Site ouvert directement ,par google,par blogger,par twitter/henrirouen,site ouvert à tous et à toutes aimant rouen,la créativié,0680504877@orange.fr Twitter/henrirouen et henrirousseaurouen sont complémentaires.Pardon si ce dernier est long à venir ayant beaucoup d'archives...
samedi 23 octobre 2010
L'épidémie de choléra continue sa progression en Haïti
"
Les squatteurs de la place des Vosges expulsés
Une trentaine de squatteurs membres du collectif Jeudi Noir qui occupaient depuis un an un hôtel particulier de la place des Vosges, dans le IVe arrondissement de Paris, ont été expulsés ce samedi matin. | Views: 0 0 ratings | |
Time: 01:11 | More in News & Politics |
Chronique : Mont-Blanc Le Royaume de la Déesse Blanche [Glénat]
L'aventure de la première ascension du Mont-Blanc est une fable à la fois épique et humaine qui témoigne, à sa manière, du changement de la société. En effet, la montagne et ses plus hauts sommets sont peut-être le dernier refuge des croyances et des légendes d'autrefois. À l'aube de la Révolution française, à la fin du siècle des Lumières, ce sanctuaire inviolé va abdiquer face à l'homme.
Récit historique traditionnel, Mont-Blanc ne se démarque pas par son originalité. Vivianne Perret narre, d'une façon très classique, la chronique de la première escalade du Mont-Blanc, le 8 août 1786. Honneur au vainqueur, la scénariste s'intéresse particulièrement à Jacques Balmat, guide bourru, fasciné, voire obsédé par sa montagne. Au-delà de l'exploit « sportif », il s'agit également d'une histoire de rivalités. Côté vallée, entre les gens de Chamonix, pour déterminer qui gagnera la bourse promise au plus téméraire. Côté beaux salons, entre les « Messieurs » de la ville, po ...
"
Chronique : Embranchement de Mugby (L') L' Embranchement de Mugby [Delcourt]
Dans la ville de Mugby, il se nomme « Barbox Frères », du nom de la société qu'il vient de quitter. Plaquée par sa femme, partie avec son meilleur ami, il a décidé de prendre un nouveau départ. De la gare, partent cinq chemins différents, comme autant de choix de vie. Lequel emprunter ? Le plus simple est sans doute de tous les essayer, les uns après les autres. Á moins que son bonheur ne soit beaucoup plus près de lui, là-haut, dans une petite maison où réside Phœbe, une jeune femme paraplégique.
L'embranchement de Mugby est une œuvre de Charles Dickens réalisée en 1866, soit quatre ans avant le décès de l'auteur. Écrire cette nouvelle a peut-être été une façon de faire le point sur son existence ou bien de chasser les démons qui le poursuivaient après son accident de train survenu un an plus tôt et dont il sortit indemne. Cette nouvelle est également un joli conte de Noël, adaptée par Rodolphe pour la collection « Jeunesse » des éditions Delcourt. Un récit, qui aurai ...
"
Chronique : Grands soldats (Les) Les grands soldats [Gallimard]
Frédéric-Guillaume 1er, appelé aussi le « Roi-sergent », se mit en tête de moderniser l'armée prussienne, un des rares sujets qui semblât l'intéresser. Ce qu'il fit, comme le soulignent les auteurs en fin d'album, en incorporant aux troupes 40.000 mercenaires. Pour sa garde personnelle, il réforma le régiment des Grenadiers de Postdam, en intégrant, de gré ou de force, des géants pris aux quatre coins de l'Europe. Cathal Crann faisait partie de ceux-là.
À partir d'un fait historique étonnant et qui traduit autant la mégalomanie que la propension de certains chefs d'État à s'adonner à leurs petites obsessions, Laurent Rivelaygue propose un récit amusant qui fait suivre le destin d'un colosse imaginaire arraché d'Irlande pour satisfaire les caprices d'un grassouillet rustre et mal embouché. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, le baraqué rouquin dispose d'une nature lui valant la sympathie de qui le croise – hormis ceux qui le voient comme un concurrent aux faveurs de ...
