Eric Woerth avait le triomphe modeste, ce samedi matin à la radio : non, il n'y a ni vainqueur, ni vaincu… Comment peut-on penser en ces termes, plaidait le ministre du Travail après l'adoption au Sénat, vendredi soir, de « sa » réforme des retraites. Ce discours lénifiant était d'autant plus énervant qu'il est le premier à savoir qu'il est faux
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