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mercredi 10 août 2011
Deux expositions Artaq, à voir encore jusqu’au 18 septembre
Salle Chemellier, on peut voir les œuvres des lauréats des 2e Artaq Awards. 572 candidats du monde entier s’étaient présentés, 112 ont été sélectionnés. Les œuvres exposées présentent ainsi un panorama des artistes qui participent à l’évolution des arts urbains, dans différentes disciplines et sous toutes les formes : tag, pochoir, wall painting, peinture sur toile, sculpture, digital…
De son côté, l’abbaye du Ronceray présente les partis pris esthétiques de trois artistes, ce qui permet d’apprécier l’importance des choix techniques dans le processus de création : Okuda (Espagne) crée un monde très coloré et spectaculaire en mixant l’aérosol, les techniques digitales et le graphisme ; San (Espagne) raconte les histoires de la vie quotidienne en peinture et en dessin ; Yoh Nagao (Japon) crée, avec la technique du collage, un monde joyeux combinant les cultures japonaise et occidentale. À voir aussi, dans la cour des Arts-et-Métiers, accessible par l’abbaye, quelques créations réalisées lors des performances de mai.
À ces expositions s’ajoute une réalisation Artaq visible en permanence : l’ascenseur du centre Jean-Vilar, orné de slogans et dessins lors d’un atelier avec des habitants du quartier. A voir en vidéo : http://www.angers.fr/actualites/videos/index.html?tx_angersvideos_pi1%5Bvideo_id%5D=607
Expositions jusqu’au 18 septembre, de 10 h à 18 h 30, gratuit. Tout sur Artaq 2011 en vidéo : http://www.angers.fr/actualites/videos/index.html?tx_angersvideos_pi1%5Bvideo_id%5D=606"
Sculptures sonores de Maurizio Toffoletti à la Mairie du 6ème
Du mercredi 24 août au vendredi 23 septembre, la Mairie du 6ème arrondissement accueillera dans son salon du Vieux-Colombier une exposition consacrée au sculpteur italien Maurizio Toffoletti intitulée 'Sculptures sonores'.
Né à Lecce dans la région des Pouilles en 1961, Maurizio Toffoletti fréquente l'Institut d'Art de cette ville du sud de... Lire Sculptures sonores de Maurizio Toffoletti à la Mairie du 6ème
Habemus Papam, nouveau film de Nanni Moretti.
Dans les salles, à partir du 7 septembre 2011 jeu-concours (prochainement)
Après la mort du Pape, le Conclave se réunit afin d’élire son successeur.
Plusieurs votes sont nécessaires avant que ne s’élève la fumée blanche.
Enfin, un cardinal est élu !
Mais les fidèles massés sur la place Saint-Pierre attendent en vain l’apparition
au balcon du nouveau souverain pontife. Ce dernier ne semble pas prêt à supporter
le poids... Lire Habemus Papam, nouveau film de Nanni Moretti.
Cy Twombly - Le temps retrouvé
Décédé début juillet dernier, l'artiste américain
Cy Twombly avait réalisé en 2007 à Avignon la sublime
exposition "Blooming" pour laquelle il avait spécialement créé un
cycle d'immenses peintures autour des pivoines et de leur poésie
très japonaise. Généreux, il a souhaité s'impliquer en 2011 dans
une expérience nouvelle avec la Collection Lambert, à la fois comme
artiste invité en tant que photographe et commissaire associé.
Cette exposition est à découvrir jusqu'à fin octobre."
Drew Davies rhythm combo joue "Pour l'amour du jazz"
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Le meneur de la bande, c'est un Gallois installé à Reims depuis 2000 : Drew Davies qui assure le chant et le saxophone. A ses côtés, on trouve Pascal Fouquet à la guitare, Fabien Aussaye au piano, Thibaut Chopin à la contrebasse, Simon Boyer aux percussions, et parfois Jean-Marc l'Abbé au sax baryton. La spécialité de ce 'Drew Davis rhythm combo' : les vieux standards du jazz et du rhythm and blues comme les tubes de Louis Prima ou Louis Jordan. Le dernier album du groupe intitulé 'Wild man walk' est sorti en juin 2010.
Drew Davies et ses compères délivrent leur enthousiasme communicatif dans de nombreux clubs et participent à plusieurs festivals en Europe comme le 'Jazz Ascona' en Suisse ou le 'Breda Jazz Festival' aux Pays-Bas. On les voit souvent au Caveau de la Huchette à Paris. Ils assurent souvent la première partie du chanteur et pianiste Mike Sanchez.
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Toutes les vidéos sur les festivals été 2011"
Julie Sevilla-Fraysse aux Rencontres de violoncelle de Belaye
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Durant une semaine, chaque été, des instrumentistes de très haut niveau viennent jouer et parler violoncelle à Bélaye autour du directeur artistique et musicien Roland Pidoux. En plus des concerts, des ateliers et des rencontres sont organisés avec les artistes. Parmi eux, la violoncelliste Julie Sevilla-Fraysse, lauréate du Concours Brahms en 2010. Elle a également reçu le Prix d'interprétation du concours Charles Henné avec le trio Werther avec qui elle a tourné cette année, notamment en Israël et au festival de La Roque d'Anthéron.