"
Chronique : Tortuga -1- Tome 1
Île de la Tortue, 1662. Tortuga del mar, pour le colon espagnol qui la contrôle. L'Ankou, flibustier et principal empêcheur de despotiser tranquille, ayant été décapité, Don Valverde croit avoir définitivement la mainmise sur ce petit territoire perdu dans les Caraïbes. L'arrivée simultanée de la nièce du roi d'Espagne et d'un soi-disant négociant venu de Nantes va contrarier ses plans…
Impossible de ne pas penser au style Mignola en découvrant le trait d'Antoine Brivet et la mise en couleurs de Virginie Blanchet ! Que les réfractaires de la patte en question rejettent leur a priori et poussent un peu plus loin la curiosité, ils en seront récompensés. Le recours abondant au noir, découlant d'une valorisation d'ombres quasi omniprésentes, ainsi que le profil plutôt carré des « gueules » en présence, conviennent tout à fait pour transcrire leurs caractères et leurs relations. Mais les ténèbres n'envahissent pas pour autant le terrain, laissant découvrir quelques scènes se ...
"
Les oeuvres les plus folles et les plus chères sont à la FIAC
Voir la vidéo
Le marché de l'art ne connaît pas la crise. En témoigne la présence cette année à la Fiac de grandes galeries internationales désireuses de profiter de cette vitrine exceptionnelle. Une nouvelle fois, les professionnels osent tout en exposant les pièces les plus inattendues comme un champignon géant de Carsten Höller dont la valeur se veut tout autant hallucinatoire : 150.000 euros. L'évènement se tient jusqu'au 24 octobre 2010 au Grand Palais, dans la Cour Carrée du Louvre, ainsi qu'aux Tuileries. "
Ouverture du 13e sommet de la Francophonie
Pour la première fois en 40 ans d'histoire de la Francophonie, la Suisse accueille en grande pompe la plus haute instance de l'organisation, faisant raisonner au bord du lac Léman la voix de Francophones, minoritaires dans la confédération helvétique. | Views: 0 0 ratings | |
Time: 01:30 | More in News & Politics |
Jean-Michel Jarre en repérage pour son concert à Pau
Voir la vidéo
A l'approche de son concert, le dernier de sa tournée, prévu le 11 décembre 2010 au Zénith de Pau, Jean-Michel Jarre est venu prendre le pouls des lieux. La configuration de la salle l'inspire pour son show tout autant musical que visuel."
"La Princesse de Montpensier" : la nouvelle épopée de Bertrand Tavernier
Voir la vidéo
De passage à Dijon pour les 20èmes Rencontres cinématographiques, Bertrand Tavernier a présenté son nouveau film : 'La Princesse de Montpensier' dont la sortie en salles est programmée pour le 3 novembre 2010. Le réalisateur français, auteur d'une trentaine de films, nous emmène au XVIème siècle à la Cour de France et nous livre une histoire d'amour et de violence. Marie de Mézières sous les traits de Mélanie Thierry n'a d'yeux que pour le Duc de Guise joué par Gaspard Ulliel alors qu'elle doit épouser le Prince de Montpensier."
La 37e Foire internationale d'art contemporain
Paris accueille jusqu'à dimanche la 37e édition de la Foire internationale d'art contemporain. L'effervescence liée à cet évènement ne saurait toutefois cacher une réalité bien moins glorieuse : la France vient de perdre sa place de numéro 3 sur le marché de l'art. | Views: 0 0 ratings | |
Time: 01:12 | More in News & Politics |
Le budget des familles comme une peau de chagrin
Eglise de Giverny
La restauration de l'église de Giverny se termine. Depuis un mois, il est à nouveau possible de visiter l'intérieur de l'édifice, où les derniers travaux portent sur des fresques mises à jour à l'occasion de cette campagne de restauration complète. Des angelots peints sur la voûte de l'autel de la Vierge sont en train de retrouver leur fraîcheur du 17e siècle.
C'est la dernière tranche d'une remise en beauté de la petite église entreprise il y a trois ans. On a vu successivement le clocher, la toiture, les murs extérieurs se métamorphoser. Les entreprises hautement qualifiées ont remplacé, nettoyé, rejointoyé... Puis est venu le tour de l'intérieur, avec notamment une belle voûte en bois toute neuve au-dessus de la nef.
