mardi 22 mars 2011

C'est lassant d'expliquer depuis le 16 janvier 2009 pourquoi je suis sur internet.

J'ai écrit 23 lettres à la mairie de Rouen dont une seule réponse de madame le maire de Rouen valérie me conseillant d'aller voir et contrôler mes dires.je me demande si les élus lisent ou savent lire le courrier,sinon depuis longtemps j'aurai créé ma structure informative avec des étudiants pour créer un gros centre pour aider des associations et des causes humanitaires.Je ne vais pas dévoiler mon idée pour qu'une ville ou un commerçant en profite sur le dos  d'une cause.
J'avais l'idée que des stages rééls  soient montrés sur internet et buzzés pour engendrer des recettes.Ainsi les travaux montrés seraient des rééls devoirs et non des copies jugées par un simple jury universitaire.Je ne vais pas dévoiler cette idée révolutionnaire car je dois toujours prouver depuis le 16 janvier 2009 mes capacités intellectuels et de création.
Je remercie mes visiteurs et les sites qui se sont affiliés sur mon reader  pour travailler réllement.Je ne suis pas là pour fantasmer,car je pais 30 euros pour 20 heures pour être dans un lieu public pour rencontrer des gens.
malheureusement je ne peux pas travailler en dehors des heures de travail sur un ordinateur de la ville  hors la cyberbase de la grand mare.
Tout le monde sait ce que je peux faire depuis mon mois d'octobre 2009 sur acebook et maintenant depuis le 10 mars 2010 sur twitter,j'envoie des emails rééls pour des résultats concrets.
la ville de Rouen et paris Normandie renvoient mes emails et se foutent de mes visites  et des entretiens.Je ne les intéressent pas car je ne  les lèche pas les bottes,je ne les flattes pas,je dis bravo quand j'approuve et je le dis  quand je ne suis pas d'accord.
Bizarrement j'ai mon troisième accident à la ciberbase rue de la république,le patron souvent absent ,s'en fout que l'on le cite dans twitter pour que des personnes puissent me voir et dialoguer,car un ouvrier doit se plier à un technicien dont son site ne sait pas buzzer (comme un chausseur ne sachant pas chausser,un coiffeur ne sachant pas coiffer!).C'est fatiguant,ce soir j'ai du refaire trois fois mon travail car l'ordinateur 10 qui ne ramait pas d'habitude rame à présent!
certains diront qu'un ordinateur ramant près de la Seine,c'est normal,mais qu'un patron laissant aux mêmes heures des stagiaires,depuis une semaine,c'est bizarre!En plus je ne dois rien dire,je paies et je dois la fermer,le patron a du travail,moi je m'amuse!
Bizarre Rouen!
J'avais confiance envers certaines personnes,mais ils m'envoient des vidées de la CREA qui ne travaillent pas avec moi,un reportage de France3  Nenni aussi,ce sont les anglo saxons,lmes bretons,les alsaciens qui m'épaulent beaucoup.Je ne travaille pasd avec des fantasmeurs mais avec des personnes travaillant pour informer,aider des associations et des causes humanitaires.
la mairie depuis le 16 janvier 2009 appelle ce travail un blog!!!!!?????

Jean Luc Moreau au théâtre avec "Illusion conjugale"

Jean Luc Moreau au théâtre avec "Illusion conjugale": "Jean Luc Moreau au théâtre avec

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Jean-Luc Moreau n'a pas toujours été LE metteur en scène tel qu'on le connaît. Avant ça, il a suivi des cours au conservatoire national d'art dramatique où il obtient très rapidement deux premiers prix : celui de la comédie classique et celui de la comédie moderne. En 1969, il intègre la Comédie française jusqu'en 1972 où il n'interprète pas moins de 25 pièces classiques. Jean Luc Moreau enchaine les succès... 32 pièces où il a joué et plus de 70 pièces ont été mises en scène sous sa direction. Dans 'L'illusion conjugale', Jean Luc Moreau joue le rôle de Maxime qui forme un couple harmonieux avec Jeanne (Isabelle Gélinas) jusqu'au jour ou ils décident de s'avouer certains petits écarts... Et c'est le début d'une grande remise en question de leur couple sur fond de suspicion et de jalousie ...

