans le rôle principal Charlton Heston. Le film reçut un Oscar dans la catégorie maquillage (cette partie, chapeautée par John Chambers, mobilisait chaque jour au tournage, près de 80 personnes). Le film fera des petits : quatre suites verront le jour puis en 1974 une série télévisée qui s'arrêtera au bout de 14 épisodes faute de succès. Il fallut attendre 2001 et Tim Burton pour voir revenir les singes sur le grand écran. Nous respectons beaucoup Tim Burton mais force est de dire que cette version fut assez mauvaise. Nous voilà donc en 2011 avec une nouvelle mouture signée Rupert Wyatt, réalisateur anglais quasi-inconnu, qui a finalement accepté de prendre en charge le projet (une flopée de collègues avaient refusé avant lui). Mais la production l'a entouré de 'pointures' : Weta Digital, les créateurs des effets spéciaux d''Avatar', les monteurs des 'Terminator' 1 et 2, d''Abysss' et de 'Titanic' et enfin l'acteur André Serkis qui interprète le singe-héros, César. Serkis avait déjà donné vie à Gollum dans la saga du 'Seigneur des Anneaux' et au 'King-Kong' de Peter Jackson. Les premières critiques du film sont plutôt bonnes et souligne que Rupert Wyatt s'est très bien sorti d'un exercice qui était considéré comme 'casse-gueule'. Sans faire d'esbroufe, il semble avoir réussi à faire autre chose qu'un film d'action, bourré d'effets spéciaux. Un film dans lequel l'émotion et la réflexion ont aussi trouvé leur place.
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Jordi Savall clôt en beauté le Festival de Musique de Richelieu
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Les vacances ont ceci de bon qu'elles permettent de découvrir des lieux qui marquent durablement. C'est ce qui est arrivé il y a plus de six ans au pianiste Nicolas Boyer. Venu en villégiature à Richelieu, il découvre cette ville construite au 17ème siècle sur la base d'un projet novateur. Louis XIII, pour remercier son ministre le Cardinal de Richelieu, lui permit d'ériger un 'bourg clos de murailles et de fossés et de bâtir une halle'. Richelieu qui possède une propriété familiale fait alors bâtir un château et une ville nouvelle à proximité pour y loger sa cour. Même s'il ne subsiste aujourd'hui que quelques vestiges du domaine du Cardinal, la ville de Richelieu est encore un exemple unique d'urbanisme du 17ème siècle. Nicolas Boyer découvre ainsi le Dôme et la Sainte-Chapelle de Champigny-sur-Veude. Il comprend très vite que ces deux sites ont une architecture et une acoustique idéales pour accueillir des concerts. Le festival voit le jour, un rendez-vous musical ouvert à tous, et qui favorise la proximité avec les artistes. Plusieurs autres sites sont mis à contribution le temps du festival : le château de Chargé, celui du Rivau, la Grande Halle et la Grand-Place de Richelieu.
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