lundi 20 juin 2011
Coluche, l'histoire d'un mec
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C'est l'histoire d'un mec nommé Coluche... De son vrai nom Michel Colucci... Un mec drôle, sarcastique, provocateur, revendiquant une grande liberté d'expression...
Coluche qui disait de lui-même : 'Je suis capable du pire comme du meilleur mais dans le pire, je suis le meilleur'.
Et c'est vrai que Coluche a fait une bien mauvaise surprise à tous ceux qui l'aimaient en quittant brutalement la grande scène de la vie ce jeudi 19 juin 1986, sur une petite route du sud de la France, victime d'un accident de moto.
Coluche, l'humoriste, le comédien, le candidat à l'élection présidentielle de 1981 mais surtout, le fondateur des Restos du Coeur qui, aujourd'hui encore, viennent en aide à des milliers de démunis.
Coluche sorte de baromètre d'une certaine époque.
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Charles Aznavour invité du JT de 20 heures
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Charles Aznavour, quatre-vingt sept printemps et une fraîcheur étonnante. Le temps ne semble pas avoir de prise sur lui...
Auteur-compositeur-interprète et acteur, Charles Aznavour fourmille de mille projets mais un lui tient particulièrement à coeur actuellement : remonter sur la mythique scène de l'Olympia en septembre 2011. Avec, sans doute, de nouveaux titres car il n'a jamais cessé d'écrire... Mais Charles Aznavour devrait proposer à son public plusieurs des chansons qui ont fait son succès bien au-delà des frontières françaises - Les comédiens (1962), La mamma (1963), Et pourtant (1963), For Me Formidable (1964), Que c'est triste Venise (1964), La bohème (1965), Emmenez-moi (1967)... - dans une nouvelle version musicale.
En attendant le rendez-vous de l'Olympia, rencontre avec l'artiste Charles Aznavour.
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"L'atelier du Peintre" du Cirque plume, la poésie tout simplement
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Créé en Franche-Comté fin 1983, le Cirque Plume est l'une des figures de proue du cirque contemporain ou nouveau cirque. Dans les années 60, le public se détourne d'un genre devenu ringard. Le cirque opère sa révolution dans les années 70 avec l'apparition en France de nouvelles troupes plus axées sur le spectacle vivant. Une mutation qui s'incarne parfaitement dans des cirques tels que Oz (Australie 1978), le Cirque Plume ou le Cirque du Soleil (Québec 1984).
Toutes ces compagnies ont un point commun, celui de puiser dans l'art du cirque traditionnel (jonglerie, acrobatie, clowns) tout en apportant une touche originale, souvent poétique.
Ainsi dans 'L'atelier du peintre', la dernière création du Cirque Plume, peut-on voir des clowns se battre à coups de pistolet à peinture, des acrobates évoluer sur la toile et composer par petites touches telles des impressionnistes, un spectacle unique et émouvant.
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Les Déferlantes embarque pour New-York avec The Two, Balbino Medellin et Aaron
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La culture musicale française s'exporte à New York le temps d'un concert au 'Poisson Rouge' avec le festival 'Les Déferlantes'.
'Les Déferlantes', c'est avant tout un festival d'Argelès-sur-mer. Durant trois jours, cette année les 9, 11 et 12 juillet 2011, il rassemble des styles variés : Patrice, Cali, Lilly Wood, Zazie ou encore Foals.
Avec 'Les Déferlantes export', les organisateurs souhaitent aller plus loin. C'est alors trois groupes qui ont fait le voyage : The Two, Balbino Medellin et Aaron.
Comme son nom l'indique, The Two est composé de deux artistes qui ont fait découvrir aux new-yorkais leur style propre en jouant leurs compositions.
Aaron est sans doute le groupe le plus connu du concert, notamment avec la célèbre bande-son du film 'Je vais bien, ne t'en fais pas' de Philippe Lioret.
Balbino Medellin, quant à lui, est un chanteur parisien, fortement influencé par ses origines catalanes. Son style un peu gitan est complètement différent des deux autres groupes.
Pour les accompagner, Cyrille Sabatier et Marie Lledos se sont envolés direction la 'Grosse Pomme' afin de réaliser le making of de l'ensemble de l'expérience : backstage du concert, interviews, coulisses...
Le but de cette représentation aux Etats-Unis est, dans un premier temps, de faire découvrir le festival, la culture catalane, Argelès et sa région et dans un second temps, toucher un maximum de professionnels et développer l'international.