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Georges Brassens à la cité de la Musique à Paris

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Ah! la Jeanne ('La canne de Jeanne', album 'Le Vent' de 1953), repasseuse de 30 ans son aînée; et Marcel Planche, peintre en carrosserie, 'L'Auvergnat' (extrait des 'Sabots d'Hélène', album de 1954) au grand coeur..; sans oublier 'Le gorille' et combien d'autres en tant d'année de carrière ! La Cité de la musique a voulu, au-delà des images stéréotypées, faire découvrir sous un angle inédit et parfois surprenant l'oeuvre de Georges Brassens. Elle a demandé au dessinateur et auteur Joann Sfar (le père du 'Chat du Rabbin' mais aussi réalisateur d'un premier long-métrage consacré à Serge Gainsbourg) ainsi qu'à la journaliste Clémentine Deroudille, de transmettre leur passion pour l'artiste. Les commissaires proposent un parcours à la fois ludique et didactique, incitant à la déambulation au milieu d'une forêt d'arbres. Où le public découvrira de nombreux documents inédits, manuscrits et carnets exceptionnellement confiés par la famille et les proches du chanteur, mais également des sons d'archives, images télévisuelles, photographies, guitares. Ou l'on retrouve notamment des documents de Georges avec Jeanne et Marcel dans leur petite maison de l'impasse Florimond, à Paris, cohabitant de façon plus qu'improbable pendant plus de 20 ans. Et pour Clémentine Deroudille, à coup sûr, Georges Brassens 'c'était LE punk de l'époque... !'.
Cet évènement s'inscrit ans la continuité de plusieurs expositions visant à éclairer le parcours de figures emblématiques de la scène musicale du XXe siècle, en France et à l'étranger, comme 'We want Miles (Davis)' (2009), 'Gainsbourg 2008', 'John Lennon, unfinished music' (2005), 'Pink Floyd Interstellar' (2004), ou encore 'Jimi Hendrix Backstage' (2003).

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Omar El Nagdi, le cubiste des pyramides à Fécamp

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Omar El Nagdi est né au Caire en 1931. Diplômé de l'académie égyptienne des beaux-arts appliqués, il s'intéresse très vite aux diverses techniques artistiques traditionnelles en allant étudier la céramique en Russie, la mosaïque à Ravenne puis la sérigraphie à Maastricht. A partir des années soixante-dix, le peintre entame une période de méditation soufie et oriente son travail vers l'abstraction. Parallèlement à ce travail artistique, il oeuvre à la télévision égyptienne pour laquelle il produit une trentaine de documentaires. Omar El Nagdi est considéré comme l'un des chefs de file du renouveau de l'art oriental. En 1994, l'Institut du monde arabe lui avait consacré une large exposition. Ses oeuvres sont exposées dans les musées du Caire, de Venise, d'Alexandrie et à la Bibliothèque nationale de Paris.

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Jean-Baptiste André dans "Qu'après en être revenu"

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Le Prato accueille le 22 Mars 2011 Jean Baptiste André et sa 'troupe', trois acrobates-danseurs et un musicien pour une représentation d'une heure. 'Qu'après en être revenu', est le nom de leur nouveau spectacle 'complet' qui allie musique, danse et cirque. La représentation s'axe autour de l'exploration polaire et de la résistance des corps dans les milieux extrêmes. Jean Baptiste André fonde en 2002 l'association 'W' qui a pour but de favoriser la transversalité entres les arts et de faire le trait d'union entre ses différentes formes.

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Strasbourg : Des oeuvres d'art mises en cuves, comme du bon vin

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Peut-on mettre l'art en bouteille ? L'ancienne Coop offre, depuis dix ans, au collectif d'artistes alsaciens Helicoop, un terrain de jeu inédit pour repousser les frontières de la création. Cette exposition éphémère dans d'anciennes cuves à vin offrent un bel aperçu des champs d'expérimentation explorés par ces artistes du cru. Dans cette forme nouvelle d'expositions pour spectateurs troglodytes, la visite de la Cathédrale d'images des Baux-de-Provence offrait jusqu'ici aux visiteurs des conditions d'accès nettement plus confortables, mais la justice administrative a décidé en septembre dernier d'y mettre un terme à la demande de la commune qui souhaitait récupérer les carrières pour les exploiter à son compte. Outre les expositions troglodytes organisées toute l'année à Saumur et dans le Val de Loire, Il reste donc les catacombes de Paris, toujours interdites dans leur majeure partie au public, mais qui recèlent d'oeuvres improvisées par des artistes très 'underground'. On peut notamment y découvrir dans les carrières du 14ème arrondissement des oeuvres de Jérome Mesnager, l'esprit fantôme de l'art urbain, ou de Miss-Tic, l'artiste aux pochoirs qui aiment jouer avec les mots.

