jeudi 28 avril 2011
Cesaria Evora
Cesaria Evora: "
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Francis Cabrel, toujours sur les chemins de traverse
Francis Cabrel, toujours sur les chemins de traverse: "
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En décembre 2010 et après 33 années de carrière, le chanteur Francis Cabrel s'est vu remettre la Grande Médaille de la chanson française par l'Académie française. Depuis son premier album sorti en 1977, le chanteur a vendu près de 25 millions de disques. Natif du Lot-et-Garonne, c'est sur ses terres d'enfance à Astaffort, près d'Agen, qu'il a fondé en 1992 l'association 'Voix du sud' qui s'occupe de la formation professionnelle des jeunes auteurs avec des parrains comme Renan Luce, Maxime Leforestier, Thomas Dutronc ou Emilie Loizeau pour animer ces rencontres bi-annuelles. Paralèllement à ses activités liées à l'association, Francis Cabrel prépare un nouvel album de composition personnelle annoncé pour 2012.
- A voir aussi sur Culturebox :
- Nos vidéos sur les chanteurs français
- Francis Cabrel enchante Nice
- Le Papotin, livre atypique, interview de Marc Lavoine
- Mort de Claude Chabrol : Isabelle Huppert raconte 30 ans d'un duo unique au cinéma
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En décembre 2010 et après 33 années de carrière, le chanteur Francis Cabrel s'est vu remettre la Grande Médaille de la chanson française par l'Académie française. Depuis son premier album sorti en 1977, le chanteur a vendu près de 25 millions de disques. Natif du Lot-et-Garonne, c'est sur ses terres d'enfance à Astaffort, près d'Agen, qu'il a fondé en 1992 l'association 'Voix du sud' qui s'occupe de la formation professionnelle des jeunes auteurs avec des parrains comme Renan Luce, Maxime Leforestier, Thomas Dutronc ou Emilie Loizeau pour animer ces rencontres bi-annuelles. Paralèllement à ses activités liées à l'association, Francis Cabrel prépare un nouvel album de composition personnelle annoncé pour 2012.
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Sandrine Bonnaire, des deux côtés de la caméra
Sandrine Bonnaire, des deux côtés de la caméra: "
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Pour les cinéphiles qui ont en mémoire les premiers films de Sandrine Bonnaire dans les années 80, elle conserve aujourd'hui encore cette image séduisante de jeune femme spontanée et sensuelle, mais également fragile et radicale.
Entre 'A nos amours' de Maurice Pialat en 1984 et 'Sans toit, ni loi' d'Agnès Varda en 1986 qui lui valent deux 'César', ou 'Sous le soleil de Satan' qui reçoit la Palme d'Or à Cannes en 1987, l'actrice n'a pas laissé qu'une image de jolie jeune-fille souriante. Elle donne au contraire l'impression d'une comédienne torturée, en total contraste avec l'autre égérie sensuelle du cinéma français de l'époque Valérie Kaprisky. Ce caractère un peu lourd qui entoure l'actrice est sans doute dû à ses origines familiales et notamment l'appartenance de sa mère à l'Eglise des Saints des Derniers Jours. En 2007, elle réalise un documentaire sur sa soeur atteinte d'autisme 'Elle s'appelle Sabine'. Le film est présenté à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes. 'La Puritaine', 'La Peste', 'Jeanne La Pucelle', autant de titres de long-métrages auxquels elle a prêté sa personnalité et qui, en retour, semblent avoir construit cette image d'actrice sérieuse et sombre. Il faut alors se rappeler que Sandrine Bonnaire a officiellement commencé cette carrière cinématographique avec deux rôles de figurante, l'un dans 'La Boum' de Claude Pinoteau et l'autre dans 'Les Sous-doués en vacances' de Claude Zidi.
A voir aussi sur Culturebox :
- Toutes nos vidéos sur les actrices françaises
- 'D'un film à l'autre' autoportrait de Claude Lelouch
- 'Brassens ou la liberté' à la cité de la musique
- Les autres entretiens 'Les 5 dernières minutes'
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Pour les cinéphiles qui ont en mémoire les premiers films de Sandrine Bonnaire dans les années 80, elle conserve aujourd'hui encore cette image séduisante de jeune femme spontanée et sensuelle, mais également fragile et radicale.