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La mode de Jean-Paul Gaultier à Montréal
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Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM, Canada) rend hommage à Jean-Paul Gaultier, 'l'enfant terrible de la mode' - ainsi surnommé par la presse à ses débuts dans les années 1970 - à l'occasion des ses trente-cinq ans de carrière.
Cette première exposition internationale consacrée au célèbre couturier français rassemble environ 140 ensembles accessoirisés, essentiellement de haute couture mais aussi de prêt-à-porter.
Jean-Paul Gaultier a commencé dans le prêt-à-porter en 1976 avant de fonder sa maison de haute couture en 1997. Très tôt, sa mode avant-gardiste a saisi les préoccupations et les enjeux d'une société multiculturelle, bousculant avec humour les codes sociologiques et esthétiques établis.
Installation contemporaine plutôt que rétrospective de mode - Jean-Paul Gaultier en parle comme d'une création à part entière - l'exposition du MBAM est organisée avec la Maison Jean Paul Gaultier, qui a accepté de donner un accès inédit et exclusif à ses archives. L'exposition est particulièrement innovante dans sa mise en scène théâtrale et son approche multimédia, grâce aux mannequins animés par la compagnie québécoise UBU.
Après Montréal (17 juin-2 octobre 2011), 'La planète mode de Jean-Paul Gaultier. De la rue aux étoiles' bénéficiera d'une visibilité internationale. Le MBAM présentera en effet l'exposition au Dallas Museum of Art du 13 novembre 2011 au 12 février 2012 puis, à San Francisco (24 mars-19 août 2012) avant de revenir en Europe, Espagne et Pays-Bas, fin 2012, début 2013.
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"Le sort du dedans", spectacle de cirque équestre
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Lunéville et le cheval... L'histoire s'écrit depuis le siècle des Lumières (XVIIIème)...
'Cité cavalière par excellence', la petite ville mosellane a abrité jusqu'à trois mille cinq cents chevaux, la plupart appartenant à des régiments militaires.
Avec ces 1ères Rencontres Equestres, Lunéville veut ajouter une nouvelle page à l'histoire de sa belle relation avec la plus noble conquête de l'homme.
Au programme des dix journées (18 au 26 juin 2011), des conférences, des démonstrations mais aussi, des spectacles comme 'Le-sort-du-dedans', de la compagnie toulousaine Baro d'Evel, présenté samedi 18 juin 2011 en ouverture des Rencontres.
Un spectacle de théâtre-cirque équestre dont les deux vedettes sont incontestablement une contrebasse et le très cabotin cheval-comédien Bénito qui dialoguent, en compagnie des comédiens de Baro d'Evel.
'Le sort du dedans', à voir ce dimanche 19 juin à 21 heures, les 23, 24, 25 et 26 juin 2011 sur l'esplanade du Champ de Mars de Lunéville.
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Leila Hatami comédienne iranienne dans "Une Séparation"
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'Une séparation' est sur les écrans depuis le 08 juin 2011, ce film remporte un grand succès en France et aussi en Iran.
A Téhéran, Simir et Nader décident de divorcer. Ce dernier doit trouver une aide-soignante pour s'occuper de son père, malade et dépendant. Il embauche alors Razieh, qui lui cache sa grossesse et qui ne parle pas de son emploi à son mari, Hodjat. Suite à un incident, la jeune femme l'accuse de lui avoir fait perdre son enfant et porte plainte. S'en suit alors un affrontement entre Hodjat et Nader.
Le film parle indirectement de la politique de l'Iran d'aujourd'hui et plonge le spectateur au coeur de cette société. Un message plutôt pédagogique anime ce long-métrage par l'intermédiaire d'une histoire forte.
'Une séparation' d'Asghar Farhadi a reçu l'Ours d'or et deux Ours d'argent, au dernier Festival de Berlin. Les acteurs, quant à eux, ont reçu le prix collectif d'interprétation.
Le réalisateur avait déjà eu un Ours d'argent du meilleur réalisateur pour 'A propos d'Elly', en 2009.
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"Pater" : Vincent Lindon se prend pour le Premier ministre
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'Pater' est avant tout un film étonnant dans sa forme. Son réalisateur, Alain Cavalier, ne cache rien des ficelles entre acteurs et personnages. Au début du film, le cinéaste et Vincent Lindon ne sont pas encore dans leurs rôles de Président et Premier ministre. On assiste à la naissance de l'oeuvre. Les deux hommes se découvrent, échangent et plaisantent sur le tournage en cours. Ils pourraient être père et fils avant d'occuper les plus hautes fonctions de l'Etat.
