En attaquant la Chine, les démocrates se trompent de cible, affirme Robert Reich, car si « la crise du chômage aux États-Unis est due à l'effondrement de la demande qui a suivi l'éclatement de la bulle immobilière », la cause profonde de la récession est selon lui « le niveau record des inégalités en Amérique - qui s'est traduit par une concentration au sommet sans précédent des revenus et des richesses, et par une portion congrue pour la majorité. » Pire encore, en accusant l' « étranger » ils alimentent la vague de xénophobie orchestrée par les républicains. Dénonçant la timidité de la gauche américaine sur les inégalités - peut-être par crainte de perdre le soutien de leurs généreux donateurs, suggère-t-il - il l'exhorte à s'engager à réduire les inégalités, faute de quoi, il serait « difficile voire impossible de faire sortir le pays de la récession. »"
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mardi 12 octobre 2010
Crise : ce sont les inégalités qui sont à blâmer, pas la Chine, par Robert Reich
Crise : ce sont les inégalités qui sont à blâmer, pas la Chine, par Robert Reich: "
En attaquant la Chine, les démocrates se trompent de cible, affirme Robert Reich, car si « la crise du chômage aux États-Unis est due à l'effondrement de la demande qui a suivi l'éclatement de la bulle immobilière », la cause profonde de la récession est selon lui « le niveau record des inégalités en Amérique - qui s'est traduit par une concentration au sommet sans précédent des revenus et des richesses, et par une portion congrue pour la majorité. » Pire encore, en accusant l' « étranger » ils alimentent la vague de xénophobie orchestrée par les républicains. Dénonçant la timidité de la gauche américaine sur les inégalités - peut-être par crainte de perdre le soutien de leurs généreux donateurs, suggère-t-il - il l'exhorte à s'engager à réduire les inégalités, faute de quoi, il serait « difficile voire impossible de faire sortir le pays de la récession. »"
En attaquant la Chine, les démocrates se trompent de cible, affirme Robert Reich, car si « la crise du chômage aux États-Unis est due à l'effondrement de la demande qui a suivi l'éclatement de la bulle immobilière », la cause profonde de la récession est selon lui « le niveau record des inégalités en Amérique - qui s'est traduit par une concentration au sommet sans précédent des revenus et des richesses, et par une portion congrue pour la majorité. » Pire encore, en accusant l' « étranger » ils alimentent la vague de xénophobie orchestrée par les républicains. Dénonçant la timidité de la gauche américaine sur les inégalités - peut-être par crainte de perdre le soutien de leurs généreux donateurs, suggère-t-il - il l'exhorte à s'engager à réduire les inégalités, faute de quoi, il serait « difficile voire impossible de faire sortir le pays de la récession. »"
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