Entre 'A nos amours' de Maurice Pialat en 1984 et 'Sans toit, ni loi' d'Agnès Varda en 1986 qui lui valent deux 'César', ou 'Sous le soleil de Satan' qui reçoit la Palme d'Or à Cannes en 1987, l'actrice n'a pas laissé qu'une image de jolie jeune-fille souriante. Elle donne au contraire l'impression d'une comédienne torturée, en total contraste avec l'autre égérie sensuelle du cinéma français de l'époque Valérie Kaprisky. Ce caractère un peu lourd qui entoure l'actrice est sans doute dû à ses origines familiales et notamment l'appartenance de sa mère à l'Eglise des Saints des Derniers Jours. En 2007, elle réalise un documentaire sur sa soeur atteinte d'autisme 'Elle s'appelle Sabine'. Le film est présenté à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes. 'La Puritaine', 'La Peste', 'Jeanne La Pucelle', autant de titres de long-métrages auxquels elle a prêté sa personnalité et qui, en retour, semblent avoir construit cette image d'actrice sérieuse et sombre. Il faut alors se rappeler que Sandrine Bonnaire a officiellement commencé cette carrière cinématographique avec deux rôles de figurante, l'un dans 'La Boum' de Claude Pinoteau et l'autre dans 'Les Sous-doués en vacances' de Claude Zidi.
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Mami Wata, la mère nourricière des photographes
Mami Wata, la mère nourricière des photographes: "
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Mami Wata est une déesse aquatique dont le culte est répandu le long des côtes occidentales du continent africain, dans les Caraïbes et jusque dans certaines régions d'Amérique du Sud et du Nord. Elle est particulièrement vénérée au Togo, au Ghana, au Nigéria, au Bénin et au Cameroun, mais également en Mauritanie ou en Guinée. Représentée par une sirène ou une jeune femme séduisante avec des serpents, Mami Wata prend les traits de Manman Dlo dans le panthéon martiniquais. Elle est aussi baptisée Yemendja par les Haïtiens. Mami Wata pourrait être une transcription voisine de l'anglais signifiant Mère de l'eau mais selon d'autres sources, son nom viendrait d'une déformation de la langue Mina parlée au Benin et au Togo. Sa représentation physique évoque les proues des navires européens qui ont les premiers abordés les côtes africaines. Mami Wata est la déesse que l'on invoque pour les questions liées à la fécondité ou à l'argent mais aussi, pour honorer la mémoire des noyés. Son culte combine à la fois des traditions européennes, indiennes et africaines. Elle vit dans l'océan, elle incarne à la fois la mère nourricière et les destructions de la mer. Ses pouvoirs sont aussi puissants que sa jalousie est redoutée, notamment par les pêcheurs. Le photographe Nicolas Van Ingen est le co-auteur d'un ouvrage paru chez Actes Sud en novembre 2010 et déjà intitulé 'Mami Wata, mère des eaux'.
A voir aussi sur Culturebox :
- L'Amérique absurde vue du ciel
- Festival photo de la Gacilly, un plaidoyer pour la sauvegarde de la planète
- 50 ans de BD africaine francophone se racontent "
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Mami Wata est une déesse aquatique dont le culte est répandu le long des côtes occidentales du continent africain, dans les Caraïbes et jusque dans certaines régions d'Amérique du Sud et du Nord. Elle est particulièrement vénérée au Togo, au Ghana, au Nigéria, au Bénin et au Cameroun, mais également en Mauritanie ou en Guinée. Représentée par une sirène ou une jeune femme séduisante avec des serpents, Mami Wata prend les traits de Manman Dlo dans le panthéon martiniquais. Elle est aussi baptisée Yemendja par les Haïtiens. Mami Wata pourrait être une transcription voisine de l'anglais signifiant Mère de l'eau mais selon d'autres sources, son nom viendrait d'une déformation de la langue Mina parlée au Benin et au Togo. Sa représentation physique évoque les proues des navires européens qui ont les premiers abordés les côtes africaines. Mami Wata est la déesse que l'on invoque pour les questions liées à la fécondité ou à l'argent mais aussi, pour honorer la mémoire des noyés. Son culte combine à la fois des traditions européennes, indiennes et africaines. Elle vit dans l'océan, elle incarne à la fois la mère nourricière et les destructions de la mer. Ses pouvoirs sont aussi puissants que sa jalousie est redoutée, notamment par les pêcheurs. Le photographe Nicolas Van Ingen est le co-auteur d'un ouvrage paru chez Actes Sud en novembre 2010 et déjà intitulé 'Mami Wata, mère des eaux'.
