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A l'origine, il y avait la volonté de sept structures différentes. Elles se sont unies pour diversifier l'offre culturelle niçoise et permettre aux jeunes groupes d'atteindre un public de plus en plus large. Leur premier outil s'appelle la salle 700. Elle appartient au Nikaïa et était menacée de devenir un hangar. A travers la coopérative (Fonetiq, Image Publique, Imago, Label Note, Olodum Musique, Panda 06 Production et S4CO) cette association de bonnes volontés culturelles et sociales veut changer l'image de la ville réputée fermée et réactionnaire. 'On veut prouver qu'il y a un véritable public, amateur de musiques actuelles à Nice' précise l'un de ses responsables.
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