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David Grimal : dans la vie d'un grand violoniste

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Un mot d'abord sur le musicien qui n'a pas suivi un cursus tout à fait classique. Papa Grimal était égyptologue, le petit David a donc vécu cinq ans en Egypte. C'est aussi à cet âge qu'il a commencé le violon au Caire. Son professeur âgé de 80 ans avait été le professeur de guitare de Claude François, ça ne s'invente pas ! Après cette première approche, il apprend les notes à onze ans, devient élève au Conservatoire de Paris en parallèle à ses études générales (il fera même Sciences-Po mais seulement quelques mois et en dilettante).
Un jour, il rencontre le violoniste Philippe Hirshhom. C'est le déclic. A partir de là, David Grimal va trouver sa personnalité, sa sonorité. Aujourd'hui, il est reconnu comme un excellent violoniste, pas seulement pour sa technique mais pour sa capacité à s'engager et à vivre la musique. Selon les puristes, il est un des rares à pouvoir interpréter ces Sonates et Partitas de Bach dans leur intégralité, avec virtuosité et profondeur.

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Joan Miro et ses scupltures au musée Maillol

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La dernière exposition parisienne des oeuvres sculptées de l'artiste catalan remonte à 1974, elle avait été organisée par le Musée d'art moderne de la Ville de Paris. Joan Miro, qui est né à Barcelone en 1893, et mort en 1983, commence à pratiquer la sculpture durant l'entre-deux guerres, le peintre procède par assemblages. Il explique vouloir rompre avec les méthodes traditionnelles de la peinture, rompre avec l'esthétisme et tous les canons artistiques pour les tuer, les assassiner ou les violer. C'est à partir de 1944, que l'oeuvre sculptée de l'artiste catalan prend véritablement une autre dimension avec l'utilisation du bronze et de ses différentes patines ou le recours aux acides qui lui rendent sa palette de peintre. La fondation Maeght à Saint-Paul de Vence, héritage des oeuvres acquises par le collectionneur et galeriste Aymé Maeght, possède la quasi-totalité des oeuvres de Joan Miro et notamment 'Le Labyrinthe', un jardin de sculptures composé d'une vingtaine d'oeuvres. La femme, les constellations, la lune ou les oiseaux semblent être des thèmes récurents dans son travail. A Paris, au musée Maillol ce sont une centaine de sculptures, des céramiques, des oeuvres sur papier et sur toile qui sont présentées au public jusqu'au 31 juillet 2011.



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Didier Lockwood clôt le festival Jazz up

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Lors de cette 4ème édition du festival 'Jazz'up' , Didier Lockwook a rendu un hommage poignant à Stéphane Grapelli, son 'maître musical', autour d'un grand répertoire classique et de compositions originales. L'homme aux 3000 concerts, 3 tours du monde et 30 albums était accompagné du jeune guitariste Adrien Moignard et du contrebassiste Diego Imbert. Didier Lockwood a présenté pour ce concert une pièce solo consacrée au film 'Tous les violons du monde' qu'il tournera dans les prochains mois sous la direction de Tony Gatlif.


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Pierre Perret était-il l'ami de Paul Léautaud ?

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La justice s'est accordée deux jours pour tenter de démêler le faux du vrai dans cette affaire.
En janvier 2009, la journaliste Sophie Delassein avait publié le fameux article mettant en cause le chanteur populaire et ses relations présumées avec l'écrivain Paul Léautaud. La journaliste allait même plus loin en accusant Pierre Perret de piller les oeuvres de Georges Brassens et d'autres poètes pour ses paroles de chansons. Le chanteur qui a toujours affirmé ses liens d'amitié avec l'écrivain rencontré à Paris dans les années 50, brandit pour preuves de sa bonne foi la dédicace d'un ouvrage signé de la main de Paul Léautaud. La justice n'aura pas à se prononcer sur le niveau d'amitié entre les deux hommes, ni même sur le fait qu'une rencontre ou une dédicace puisse constituer une preuve d'amitié, elle devra dire si la journaliste Sophie Delassein a injurié publiquement et diffamé Pierre Perret.

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50 figures de la pensée exposées aux Beaux-Arts de Lille

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'Aux grands penseurs, l'humanité reconnaissante' tel aurait pu être le titre de cette exposition reprenant à son compte la maxime frappée au fronton du Panthéon. Pour rendre les traits de cette pensée judéo-chrétienne, quelques uns des plus grands noms de la peinture du 17ème siècle ont été convoqués : Diego Vélasquez, Jusepe de Ribera, Luca Giordano, Salvator Rosa ou encore Hendrick Ter Brugghen. Face à eux, ou plutôt entre leurs pinceaux, Saint-Jean-de-la-Croix, Démocrite, Héraclite, Saint-Thomas, Jésus, René Descartes ou encore Archimède. Travail sur l'expression, sur les attitudes ou sur la lumière, l'idée qui guide ce siècle d'or est de rendre l'image d'une pensée en action.