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Le 2e tome des "Aventures de Bertrand Keufterian" de Guillaume Matthias
Le 2e tome des "Aventures de Bertrand Keufterian" de Guillaume Matthias: "
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Metz, dans un avenir improbable... La ville est envahie par des extraterrestres qui sèment la terreur et le chaos... Mais un homme, Bertrand Keufterian, se dresse contre ces envahisseurs avec pour seule et unique obsession : faire dégager les aliens de SA ville! Dans sa tâche, il va être aidé par Nina, jeune et belle night-clubbeuse, plus habituée à hanter les discothèques que les rues de Metz à chasser les méchants venus d'ailleurs... Bertrand Keufterian est le héros d'une bande dessinée à la fois sombre, drôle et caustique signée Guillaume Matthias. Diplômé de l'Ecole d'Art Supérieur de Metz, infographiste de profession, le 'papa' du héros est surtout passionné, depuis sa plus tendre enfance, par les séries télé, le cinéma mais surtout, la bande-dessinée et notamment les 'comics' américains. Avec Bertrand Keufterian, il a inventé une sorte de 'french comics'. Une BD 100% mosellane. Guillaume Matthias a travaillé avec Carlos Rodrigo pour le scénario et Céline Labriet, alias Ceel, pour les décors et les couleurs. L'album qui paraît à la fin de cette semaine est tout simplement intitulé : 'Les aventures de Bertrand Keufterian n°2'. A lire absolument pour savoir si Bertrand et la belle Nina réussissent à bouter les aliens hors de Metz!
A voir aussi sur Culturebox :
- Mezek-les-débuts-de-l'aviation-israëlienne-selon-Yann-et-Juillard - Sortie-événement-de-la-BD-les-boucliers-de-Mars - Thor-le-dieu-du-tonnerre-arrive-au-cinéma"
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Metz, dans un avenir improbable... La ville est envahie par des extraterrestres qui sèment la terreur et le chaos... Mais un homme, Bertrand Keufterian, se dresse contre ces envahisseurs avec pour seule et unique obsession : faire dégager les aliens de SA ville! Dans sa tâche, il va être aidé par Nina, jeune et belle night-clubbeuse, plus habituée à hanter les discothèques que les rues de Metz à chasser les méchants venus d'ailleurs... Bertrand Keufterian est le héros d'une bande dessinée à la fois sombre, drôle et caustique signée Guillaume Matthias. Diplômé de l'Ecole d'Art Supérieur de Metz, infographiste de profession, le 'papa' du héros est surtout passionné, depuis sa plus tendre enfance, par les séries télé, le cinéma mais surtout, la bande-dessinée et notamment les 'comics' américains. Avec Bertrand Keufterian, il a inventé une sorte de 'french comics'. Une BD 100% mosellane. Guillaume Matthias a travaillé avec Carlos Rodrigo pour le scénario et Céline Labriet, alias Ceel, pour les décors et les couleurs. L'album qui paraît à la fin de cette semaine est tout simplement intitulé : 'Les aventures de Bertrand Keufterian n°2'. A lire absolument pour savoir si Bertrand et la belle Nina réussissent à bouter les aliens hors de Metz!
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ROUEN / Feux tricolores : à partir du 28 avril, gare aux radars !
ROUEN / Feux tricolores : à partir du 28 avril, gare aux radars !: "
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photo I.M
A compter du 28 avril 2011 à 00 heure, 7 nouveaux dispositifs de contrôle automatique de feu rouge seront mis en service sur les communes de Rouen, de Saint-Laurent-en-Caux et de Ferrières-en-Bray. Les sites concernés sont :
• ROUEN : carrefour entre la route du Havre (RD286) et la rue de Bapeaume – axe contrôlé rue de Bapeaume (Ouest vers Est)
• ROUEN : carrefour entre l’avenue Jean Rondeaux et la rue Brisout de Barneville – axe contrôlé l’avenue Jean Rondeaux (Pont Guillaume vers Sud 3)
• ROUEN : carrefour entre la Route de Lyons la Forêt (RN 31) et la rue Saint-Gilles – axe contrôlé la Route de Lyons la Forêt (Est vers Ouest)
• ROUEN : carrefour entre la Rue d’Elbeuf et la rue Méridienne – axe contrôlé la Rue d’Elbeuf (Rue d’Elbeuf vers Boulevard de l’Europe), préfecture de la région Haute-Normandie et de la Seine-Maritime
• ROUEN : carrefour entre le Boulevard des Belges et la rue du Contrat Social – axe contrôlé le Boulevard des Belges (Sud vers le Nord)
• FERRIERES-EN-BRAY : carrefour entre la Route de Beauvais et la Rue des Ferrières – axe contrôlé la Route de Beauvais (Département de l’Oise vers Forges-les-Eaux)
• SAINT-LAURENT-EN-CAUX : carrefour entre la RD 142 et la RD 149 – axe contrôlé RD142 (Yerville vers Veules-les-Roses).