Le coût total avoisine le million d'euros. C'est une lourde charge pour la collectivité, mais l'ancienneté de l'édifice, son intérêt touristique aussi le justifient. L'église sainte Radegonde n'est pas un pur joyau de l'art roman ou gothique, mais elle offre le charme des églises de village, un mélange de traits architecturaux intéressants, d'histoire et d'intimité. Pour beaucoup de visiteurs, c'est l'occasion d'entrer dans une église villageoise, alors que la plupart sont fermées. C'est la déclinaison à petite échelle de la foi qui animait les bâtisseurs de cathédrales, à l'usage d'un groupe de paysans.
D'ici la prochaine saison, les échafaudages auront sans doute disparu. Les admirateurs de Claude Monet qui viennent se recueillir sur sa tombe dans le petit cimetière pourront à nouveau pousser la porte du sanctuaire pour découvrir ce lieu où, un beau jour de juillet, Monet avait conduit sa belle-fille Suzanne à l'autel.
Triple Play : les députés votent la hausse de la TVA sur les abonnements
France: Le Port des Salines et ses barques colorées - France
Click the image to open the interactive version.
"
France: Pêcheurs et phare de Saint-Gilles-Croix-de-Vie - France
Click the image to open the interactive version.
"
Prix littéraires d'automne : dernière ligne droite
Évidemment, on passera sous silence les accords entre éditeurs, l'un préférant tel prix et laissant à tel autre plus de chances pour celui-ci, quand celui-là serait convoité par untel, qui demandera à untel de lui céder ses 'actions' sur les membres du jury. Ah tiens, non, on ne l'a pas passé sous silence. Dans tous les cas, c'est tout bénef pour les jurés qui s'offriront un balthazar en guise de déjeuner. Tout particulièrement ceux du Goncourt, célèbre pour sa table accueillante.
Bref, l'agenda, est le suivant et le démarrage est prévu pour la fin de cette semaine
- Jeudi 28 octobre: Grand prix du roman de l'Académie française
- Mardi 2 novembre: Prix Femina, romans français, romans étrangers, essais
- Mercredi 3 novembre: Prix Médicis, romans français et étrangers
- Lundi 8 novembre: Prix Goncourt et Prix Renaudot
- Mardi 9 novembre: Prix Décembre
- Mardi 16 novembre: Prix Interallié
Dans ce tas, plusieurs noms reviennent, d'un prix à l'autre et les supputations vont bon train dans la presse. Quand on se souvient que la lauréate du prix roman Fnac était connue par son éditeur plusieurs semaines avant la délibération officielle, c'est vraiment pour donner du grain à moudre à la presse. Fichtre.
Alors, autant parler de ses auteurs favoris, et de ceux que l'on aimerait voir récompensés. Bon, Houellebecq, à la trappe, après tout, s'il n'a pas son Goncourt cette année, il fera tout de même un autre roman dans deux ans.
Ensuite, la romancière du moment, venue de Finlande, Sofi Oksanen, et qui compte parmi les auteurs nordiques qui seront à l'honneur pour le Salon du livre 2010, est en bonne voie, au Médicis et au Femina. Femina qui a connu quelques ratés, et de toute manière, nous prive du plaisir de voir Mikael Hirsch consacré.
En revanche dans nos derniers chouchous en date, Gonçalo Tavares est toujours là pour obtenir le prix Femina du roman étranger.
Pour les autres, dans le Renaudot, le livre de Salim Bachi reste une petite perle, avec les Amours et aventures de Sindbad le Marin, paru chez Gallimard. Courage, Salim, personne n'osera te le refuser...
"
Zahia Ziouani invitée par l'Orchestre régional de Cannes
Voir la vidéo
Elle est l'une des rares femmes chefs d'orchestre en France. Zahia Ziouani, 32 ans, dirige l'Orchestre régional de Cannes le temps d'un concert exceptionnel le dimanche 24 octobre 2010 au Théâtre Croisette. Au programme : des pièces classiques signées Franz Schubert, Camille Saint-Saëns ou encore Félix Mendelssohn-Bartholdy."
Romain Duris est "L'homme qui voulait vivre sa vie"
Voir la vidéo
Après le succès de 'L'Arnacoeur', Romain Duris est de retour sur les écrans dans un rôle plus sombre. Dans 'L'Homme qui voulait vivre sa vie' dont la sortie est prévue le 3 novembre 2010, le jeune comédien français interprète un avocat qui sera amené à tout quitter pour vivre la vie dont il rêvait."
