Les Ejectés mis à "Nus" dans leur dernier album: "
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Vingt-trois ans de carrière, onze albums, des centaines (voire des milliers!) de concerts... la carrière des Ejectés n'a rien à envier à bon nombre de formations hexagonales. Depuis 'Glauque city Tej', en 1990, Steff Tej et sa bande ont parcouru leur p'tit bonhomme de chemin en disséminant leur reggae-ska-rock avec un entrain partout salué. Des petites salles de Limoges aux tournées dans les pays de l'Est (Pologne, République Tchèque ou Balkans les accueillent à bas ouverts), du Printemps de Bourges à un festival ska à Londres fin avril, des premières parties de la Mano Negra, Zebda, NTM, the Specials ou Deep Purple, les Ejectés prouvent qu'ils assurent et méritent leur réputation, quand bien même ils ne figurent pas au top 10 des groupes français.
Pour la petite histoire, éjectés ils le furent au tout début de leur carrière, lorsqu'ils trainaient leurs amplis et leurs instruments d'un local de répétition à l'autre. C'est ainsi que naissent les légendes et que l'on se fait un nom !
Depuis le printemps 1988, Steff Tej (chant et guitare) a vu passer des musiciens de tout poil, partis pour d'autres aventures en cours de route, et depuis 2 ans, c'est avec une formation réduite (3 à 5 maxi) que Les Ejectés tournent et qu'ils sortent aujourd'hui leur dernier album, 'Nus'. Nu, comme l'est ce groupe qui a choisi un retour aux sources, oubliant choeurs et cuivres pour se recentrer sur une musique 'brute', sans se départir d'un éclectisme revendiqué pour chanter la liberté.
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