Conducteurs, vous êtes avertis…
google maps
photo I.M.
Summer Music Show II / Karaoké Géant
Summer Music Show II / Karaoké Géant: "
Des milliers de normands chantent ensemble.
Pour la deuxième fois à Rouen, le 12 mai 2011, plusieurs milliers de normands se retrouveront place Saint Marc pour chanter ensemble.
À l’initiative de ce rendez-vous, des associations étudiantes notamment « Le Viking » soutenus par le Crédit Agricole Normandie Seine, la ville de Rouen et par la complicité artistique de Virgin Radio.
Au programme de la soirée, un Warm Up dès 19h, suivi de la finale de la Battle et un karaoké géant !
Après s’être échauffé la voix, les participants pourront se dégourdir les jambes grâce au Dancefloor jusqu’à 23h30.
Pour participer rien de plus simple, rendez-vous le 12 mai à 19h place Saint Marc, c’est gratuit et ouvert à tous.
Et avant de se retrouver le 12 mai, rendez vous sur le site pour participer à la Battle et déposer vos clips vidéos !
www.summermusicshow.com
Les 3 meilleures vidéos seront diffusées lors du Summer Music Show ! Les 1er remporterons un chèque cadeau de 1500€, et les 2 suivant un chèque cadeau de 500€ à utiliser chez Bersoult."
 | Le 12/05/2011 Tarif : NC | Billeterie : NC Place saint-marc - ROUEN (76000) |
Pour la deuxième fois à Rouen, le 12 mai 2011, plusieurs milliers de normands se retrouveront place Saint Marc pour chanter ensemble.
À l’initiative de ce rendez-vous, des associations étudiantes notamment « Le Viking » soutenus par le Crédit Agricole Normandie Seine, la ville de Rouen et par la complicité artistique de Virgin Radio.
Au programme de la soirée, un Warm Up dès 19h, suivi de la finale de la Battle et un karaoké géant !
Après s’être échauffé la voix, les participants pourront se dégourdir les jambes grâce au Dancefloor jusqu’à 23h30.
Pour participer rien de plus simple, rendez-vous le 12 mai à 19h place Saint Marc, c’est gratuit et ouvert à tous.
Et avant de se retrouver le 12 mai, rendez vous sur le site pour participer à la Battle et déposer vos clips vidéos !
www.summermusicshow.com
Les 3 meilleures vidéos seront diffusées lors du Summer Music Show ! Les 1er remporterons un chèque cadeau de 1500€, et les 2 suivant un chèque cadeau de 500€ à utiliser chez Bersoult."
Beat Assaillant
Beat Assaillant: "
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 | Le 14/05/2011 Tarif : NC | Billeterie : NC Magic Mirrors - ROUEN (76000) |
Les bronzes de Camille Claudel sont arrivés à Sorgues
Les bronzes de Camille Claudel sont arrivés à Sorgues: "
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Le Vaucluse, Camille Claudel y est arrivée bien malgré elle. C'est là qu'elle a sans doute vécu les pires années de son existence jusqu'à sa mort en octobre 1943. Vers l'âge de 50 ans, l'artiste, qui vit de plus en plus isolée mais continue de transgresser allègrement les règles de l'art et de la société, est internée sur demande de ses proches, quelques jours seulement après la disparition de son père en mars 1913. Elle est d'abord hospitalisée dans un centre psychiatrique de la banlieue parisienne, avant que l'approche des troupes allemandes en 1914 et la réquisition des hôpitaux obligent à un transfert des patients vers l'asile de Montdevergues, à Monfavet dans le Vaucluse. Camille Claudel y mourra quinze ans plus tard, probablement victime de malnutrition, sans avoir produit aucune nouvelle oeuvre, sans avoir reçu la moindre visite de sa mère et à peine une douzaine de la part de son frère Paul. La famille Claudel sera absente lors de son inhumation et sa dépouille sera transférée plus tard dans une fosse commune, ses proches n'ayant pas réclamé son corps. Les admirateurs de Camille Claudel avaient entamé, de son vivant, une démarche pour protester contre cette séquestration légale ordonnée par la famille qu'ils accusaient de vouloir se débarrasser d'elle. Le retour dans le Vaucluse des oeuvres
de cette artiste, qui a révolutionné par son audace et son anti-conformisme le monde de l'art, aura donc une résonance toute particulière.
