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Au cours de cinq solos, les jeunes diplômés de l'ESNAM entendent donner un nouveau souffle à l'art de la manipulation. Ici, point de marionnettes suspendues au bout d'un fil. Ces artistes en herbe se jouent des formes. Ils empruntent des gestuelles à la danse et au mime, apparaissent le plus souvent en pleine lumière détournant des objets inattendus. Ils s'inspirent de contes traditionnels et de mythologies anciennes ou contemporaines pour explorer l'âme humaine.
Dans 'Sous la neige qui tombe', Simon Moers envisage les grands de ce monde à l'échelle de l'infiniment petit. L'Empereur de Chine devient un minuscule grain de semoule au milieu de ses sujets de la même taille.
Carine Gualdanori elle, manipule la partie supérieure d'un squelette et exécute une danse funèbre dans 'Un jour, je suis morte.' Malmenée par la bise du Grand Nord, sa silhouette se retrouve dévorée par les poissons. Un destin inspiré d'un récit inuit.
Dans 'Il était une fois', Christina Iosif devient une femme-pêcheur. Un jour, elle attrape un poisson magique. Une chance qui va tourner au cauchemar lorsque l'héroïne prendra le chemin de l'immigration.
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