La plupart du temps, ils se filment l'un, l'autre. Cette oscillation entre fiction et réalité interroge sur le cinéma et sur le pouvoir et met en lumière leurs faux-semblants.
Alain Cavalier est un spécialiste de cette forme de self-made movies. 'Le Filmeur', présenté en 2005 à Cannes dans la sélection 'Un certain regard', en est probablement le meilleur exemple. Il y présente son journal intime en vidéo tourné entre 1994 et 2005.
A 80 ans, le cinéaste - qui a débuté comme assistant de Louis Malle sur le tournage d''Ascenseur pour l'échafaud' - a signé une quinzaine de films dont 'Thérèse', un film sur la vie de la jeune Carmélite Thérèse de Lisieux, qui lui a valu le Prix du jury à Cannes en 1986 et 'Irène', sorti en 2009, dans lequel il tente de faire revivre son ancienne compagne disparue.
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"Omar m'a tuer" instille le doute
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Pour donner vie à son personnage, l'acteur d''Indigènes' s'est forgé un nouveau physique. Il a perdu 18 kilos pour que la ressemblance avec Omar Raddad soit la plus frappante et le résultat est stupéfiant. S'il s'inspire de sa silhouette et de sa façon de parler, - Sami Bouajila l'a d'ailleurs rencontré personnellement -, le comédien raconte pourtant qu'il ne voulait pas se faire écraser par le mythe de ce jardinier qui a fait maintes fois la une des journaux dans les années 90. Il tenait à poser un regard neuf sur cette affaire et inciter le public à découvrir un homme discret dont le destin bascule en quelques secondes.
Omar Raddad est un nouveau rôle fort pour Sami Bouajila qui à 45 ans, a campé des figures tout aussi exigeantes : un séropositif optimiste dans 'Drôle de Félix', un sans-papiers naïf dans 'La Faute à Voltaire' et un flic tourmenté dans 'Les Témoins'. L'acteur s'attèle à tous les registres : du film d'action avec 'Nid de guêpes' à la comédie comme 'Embrassez qui vous voudrez' et 'De vrais mensonges' en passant par la romance dans 'La Répétition'.
Mais c'est sa participation au film de guerre 'Indigènes' sur les soldats nord-africains mobilisés en 1943 qui lui vaut la plus grande attention du public et de la critique. Il obtient pour ce long-métrage, un Prix d'interprétation partagé avec Roschdy Zem, Samy Naceri, Jamel Debbouze et Bernard Blancan en 2006. En 2010, il est de nouveau à Cannes aux côtés du réalisateur Rachid Bouchareb, de Jamel Debbouze et Roschdy Zem pour 'Hors-la-loi'.
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Sam Szafran à l'exposition "Un corps inattendu" au FRAC Auvergne
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Né en 1934 à Paris de parents juifs polonais, Sam Szafran est un peintre, dessinateur, pastelliste et graveur français. En 1953, il rentre à l'Académie de la Grande Chaumière et suit les cours d'Henri Goetz où il fait la connaissance d'Orlando Pelayo. Il a échappé à la rafle du 'Vel' d'Hiv' en se faisant passer pour le fils du concierge.
Dans les années 1960, un cercle d'amis et d'admirateurs ne tardent pas à se former autour de l'artiste. Parmi eux, Alberto Giacometti, Jean Tinguely ou encore Yves Klein.
Sam Szafran, a déjà fait de nombreuses expositions personnelles à partir de 1965 et également des expositions collectives.
Un DVD 'Sam Szafran - Escalier' a été produit et réalisé par Antoine Cretto pour la fondation Pierre Gianadda en 2006.
Lors de l'exposition 'Un corps inattendu', son oeuvre 'Gisant' est exposée aux côtés de celle de Paul Rebeyrolle, Freud, Chagall, Basquiat, Bacon ou encore Joan Miro.
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"Tu m'as sauvé la vie" : l'éternel humour de Guitry
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Grand professeur de théâtre, Jean-Laurent Cochet a formé les plus grands acteurs comme Isabelle Huppert, Richard Berry, Daniel Auteuil, Fabrice Luchini et Gérard Depardieu et continue de prendre sous son aile des artistes en devenir dont Patrick Haudecoeur et Arnaud Denis.