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Le pianiste Jean-Claude Cottier regarde dans le Ciné-rétro
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Pianiste, Jean-Claude Cottier est aussi compositeur. Un atout indéniable pour être en mesure d'improviser devant de grands films muets. Cet univers lui a d'ailleurs inspiré un album : 'Paris 1920', dédié aux musiques de la belle Epoque et à son cinéma. Mais le musicien a signé sept autres CD dont 'Le Piano ivre', sa première oeuvre écrite pour un spectacle consacré à Rimbaud et plusieurs albums édités avec la chanteuse polonaise Beata Gasiorowska.
Jean-Claude Cottier a pour spécialité l'accompagnement en direct pour la chanson, le cinéma et le théâtre. Il se produit régulièrement en France et en Europe, mais aussi au Québec.
Depuis 1990, l'artiste qui pratique aussi la photographie, l'écriture et la peinture dirige la compagnie Bach (pour Bourgogne Arts Cultures Harmoniques) dont il est aussi le fondateur. Elle propose des ateliers de piano, de chant et de théâtre.
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Les géants de bois de Christian Lapie exposés à Metz
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Né à Val-de-Vesle, Christian Lapie sculpte dans le bois principalement, des formes qui symbolisent l'être humain. Son art est sollicité aux quatre coins de la planète. Sa carrière s'est essentiellement faite à l'étranger, notamment au Japon, en Australie, au Brésil, en Belgique et surtout en Allemagne et en Suisse.
Les figures carbonisées de l'artiste ont un aspect spectral.
Cet été 2011, les imposantes sculptures de Christian Lapie ont investi le Château d'Ardelay et le Val de la Pellinière.
Ses figures sont extraites d'imposants troncs d'arbres qu'il choisit pour la rectitude de leur fût, puis il les taille à la tronçonneuse en forme humaine.
Aucune signification n'est délivrée, seule la brutalité d'une masse noire et muette.
Christian Lapie est l'auteur du Mémorial de la déportation des juifs du Parc de Sceaux.
Dans la Marne, une de ses oeuvres est exposée dans la cour centrale du musée des Beaux-arts de Reims.
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Exposition Vincent Barré au musée Malraux
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A l'origine de cette exposition temporaire de près de 70 oeuvres de l'artiste, l'intérêt de Vincent Barré pour deux petites natures mortes du XVIIème siècle du peintre alsacien Sébastien Stoskopff issues des collections du musée. Pour le sculpteur, ces représentations d'objets du quotidien illustrent 'un art de vivre du peu' et incitent à 'penser largement.' Deux aspects qui dit-il, font écho à son travail autour d'une esthétique de l'épure et du monumental.
Architecte de formation, Vincent Barré, aujourd'hui âgé de 63 ans, s'efforce de contextualiser chacune de ses oeuvres dans un paysage géométrique, le cadre où il peut exprimer son goût pour les matériaux. Dans son atelier de Saint-Firmin-des-Bois dans le Loiret, il cherche à 'figurer des forces plutôt que des formes', explique-t-il. Il façonne du fer, de l'aluminium, de l'acier découpé, mais aussi de la terre, du caoutchouc et du papier ou encore des grès de Sèvres. Depuis trente ans, il consigne ses recherches et ses notes de voyage dans des carnets de croquis présentés en début d'exposition dans un 'cabinet de dessins.'
Vincent Barré, formé à l'école des Beaux-Arts de Paris en 1967 puis auprès de Louis Kahn à Philadelphie en 1973, a exercé l'architecture jusqu'en 1982 avant de se consacrer entièrement à la sculpture qu'il enseigne à l'école des Beaux-Arts de Paris.
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Chomo, tête d'affiche de l'art brut à Mauriac
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La carrière de Roger Chomeaux, dit 'Chomo', aurait pu suivre une trajectoire classique : passionné de dessin, de poésie et de modelage, il fera les Beaux-Arts de Valenciennes et de Paris où il gagnera plusieurs prix. Marié, père de trois enfants, il devient décorateur de tapis. Un parcours on ne peut plus classique. Survient la guerre, il est mobilisé, fait prisonnier puis déporté en Pologne. A son retour en France, il exerce plusieurs petits métiers, car il n'arrive pas à faire vivre sa famille en exerçant son art. Pendant l'Occupation, sa femme avait acheté un terrain à Achères la Forêt en pleine forêt de Fontainebleau. C'est là qu'il choisit de vivre seul, dans le dénuement le plus total. Un dénuement qui va donner naissance à son art car Chomo doit trouver sur place les matériaux qui vont servir de base à ses créations. Il explore les sous-bois et les décharges publiques, développe la technique du bois-brûlé, fait fondre le plastique, travaille le grillage. Pour abriter ses créations, il construit des bâtiments. A terme, cela deviendra le Village d'Art Préludien. Les samedis et les dimanches, il accueille les visiteurs. Ceux qui apprécient son art n'ont pas d'autres choix, car Chomo n'exposera qu'une seule fois en 1960 à la galerie Jean Camion à Paris, durant six semaines. Une exposition qui attirera 40 000 visiteurs, et où l'on pouvait écouter une musique composée par Chomo lui -même. André Breton et les surréalistes salueront cet artiste singulier, un honneur dont il n'aura cure. C'est peut-être ça un 'artiste total'.