A voir aussi sur Culturebox :
- Le-musée-Dubois-Boucher-fait-peau-neuve--un-nouvel-écrin-pour-les-oeuvres-de-Camille-Claudel - Le-carré-de-dames-regards-de-femmes-sur-la-femme - Les-sculptures-de-Simone-Boisecq-au-musée-Unterlinden - Le-baiser-de-Rodin-mis-aux-enchères"
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Le Vaucluse, Camille Claudel y est arrivée bien malgré elle. C'est là qu'elle a sans doute vécu les pires années de son existence jusqu'à sa mort en octobre 1943. Vers l'âge de 50 ans, l'artiste, qui vit de plus en plus isolée mais continue de transgresser allègrement les règles de l'art et de la société, est internée sur demande de ses proches, quelques jours seulement après la disparition de son père en mars 1913. Elle est d'abord hospitalisée dans un centre psychiatrique de la banlieue parisienne, avant que l'approche des troupes allemandes en 1914 et la réquisition des hôpitaux obligent à un transfert des patients vers l'asile de Montdevergues, à Monfavet dans le Vaucluse. Camille Claudel y mourra quinze ans plus tard, probablement victime de malnutrition, sans avoir produit aucune nouvelle oeuvre, sans avoir reçu la moindre visite de sa mère et à peine une douzaine de la part de son frère Paul. La famille Claudel sera absente lors de son inhumation et sa dépouille sera transférée plus tard dans une fosse commune, ses proches n'ayant pas réclamé son corps. Les admirateurs de Camille Claudel avaient entamé, de son vivant, une démarche pour protester contre cette séquestration légale ordonnée par la famille qu'ils accusaient de vouloir se débarrasser d'elle. Le retour dans le Vaucluse des oeuvres
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Fabien Lédé et Max Tobbias : des noms d'artistes !
Fabien Lédé et Max Tobbias : des noms d'artistes !: "
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L'association dijonnaise 'Nü Kozä' a été co-fondée par les artistes Fabien Lédé et Maxime Grossier. Dans son nouvel espace, implanté dans le quartier du Petit-Cîteaux, où Culture Box a déjà ses entrées, l'association multiplie les expositions.
Elle accueille jusqu'au 5 mai 2011 une performance multidisciplinaire intitulée 'Nous sommes tous des corps étrangers'. Au mois de mars, elle avait offert ses murs à deux artistes lyonnais Yves Aulas et Josiane Delavay pour une exposition surprenante intitulée 'Boulimiques de contacts' et depuis le début de l'année 2011, elle a ouvert ses portes successivement au peintre d'origine ivoirienne Williams Shaw, au photographe plasticien Nicolas Potier et aux clichés
vintage de sa consoeur Paule Lanternier. Le centre abrite également une 'Artothèque', elle permet d'emprunter une oeuvre par mois en échange d'une cotisation annuelle de 20 euros versée à l'association. Ouverte à tous les vents de la création, la galerie 'Nü Köza' est devenue en quelques mois l'un des épicentres de la culture dijonnaise, tout comme son co-fondateur Fabien Lédé dont l'oeuvre est visible simultanément à la galerie 'Nü Köza', à 'La Vapeur' et sur la péniche 'Cancale'.
A voir aussi sur Culturebox :
- Nous-sommes-tous-des-corps-étrangers-au-Nü-KöZA - Chauray-temple-de-la-figuration-contemporaine-avec-Robert-Combas-et-Erro - Exposition-des-Broken-dolls-d'Annliz-Bonin-à-Caen"
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L'association dijonnaise 'Nü Kozä' a été co-fondée par les artistes Fabien Lédé et Maxime Grossier. Dans son nouvel espace, implanté dans le quartier du Petit-Cîteaux, où Culture Box a déjà ses entrées, l'association multiplie les expositions.