Dès les années 60, l'acteur alors sociétaire de la Comédie-Française ouvre son cours d'art dramatique à Paris. Sa méthode acquiert très vite une grande renommée. Les élèves sélectionnés sans formation requise, ni limite d'âge, mais sur audition (il faut réciter une fable de La Fontaine) s'inscrivent en moyenne pour deux à trois ans. Aujourd'hui encore, Jean-Laurent Cochet donne une fois par mois une master classe en public au Théâtre La Pépinière Opéra.
Le professeur surnommé 'le jardinier des âmes' par Maurice Druon fait figure d'incontournable dans le monde du théâtre français : il a mis en scène plus de 150 spectacles, mais il est aussi bien sûr comédien. En près de cinquante ans de carrière, il a joué sur les planches dans trois cents rôles et s'est essayé au cinéma dans 'Mille milliards de dollars' en 1982 et 'Fort Saganne' d'Alain Corneau en 1984. Il est aussi l'auteur de plusieurs ouvrages dont 'L'art et la technique du comédien : un supplément d'âme' (paru en 2010 chez Pygmalion).
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Coluche est mort mais il reste en moi.
Les médias ne leur donnaient pas la parole et s'en foutaient royalement!
Le pouvoir en place prenait au début sa candidature à la rigolade,car un clown n'a aucune chance d'être élu et même de passer le premier tour!
Progressivement au fil des semaines il disait à sa façon ce que pensaient les Français,de 10,17 à 25% d'intentions de vote.
Le ministre de l'intérieur l'interdisait des radios et des télévisions publiques et la France de Giscard se disait DEMOCRATIQUE ET UN PAYS LIBRE,DU DROIT D'EXPRESSION!
Même le club de la presse ne l'invitait plus,Stéphane Collaro avait essayer de lui donner une tribune dans son émission quotidienne humoristique mais en vain.
Des maires de France eurent des pressions pour ne pas donner leur signature à Coluche.
Une mort suspecte d'un régisseur,la justice a tout fait pour ralentir l'affaire,faire des pressions sur Coluche:menace de publier le casier judiciaire de Coluche,de divulguer les penchants et les défauts de Coluche (tout le monde a des défauts mais aussi des qualités,mais il est connu que la malveillance et la division est le signe des Puissants!
Des menaces et du bastonnage sur trois colleurs d'affiche,Coluche retirait sa candidature!La gauche gagnait.
Depuis le 1o mars 2010 une démocratie paticipative sur twitter/henrirouen.
Il est étonnant au 21 eme siècle que certains mairies de France,certains partis ,certaines personnalités politiques et médias se fassent prier pour participer et surtout informer leurs auditoires .Pourtant ceux et celles qui aiment la liberté,l'égalité et surtout la fraternité devraient montrer l'exemple aux enfants malades qui m'ont demandé depuis le 16 janvier 2009 à faire VIVRE la société qu'ils ne peuvent pas voir autrement par médias interposés!
J'ai rencontré mosieur Camberlain le 20 mai 2011 et depuis un mois aucune réaction (malgré les photocopies,la lettre explicative,la MAIRIE DE ROUEN N'AIME PAS LA LIBERTE D'EXPRESSION,LES FORUMS DEMOCRATIQUES,ELLE AIME IMPOSER SES PROJETS ET FEINT LA DEMOCRATIE PARTICIPATIVE,PREND EN NOTE LES PAROLES DE SES CITOYENS QUAND C'EST POSSIBLE D'EN PROFITER!
J'ai toujours dit que je ne prenais pas au sérieux TOUT EN PRENANT AU SERIEUX MON PROJET INTERNET,Coluche encore vivant aujourd'hui (malheureusement le 19 juin 1986 renversé par un camionneur italien,lui un expert de la moto)dirait que certains hommes et femmes politiques se prennent pour des clowns encore et font semblant d'être sérieux,mais incapable de donner la parole au peuple.
La preuve:Rouen magazine n'a pas encore signalé mon travail et des sites qui m'accompagnent,que Paris Normandie ne le fassent pas c'est normal c'est la marionnette de Sarkosy!
Tout le monde devrait savoir que c'est lui qui nomme les présidents de chaînes de radio et de télévision publiques,c'est lui qui manipule et fait partir les hommes et les femmes de l'audiovisuel qui le gênent (certains médias privés copinent même avec lui,on se croierait du temps de la royauté!