A priori, dans le rapport de force qui s'engage entre les syndicats et le ministre du Travail Eric Woerth, les premiers ont pris l'avantage. Ils sont à la veille d'une journée de mobilisation qui promet d'être importante, et leur interlocuteur, le « lapidé » autoproclamé, est affaibli, une batterie de casseroles tintinnabulant derrière lui. Et pourtant, contre vents et marées, Nicolas Sarkozy le maintient à son poste. Pourquoi ?
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