Elle accueille jusqu'au 5 mai 2011 une performance multidisciplinaire intitulée 'Nous sommes tous des corps étrangers'. Au mois de mars, elle avait offert ses murs à deux artistes lyonnais Yves Aulas et Josiane Delavay pour une exposition surprenante intitulée 'Boulimiques de contacts' et depuis le début de l'année 2011, elle a ouvert ses portes successivement au peintre d'origine ivoirienne Williams Shaw, au photographe plasticien Nicolas Potier et aux clichés
vintage de sa consoeur Paule Lanternier. Le centre abrite également une 'Artothèque', elle permet d'emprunter une oeuvre par mois en échange d'une cotisation annuelle de 20 euros versée à l'association. Ouverte à tous les vents de la création, la galerie 'Nü Köza' est devenue en quelques mois l'un des épicentres de la culture dijonnaise, tout comme son co-fondateur Fabien Lédé dont l'oeuvre est visible simultanément à la galerie 'Nü Köza', à 'La Vapeur' et sur la péniche 'Cancale'.
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La 11ème édition de festival de l'humour " l'Artjoyette "
La 11ème édition de festival de l'humour " l'Artjoyette ": "
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Un festival à échelle humaine. C'est ainsi que l'on peut qualifier 'L'ArtJoyette', le festival de l'humour de Saint-Varent, dans les Deux-Sèvres. S'il est organisé par le centre socio-culturel du village poitevin, toute la population de Saint-Varent participe à l'événement. Les élèves des écoles primaires, par exemple, vont interpréter une petite comédie mise en scène par eux-mêmes. Pour la soirée d'ouverture le 28 avril 2011, Naot Maboul se produira en première partie. Son spectacle 'Inatchao' est une invitation au voyage autour de la voix et des langages imaginaires. En deuxième partie de soirée, Bibendum Tremens avec 'Un caillou dans la chaussure' : enfermé dans une zone inconnue, le personnage de la pièce essaie d'apprivoiser le temps qui passe, il réinvente le quotidien. Vingt troupes et beaucoup de spectacles pendant ces sept jours de festival. A voir également, l'exposition de 'Si l'amour poussait sur les arbres', une création de Delphine Gauthier, ferronnière d'art et bénévole. Une oeuvre réalisée avec l'aide des élèves du collège François Villon de Saint-Varent.
A voir aussi sur Culturebox :
- Toutes nos vidéos sur les spectacles humoristiques
- Une tournée théâtrale en mobylettes en Bourgogne
- Hollywood séduit par les machines de l'ile de Nantes
- Interview de Jacques Dutronc
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Un festival à échelle humaine. C'est ainsi que l'on peut qualifier 'L'ArtJoyette', le festival de l'humour de Saint-Varent, dans les Deux-Sèvres. S'il est organisé par le centre socio-culturel du village poitevin, toute la population de Saint-Varent participe à l'événement. Les élèves des écoles primaires, par exemple, vont interpréter une petite comédie mise en scène par eux-mêmes. Pour la soirée d'ouverture le 28 avril 2011, Naot Maboul se produira en première partie. Son spectacle 'Inatchao' est une invitation au voyage autour de la voix et des langages imaginaires. En deuxième partie de soirée, Bibendum Tremens avec 'Un caillou dans la chaussure' : enfermé dans une zone inconnue, le personnage de la pièce essaie d'apprivoiser le temps qui passe, il réinvente le quotidien. Vingt troupes et beaucoup de spectacles pendant ces sept jours de festival. A voir également, l'exposition de 'Si l'amour poussait sur les arbres', une création de Delphine Gauthier, ferronnière d'art et bénévole. Une oeuvre réalisée avec l'aide des élèves du collège François Villon de Saint-Varent.
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John Rabe et le massacre de Nankin
John Rabe et le massacre de Nankin: "
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Né en 1882, John Rabe est un quasi-inconnu en Europe mais il est resté très célèbre en Chine. Homme d'affaires travaillant pour Siemens AG, il est épouvanté par les atrocités du Sac de Nankin (Nanjing) en 1937, l'un des épisodes les plus tragiques de la guerre sino-japonaise dont le souvenir reste vivace en Chine et est encore aujourd'hui l'une des causes majeures de relations souvent tendues entre ce pays et le Japon. Le massacre aurait fait en seulement six semaines entre 100 000 et 300 000 victimes, souvent tuées dans des circonstances particulièrement épouvantables.
Usant de sa position, John Rabe va réussir à mettre en place avec l'aide d'autres étrangers une zone de sécurité qui aurait sauvé la vie de près de 250 000 civiles chinois.
Comme son compatriote Oskar Schindler, il ne ménage pas ses efforts mais s'il est décoré par la Croix-Rouge allemande à son retour dans le Reich, ses tentatives désespérées pour éclairer Hitler sur les horreurs dont il a été le témoin lui valent finalement d'être interpellé par la Gestapo. Ironie du sort, après la guerre, c'est cette fois comme Nazi qu'il sera arrêté avant d'être finalement innocenté.