Louis Chedid remonte sur scène aux "Nuits de Champagne"
Voir la vidéo
Après six ans d'absence, Louis Chedid célèbre son retour sur les planches aux 23èmes 'Nuits de Champagne' à Troyes lors de trois concerts les 25, 26 et 27 octobre 2010. La dernière soirée réunira Francis Cabrel, Alain Souchon, M, Jeanne Cherhal et La Grande Sophie pour une 'Fête à Louis Chedid'."
Ce site est éxlextique.
Il faut être curieux mais internet doit être suivi de plus de concret et de réaction sur le terrain.
Pas de gesticulation intellectuelle mais du travail en profondeur pour créer un édifice de solidarité.
Grand Corps Malade : 3e temps, album de velours
C'est doux, feutré, une belle voix grave, et ça donne envie d'être partagé. Les textes sont de velours, et l'on marche en faisant attention malgré tout. Les musiques donnent envie, on sent la vie, l'effort, l'humour et la hargne. Le tout avec un fond de richesse et de diversité.
Bon comme un vieux blues, à qui l'on aurait trouvé le jean parfait.
C'est définitivement une petite perle à déguster. On aime. On partage...
Bashung, l'imprudent
Nous étions en deux mille deux et le rock'n'roll, musique d'essence rebelle, triomphait partout. La «rock attitude» était devenue la plus consensuelle qui soit, elle n'effrayait plus les parents puisqu'ils l'avaient eux-mêmes transmise à leur progéniture. Pour les anticonformistes qui l'avaient véhiculée, le malaise était palpable. Bashung préférait oublier l'Amérique et se réfugiait dans les salons d'un Vieux Continent décadent, quelque part entre le surréalisme franco-belge et l'expressionnisme allemand. Dans L'Imprudence, Kurt Weill était bien là, mais on cherchait désespérément la trace de Buddy Holly. Pratiquement tout rappel de la culture rock avait disparu. Il n'en restait que la genèse, le souffle de cet harmonica à l'agonie. Le blues.
Il se définissait comme «bâtard» ou «autiste compositeur». Grâce à lui, le rock et la chanson française apprirent à s'aimer. Un portrait biographique d'Alain Bashung (1947-2009) réalisé à partir de ses obsessions musicales et d'entretiens inédits.
LES AUTEURS : Bruno Lesprit travaille depuis 1994 au Monde. Il a commencé à écrire sur les musiques populaires, rock et chanson, avant de devenir rédacteur en chef adjoint du service culture. Il a participé à l'ouvrage collectif Les Tubes de l'été (Flammarion).
Olivier Nue est journaliste musical au Figaro. Après avoir débuté aux Inrockuptibles, il a dirigé les pages musique d'Aden - supplément culturel du Monde, puis d'Epok, magazine de la Fnac. Chroniqueur sur France Inter («Système disque») et Paris Première («Ça balance à Paris»), il est l'auteur de biographies de Jim Hendrix et Neil Young (Librio)."
Paul McCartney : l'empreinte d'un géant
A contre-courant de cette approche caricaturale, cet ouvrage tente de dresser un plus juste portrait de Paul McCartney à travers une investigation passionnée dans son très riche parcours musical et artistique. Il revient en détail, disque après disque, sur les classiques, les perles méconnues, les expériences plus marginales, et tente aussi d'en démonter les rouages créatifs et les secrets de fabrication.
Hommage est ici rendu à l'extraordinaire curiosité d'un homme dont la musique reste la grande affaire d'une vie. Cinquante ans après ses premiers balbutiements musicaux, McCartney continue à produire des disques d'une inspiration sans cesse renouvelée et à remplir les stades du monde entier. S'investissant à l'occasion dans des oeuvres de facture classique, il offre aujourd'hui le profil assez inédit d'une icône du rock qui passe, mieux que tant d'autres, le cap délicat de l'âge de la retraite, sans ternir la mémoire d'un groupe qui nous est tout particulièrement cher, et en demeurant surtout un songwriter de génie.
L'OUVRAGE LE PLUS COMPLET À CE JOUR SUR L'UNE DES FIGURES MAJEURES DE LA MUSIQUE CONTEMPORAINE."
Paul McCartney : l'empreinte d'un géant
OLDIES... BUT GOLDIES !