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Le design de Sylvain Dubuisson au Musée des Beaux-Arts de Limoges
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Avec ses lignes pures et ses éléments de porcelaine, de bois et de voilage, la 'Haute Sphère' de Sylvain Dubuisson est un écrin pour une spiritualité discrète. Dans cette grotte d'un blanc immaculé d'où s'échappent des chants araméens, prend place un anneau aux trois couches d'or semblant symboliser l'enfant Jésus. Cette oeuvre commandée au designer, mais créée par la maison Bernardaud, a été exposée en décembre 2010 à l'Eglise de la Madeleine à Paris.
Poésie et sobriété émanent également de ses autres pièces : un tapis, un stylo, une poignée de porte ou encore un bureau qui a valu à son créateur, le 'Grand prix national de la création industrielle' en 1990. Jack Lang, alors ministre de la Culture, en avait commandé un exemplaire pour son bureau, rue de Valois.
On découvre aussi une lampe au curieux nom : 'Beaucoup de bruit pour rien'. L'objet fait de lames de rasoir, d'un élastique et d'une carte postale peut sembler simple, mais il est conçu avec une grande rigueur mathématique. Il faut dire que son auteur s'est nourri d'une grande curiosité pour les sciences à laquelle il a ajouté des connaissances classiques et littéraires.
Sylvain Dubuisson est né en 1946 à Bordeaux, il est issu d'une famille d'architectes reconnus. Petit-fils d'Emile Dubuisson et fils de Jean Dubuisson qui a notamment participé à la construction du Musée national des arts et traditions populaires à Paris, le jeune Sylvain sort en 1973 de l'Ecole supérieure d'architecture de Saint-Luc de Tournai, en Belgique, son diplôme en poche. En 1980, il s'installe indépendamment et commence à développer un style personnel et sobre à l'encontre d'une génération qui émerge alors et qui puise dans le street art et la bande dessinée.
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Dan ar Braz et Carlos Nunez en ouverture du festival de Confolens
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Le festival des arts et traditions populaires de Confolens parcourt le monde à sa manière depuis 54 ans, il s'agit de l'une des plus anciennes manifestations culturelles de Charente. L'idée est de faire du folklore sans ringardise, en mélangeant les styles et les cultures. Le Mexique fait l'objet d'une attention toute particulière cette année (malgré l'affaire Florence Cassez...) avec de nombreux artistes invités dont de jeunes universitaires qui préparent une grande fiesta spécialement pour l'occasion depuis plus d'un an. Les organisateurs s'efforcent aussi de faire découvrir des cultures méconnues comme les Esquimaux de Tchoukotka ou la danse des ciseaux de l'ensemble Hermanos Chavez du Pérou. En tout, ce sont 480 artistes venus de 14 pays qui participent au grand voyage culturel de Confolens cet été.
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"La Guerre est déclarée" contre la maladie, un film de Valérie Donzelli
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A 38 ans, Valérie Donzelli aime faire preuve d'audace. Simplement armée d'un appareil photo numérique, elle a choisi de raconter ce qu'elle a vécu avec son ancien compagnon Jérémie Elkaïm lorsqu'ensemble, ils ont déclaré la guerre à la maladie de leur propre enfant. A l'écran, le jeune couple qui erre dans les couloirs d'hôpitaux, va se confronter au pire, mais aussi passer à l'âge adulte.
Ce film co-écrit et co-interprété avec Jérémie Elkaïm pourrait être une tragédie, mais en réalité, c'est un hymne à la vie.
Valérie Donzelli n'en est pas à son coup d'essai derrière la caméra. Dans 'La Reine des pommes' sorti en 2009, elle avait fait d'un chagrin d'amour, une comédie musicale humoristique.
Dès le mois d'octobre, elle attaque le tournage de son troisième film. On ne connaît pas encore le titre, mais on sait qu'il y sera question du monde de la danse. L'un des personnages principaux, la directrice de l'Opéra de Paris, sera incarnée par Valérie Lemercier.
Valérie Donzelli est aussi actrice et enchaîne les rôles. Entre le début de l'année et la fin de l'été 2011, elle est à l'affiche de cinq films dont 'L'Art de séduire' de Guy Mazarguil et 'Pourquoi tu pleures?' de Katia Lewkowicz. La jeune femme a fait ses débuts au cinéma il y a dix ans dans 'Martha, Martha' de Sandrine Veysset avant de tourner pour Guillaume Nicloux, Anne Fontaine ou Gilles Marchand.
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