Privé de son travail, il vit dans la misère et l'oubli avant de mourir en 1950.
Mais les Chinois - eux - ne l'ont pas oublié. En 1997, sa dépouille est transférée avec tous les honneurs à Nanjing.
Il est inhumé sur le site du mémorial du massacre et sa maison a été conservée.
Les Chinois révèrent encore son souvenir sous le nom de ' Bouddha vivant de Nanjing '.
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- John-Rabe-un-héros-méconnu
- Les vidéos sur la Seconde guerre mondiale - Le-discours-d'un-roi-favori-des-oscars-avec-12-nominations - Les videos sur l'armée du crime de Robert Guediguian
- Les vidéos sur la rafle du Vel d'Hiv"
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Né en 1882, John Rabe est un quasi-inconnu en Europe mais il est resté très célèbre en Chine. Homme d'affaires travaillant pour Siemens AG, il est épouvanté par les atrocités du Sac de Nankin (Nanjing) en 1937, l'un des épisodes les plus tragiques de la guerre sino-japonaise dont le souvenir reste vivace en Chine et est encore aujourd'hui l'une des causes majeures de relations souvent tendues entre ce pays et le Japon. Le massacre aurait fait en seulement six semaines entre 100 000 et 300 000 victimes, souvent tuées dans des circonstances particulièrement épouvantables.
Usant de sa position, John Rabe va réussir à mettre en place avec l'aide d'autres étrangers une zone de sécurité qui aurait sauvé la vie de près de 250 000 civiles chinois.
Comme son compatriote Oskar Schindler, il ne ménage pas ses efforts mais s'il est décoré par la Croix-Rouge allemande à son retour dans le Reich, ses tentatives désespérées pour éclairer Hitler sur les horreurs dont il a été le témoin lui valent finalement d'être interpellé par la Gestapo. Ironie du sort, après la guerre, c'est cette fois comme Nazi qu'il sera arrêté avant d'être finalement innocenté.
Privé de son travail, il vit dans la misère et l'oubli avant de mourir en 1950.
Mais les Chinois - eux - ne l'ont pas oublié. En 1997, sa dépouille est transférée avec tous les honneurs à Nanjing.
Il est inhumé sur le site du mémorial du massacre et sa maison a été conservée.
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Les jardins de Chaumont se bio-diversifient
Les jardins de Chaumont se bio-diversifient: "
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La biodiversité est devenue, depuis deux décennies, le cheval de bataille des Nations-Unies et des experts scientifiques. Selon certaines études, près de 150 espèces disparaissent chaque jour de la surface de la terre. Si ces espèces, de la faune ou de la flore, n'ont pas toutes l'envergure d'un mammouth ou d'un Tricératops, les scientifiques constatent que le rythme des disparitions s'est accéléré, au point d'être entre cent et mille fois supérieur au rythme naturel admis pour la période pré-industrielle. Cette érosion de la biodiversité aurait même un coût pour l'humanité : il oscille entre 1.350 et 3.100 milliards d'euros par an, selon les chiffres publiés par l'ONU à la conférence de Bonn en 2008. Depuis 2001, l'Union Européenne se préoccupe de cette question de la conservation des espèces les plus menacées mais, l'évaluation menée entre 2001 et 2006 et les politiques mises en place et renforcées depuis ces dates n'ont toujours pas permis d'enrayer le phénomène. En 2010, l'Europe a même constaté l'échec de sa politique et annoncé plus de volontarisme sur des dossiers comme la surpêche, la déforestation et le respect des habitats naturels. Au niveau mondial, la conférence de Nagoya, en octobre 2010, n'a pas débouché sur de grandes avancées. Elle a constaté l'inefficacité des politiques mises en place depuis le Sommet de la Terre à Rio en 1992 et proposé de nouveaux objectifs à atteindre pour 2020. Il faut savoir que l'essentiel de la biodiversité ne réside pas à la surface de la terre mais plutôt sous sa surface, en profondeur. Elle reste donc pour partie à découvrir. On estime qu'un pays comme le Brésil abrite à lui seul 5% de la diversité des espèces connues et répertoriées et que les éco-systèmes de la zone intertropicale hébergent la majeure partie de la biodiversité mondiale. C'est donc vers ces secteurs géographiques qu'il faudrait pouvoir concentrer le maximum d'efforts.