Lorsque, il y a maintenant plusieurs années, j'ai entamé la rédaction des pages qui suivent, je n'avais pas pris la juste mesure de ce qui m'attendait. Sans doute la naïveté ayant accompagné ce premier élan était-elle nécessaire à m'y propulser sans état d'âme. Aujourd'hui, avec le recul du travail accompli, je me rends compte que j'étais tel la fourmi s'apprêtant à escalader la pyramide de Khéops sans autre atout que sa grande légèreté. La pyramide étant, vous l'avez compris, l'incomparable et tumultueux parcours d'un certain Paul McCartney, jadis bassiste des Beatles, puis leader de la météorite Wings et enfin musicien affranchi et libre de ses mouvements qui, à l'heure où s'écrivent ces mots, écume une fois de plus les plus grands stades des États-Unis devant un public ne se lassant toujours pas de l'entendre égrener des chansons qui hantent l'inconscient collectif depuis maintenant un demi-siècle.
Étant né en mars 1956, alors que le jeune Presley jetait à la face du monde son légendaire Heartbreak Hôtel, il ne m'est pas déplaisant de penser que cette coïncidence fasse de moi un pur enfant du rock, comme on a désigné cette génération ayant biberonné et grandi aux sons des guitares électriques, et baigné dans le bouillon de culture des sixties dont il n'est pas utile de rappeler ce que la musique populaire lui doit, et vice versa. J'ai donc poussé au beau milieu des ondes radio qui en diffusaient les refrains, sans rien trier de ce qui, pour le meilleur et pour le pire, illuminait mes journées de gamin insouciant. Dans ce flot mélodique, j'aimais naturellement les chansons des Beatles, mais sans plus m'en préoccuper que cela, bien trop accaparé par d'autres divertissements de mon âge. Ce n'est que tout juste après la séparation du groupe que leur disque Oldies But Goldies, acheté d'occasion à un copain de lycée, a mis le feu aux poudres. Cette déjà ancienne compilation de 1966 a provoqué un irréversible électrochoc dans mon cerveau préadolescent, et je ne cesserais dès lors de poursuivre jusqu'à plus soif la découverte des trésors d'inventivité musicale que les Beatles ont laissés derrière eux, et désormais, je les suivrais d'année en année et avec une indéfectible curiosité dans leur parcours en solo. Jusqu'à aujourd'hui, cette indomptable passion ne m'a jamais fait défaut. Elle a par ailleurs orienté le cours de mon existence, m'incitant à travailler très vite dans le milieu musical, puis, par extension, dans celui des loisirs, du cinéma et de l'édition. Dans ma vie, la musique des Beatles a toujours fait office de bonne étoile dont la luminosité m'aura généralement guidé avec un certain bonheur. Son évocation a provoqué bien des rencontres, et même généré quelques amitiés durables.
Ce récit volontairement synthétique n'a, j'en suis sûr, strictement rien d'unique. Il est même probablement assez banal. Pour peu que leurs origines sociales et leurs moyens le leur aient permis, bon nombre des gens de mon âge ont suivi des chemins similaires, cherchant par tous les moyens à vivre autrement, selon des préceptes souvent incertains. Tout sauf l'ennui et la routine. On voulait quoi ? Un monde meilleur... et des jobs sympas. Les multiples reportages décrivant l'influence sociale et culturelle de la musique des années 60 et 70 échouent le plus souvent à en traduire avec justesse l'impact émancipateur qu'elle aura eu sur ces générations. Portées par les vagues successives d'une pop/rock envoûtante et fédératrice, elles ne ressemblent, je le crois, ni aux précédentes ni aux suivantes. Coincées dans leur rêve, mais vite rattrapées par des réalités plus prosaïques, elles en ont toutefois conservé quelque chose qui leur est propre, une façon de s'inscrire dans le monde un peu à la marge, à la fois optimiste et naïve, avec un reste d'idéalisme aux contours un peu flous."
Carburants: sept départements encore en difficulté ce matin
'Sur 100 départements, sept sont encore en difficulté', a déclaré M. Borloo lors d'un point de presse à la mi-journée, avant de lister les départements affectés...
"CONTREO & ORCHESTRE DE BRETAGNE - Oh I Wish
Contreo et l'Orchestre de Bretagne nous livre une jolie composition symphonique. | Views: 1888 2 ratings | |
Time: 06:00 | More in Music |