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Stanley Kubrick, l'exposition à la Cinémathèque française

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Décédé en mars 1999 dans son manoir britannique de Childwickbury où il vivait plus ou moins reclus, Stanley Kubrick avait - bien avant sa mort - déjà rejoint le panthéon des légendes du cinéma qui compte beaucoup d'actrices et d'acteurs mais finalement peu de réalisateurs, seuls Orson Welles ou Terrence Malick sont considérés comme de la même trempe.

En seulement une douzaine de films, l'Américain Kubrick a bâti une oeuvre sur laquelle simples spectateurs, fans absolus, historiens du cinéma et critiques continuent de s'interroger et aussi souvent, de se déchirer...

Outre sa nature notoirement secrète, Stanley Kubrick a bâti son oeuvre et son mythe via sa réputation de perfectionniste obsessionnel, accordant une attention maniaque à tous les aspects de ses films ce qui explique que leur réalisation fut souvent interminable, exaspérant ainsi les producteurs et épuisant les artistes.

Heureusement ou malheureusement, il semble qu'on ne disait pas non aux exigences du réalisateur.

Un exemple parmi beaucoup d'autres, l'actrice Shelley Duvall dut refaire plus de cinquante fois certaines prises sur le tournage de 'Shining', une épreuve quand on sait ce que son personnage doit traverser dans le film. Bien que le film soit un des plus célèbres de Kubrick et le seul véritablement connu de l'actrice, Duvall déclara à plusieurs reprises que si elle avait su ce que lui réservait le tournage, elle n'aurait jamais accepté...

De son côté, Sue Lyon, l'interprète de 'Lolita' a affirmé que le film avait purement et simplement détruit sa vie... Mais devant ses réticences, Kubrick objecta à la comédienne qu'on n'obtenait rien de grand sans souffrance...

Scénario, dialogues, décors, costumes, musique, éclairages, (les plans uniquement éclairés à la bougie de Barry Lyndon sont entrés de longue date dans l'histoire du Septième art), rien n'échappe à Kubrick et les rumeurs les plus folles ont toujours entouré la gestation de ses films.

Toutefois quand le réalisateur disparait à seulement 70 ans, son dernier film 'Eyes Wide Shut' sort dans la plus grande perplexité, certains n'hésitant pas à parler ouvertement d'imposture...

Le cinéaste a emporté avec lui nombre de ses secrets mais outre ses films, il a laissé de nombreuses traces de leur énigmatique et laborieuse conception, c'est cela qui est à découvrir dans l'exposition présentée à la Cinémathèque.







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The Shoes et Esser en live avec "Stay the same"

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Champagne ! Après 2 ans, une poignée de singles dont l'uppercut 'America' (hymne de la blogosphère en 2009), le très entêtant 'People Movin' avec Primary 1 (single of week dans le NME et la bande son du dernier défilé de JC de Castelbajac) ou encore 'Bored' (synchronisé dans la série Gossip Girl), de nombreux remixes (Etienne Daho, Shakira, Santigold) et des concerts aux quatre coins du globe ; The Shoes sort ce premier album tant attendu 'Crack My bones'. Ce duo (Guillaume Brière et Benjamin Lebeau) coqueluche de l'Angleterre et membre de la grande confrérie Rémoise avec leurs potes de studio Yuksek, Brodinski ou autre Bewitched Hands sera accompagné en live par Esser pour interpréter l'addictif 'Stay The Same'.


[THE SHOES - 'Crack My Bones' (G.U.M)]

Tout au long de la semaine, les personnalités du monde de la culture sont aux côtés de Frédéric Taddeï pour débattre des différents thèmes marquants de l'actualité et mettre en perspective les enjeux d'aujourd'hui et de demain dans Ce soir (ou jamais !), l'émission culturelle qui marque la différence.

Retrouvez la vidéo intégrale, les coulisses, la playlist et tous les lives de l'émission sur le site de Ce soir ou jamais

Retrouvez les lives de Ce soir ou jamais sur culturebox"

Androgynous - The Replacements cover

'81 - Joanna Newsom cover

Tightrope - Yeasayer cover

Cannibal Resource - Dirty Projectors cover

Fake Empire - The National cover

The Runaways - Cherry Bomb

Cherry Bomb - Joan Jett

Androgynous - The Replacements cover

Zebra - Beach House cover

Sonny and the Sunsets - Too Young To Burn

Inquietude (Trailer)

Bande annonce "L'étrange affaire Angélica"