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La biodiversité est devenue, depuis deux décennies, le cheval de bataille des Nations-Unies et des experts scientifiques. Selon certaines études, près de 150 espèces disparaissent chaque jour de la surface de la terre. Si ces espèces, de la faune ou de la flore, n'ont pas toutes l'envergure d'un mammouth ou d'un Tricératops, les scientifiques constatent que le rythme des disparitions s'est accéléré, au point d'être entre cent et mille fois supérieur au rythme naturel admis pour la période pré-industrielle. Cette érosion de la biodiversité aurait même un coût pour l'humanité : il oscille entre 1.350 et 3.100 milliards d'euros par an, selon les chiffres publiés par l'ONU à la conférence de Bonn en 2008. Depuis 2001, l'Union Européenne se préoccupe de cette question de la conservation des espèces les plus menacées mais, l'évaluation menée entre 2001 et 2006 et les politiques mises en place et renforcées depuis ces dates n'ont toujours pas permis d'enrayer le phénomène. En 2010, l'Europe a même constaté l'échec de sa politique et annoncé plus de volontarisme sur des dossiers comme la surpêche, la déforestation et le respect des habitats naturels. Au niveau mondial, la conférence de Nagoya, en octobre 2010, n'a pas débouché sur de grandes avancées. Elle a constaté l'inefficacité des politiques mises en place depuis le Sommet de la Terre à Rio en 1992 et proposé de nouveaux objectifs à atteindre pour 2020. Il faut savoir que l'essentiel de la biodiversité ne réside pas à la surface de la terre mais plutôt sous sa surface, en profondeur. Elle reste donc pour partie à découvrir. On estime qu'un pays comme le Brésil abrite à lui seul 5% de la diversité des espèces connues et répertoriées et que les éco-systèmes de la zone intertropicale hébergent la majeure partie de la biodiversité mondiale. C'est donc vers ces secteurs géographiques qu'il faudrait pouvoir concentrer le maximum d'efforts.
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Marie Cantagrill et l'orchestre à cordes d'Ariège à la cathédrale de St Liziez
Marie Cantagrill et l'orchestre à cordes d'Ariège à la cathédrale de St Liziez: "
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Toutes les critiques s'accordent à le dire, Marie Cantagrill est une virtuose du violon. Elle commence à jouer de cet instrument exigeant à l'âge de cinq ans, sous la houlette d'Hélène Grangaud. Plus tard, elle suit les cours de Philippe Kock au Conservatoire Supérieur de Liège, en Belgique, où elle reçoit le Diplôme Supérieur de Violon avec Grande Distinction. Marie Cantagrill a également travaillé avec un professeur du Conservatoire Tchaïkovski à Moscou. Lauréate de plusieurs concours de renommées nationale et internationale - Concours International Pierre Lantier-Paris, Prix Spécial Claude Langevin, Concours Vieuxtemps - Marie Cantagrill poursuit aujourd'hui une brillante carrière de soliste. Elle a enregistré plusieurs albums, interprétant avec autant de bonheur Bach, Brahms, Berlioz, Paganini, Ravel, Tchaïkovski.
L'Orchestre à cordes d'Ariège, créé en 2007, est composé de treize musiciens professionnels qui, la plupart, travaillent dans la région Midi-Pyrénées. Malgré son 'jeune âge', cet ensemble à cordes est devenu l'un des partenaires privilégiés des choeurs de la région toulousaine. L'orchestre a déjà joué des oeuvres majeures telles que le Requiem de Mozart, l'Oratorio de Noël de Jean-Sébastien Bach, grâce au chef d'orchestre new-yorkais, fondateur du French-American Chamber Orchestra : Jean-Pierre Schmitt.
La rencontre musicale de Marie Cantagrill avec l'Orchestre à cordes d'Ariège remontent à plusieurs mois. Une union prometteuse ce 28 avril 2011. Et sans doute un deuxième le 16 Juillet 2011 en l'église de Bagnères-de-Luchon.
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L'Orchestre à cordes d'Ariège, créé en 2007, est composé de treize musiciens professionnels qui, la plupart, travaillent dans la région Midi-Pyrénées. Malgré son 'jeune âge', cet ensemble à cordes est devenu l'un des partenaires privilégiés des choeurs de la région toulousaine. L'orchestre a déjà joué des oeuvres majeures telles que le Requiem de Mozart, l'Oratorio de Noël de Jean-Sébastien Bach, grâce au chef d'orchestre new-yorkais, fondateur du French-American Chamber Orchestra : Jean-Pierre Schmitt.
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